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Il s'agit d'une très petite antilope dont la caractéristique est de dresser la houpe entre les deux oreilles quand elle se trouve en alerte.La coloration varie selon la région où elle habite(19 sous espéces ont été décrites) mammiferes afrique antilope céphalope

© Daniel Trinquecostes

Cette espèce est très fréquente dans le parc Kruger où son observation est la plus facile qui soit.Ce male présente une corne cassée,certainement au cours d'un combat. mammiferes antilope afrique impala

© Daniel Trinquecostes

Cette photo, ainsi que la suivante, a été prise dans le sud du Kruger où les rencontres avec cette espèce ont été très nombreuses (entre Lower Sabie et Crocodile bridge) mammiferes antilope afrique koudou

© Daniel Trinquecostes

La région de Lower Sabie nous a permis de nombreuses observations de cette éspéce.Il s'agit d'une trés grande antilope avec un corps mince.La tête est petite et les oreilles,trés grandes sont de formes cupuliformes. mammiferes antilope afrique koudou

© Daniel Trinquecostes

Les iguanes marins sont parmi les espéces qui sont les plus facilement observables aux Galapagos
(Punta albemarle) photo iguane marin

© Daniel Trinquecostes

Cette présence de trois individus au même endroit montre l' importance du biotope sur la survie des especes.

© Daniel Trinquecostes

Photographie réalisée à Lower Sabie.La longueur de cet oiseau est d'environ 40 cms.Il existe une trentaine de sous espèces de cet oiseau réparties de part le monde.J'ai personnellement pu l'observer aux Galapagos(2002-butorides sundevalli )et aux Seychelles(2000-butorides degens ).Je vous recommande pour en savoir plus sur les hérons ,le guide des hérons du monde de James Hancock et james Kushlan aux éditions Deachaux et Niestlé. photo héron vert

© Daniel Trinquecostes

Je ne suis pas certain de l 'identification.S'il s'agit bien de cette espéce,elle est trés largement répartie et vit dans les zones semi désertiques et les savanes du Sénégal ,la Somalie et se répand jusqu'au Natal. photo outarde naine

© Daniel Trinquecostes

La longueur de cette tourterelle est de 25 cms. La plupart des autres espéces de proches sont plus grosses.Elle vit dans les savanes boisées et les terres agricoles mais toujours à moins de 10 kms d'un point d'eau.Il semblerait que les couples soient formés pour la vie. photo tourterelle maillée

© Daniel Trinquecostes

Cette espéce est considérée comme trés vulnérable.Ceci est d'autant plus regrettable qu'il s'agit d'un des symboles de la théorie de l'évolutionélaborée par C.Darwin. photo cormoran aptére

© Daniel Trinquecostes

Le débarquement à Darwin bay (Genovesa) est réellement un moment magique vu le nombre de grandes frégates qu'il est possible de voir.D'autant plus que lors de la visite du site ,de nombreuses autres espéces sont observables: mouette à queue d'aronde,fou à patte rouge,fou à pied bleu,héron strié,otarie,etc ... photo grande frégate

© Daniel Trinquecostes

Après deux années noires où je n'ai rien trouvé, j'ai le bonheur de trouver un site occupé.Il faut dire qu'en 2007 et 2008 des tirs d'élimination terribles ont fait chuté les populations de cette espèce ! RENARD RENARDEAU TERRIER
Photographie nature faune sauvage

Mammifère
Que nature vive

Daniel TRINQUECOSTES

© Daniel Trinquecostes

Il est venu se poser devant moi alors que j' affutais d'autres espèces ! HERON CENDRE
Oiseaux
Rivière
Au fil de l'eau
Photographie de faune sauvage

Que-nature-vive
Daniel TRINQUECOSTES

© Daniel Trinquecostes

Sous espèce de grand cormoran de la variété SINENSIS ( Phalacrocorax sinensis ) GRAND CORMORAN sous espèce SINENSIS
Phalacrocorax sinensis 
Oiseaux

OISEAUX DU MARAIS
Photographie de faune sauvage
Daniel TRINQUECOSTES
Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Sous espèce SINENSIS GRAND CORMORAN sous espèce SINENSIS
Phalacrocorax sinensis 
Oiseaux

OISEAUX DU MARAIS
Photographie de faune sauvage
Daniel TRINQUECOSTES
Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Sous espèce SINENSIS GRAND CORMORAN sous espèce SINENSIS
Phalacrocorax sinensis 
Oiseaux

OISEAUX DU MARAIS
Photographie de faune sauvage
Daniel TRINQUECOSTES
Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Il trouve en ces lieus toute la nourritire requise pour le nourrissage des jeunes.Il est fidèle à cet emplacement tant que lieu s'y prête et qu' il n'est pas dérangé par d'autres espèces qui décident d' utiser les terriers qu' il a construit ( Moineau soulcie ou hirondelle de rivage ) GUEPIER D'EUROPE
OISEAUX

Daniel TRINQUECOSTES
QUE NATURE VIVE
PHOTOGRAPHE NATURALISTE
Photographie de nature et de faune sauvage

© Daniel Trinquecostes

Solidement cramponné à l' entrée de son nid. Il est à noter que cette espèces est très fidèle à son lieu de nidification. CINCLE PLONGEUR
Oiseaux
PHOTOGRAPHIE DE CINCLE PLONGEUR
PHOTOGRAPHIE de NATURE et de FAUNE SAUVAGE
Photographe naturaliste

Daniel TRINQUECOSTES
Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Portrait de tortue Géante.  
 Galapagos 
 Equateur 
 Parc National des Galapagos 
 Espèce menacée de disparition

© Diane CASTANET & Olivier HERVIEU

Portrait de tortue Géante.  
 Galapagos 
 Equateur 
 Parc National des Galapagos 
 Espèce menacée de disparition

© Diane CASTANET & Olivier HERVIEU

Trtue verte dans des cuvettes de lave sur l'île de Santiago.  
 Galapagos 
 Equateur 
 Parc National des Galapagos 
 Espèce menacée de disparition

© Diane CASTANET & Olivier HERVIEU

Iguane Marin sur l'île de Santiago au soleil couchant  
 Galapagos 
 Equateur 
 Parc National des Galapagos 
 Espèce menacée de disparition

© Diane CASTANET & Olivier HERVIEU

Tortue géante des Galapagos  dans la station de recherche Charles Darwin 
 Galapagos 
 Equateur 
 Parc National des Galapagos 
 Espèce menacée de disparition

© Diane CASTANET & Olivier HERVIEU

Trtue verte dans des cuvettes de lave sur l'île de Santiago.  
 Galapagos 
 Equateur 
 Parc National des Galapagos 
 Espèce menacée de disparition 
 Otaries à  Fourure

© Diane CASTANET & Olivier HERVIEU

© Diane CASTANET & Olivier HERVIEU

Portrait de tortue Géante.  
 Galapagos 
 Equateur 
 Parc National des Galapagos 
 Espèce menacée de disparition

© Diane CASTANET & Olivier HERVIEU

Portrait de tortue Géante.  
 Galapagos 
 Equateur 
 Parc National des Galapagos 
 Espèce menacée de disparition

© Diane CASTANET & Olivier HERVIEU

Trtue verte dans des cuvettes de lave sur l'île de Santiago.  
 Galapagos 
 Equateur 
 Parc National des Galapagos 
 Espèce menacée de disparition

© Diane CASTANET & Olivier HERVIEU

<center>
Le sud Kalahari est une des dernières terres inviolées.<br>
Territoire inaccessible, du sable rouge à l'infini et le manque<br>
d'eau en surface une majeure partie de l'année. Huit essences <br>
d'arbres poussent dans ces régions du Kalahari dont cinq espèces<br>
d'acacias ; parmi elles, seules deux ont des feuilles persistantes. <br> 
Les autres perdent leur feuillage pendant les mois les plus secs, <br>
à la fin de l'hiver...

© Maurice Chatelain

<center>
C'est le danger et l'effroi. <br>
Chassé en enclos par des dogues argentins, <br>
des molosses à la mâchoire puissante. <br>
Blessé, le chien agonise dans d'horribles souffrances<br>
Piégé, le sanglier n'a aucune issue et se fait dévorer.  <br>
(Inspiré de l'article de l'ASPAS "Ils chassent des sangliers <br>
en enclos avec des chiens de combat : <br>
l’administration n’y trouve rien à redire !").<br>
Dans les deux cas, la barbarie est à son comble, et ce <br>
pour le plus grand plaisir de ceux qui organisent <br>
et qui regardent, se délectant de leur abjecte cruauté. ASSOCIATION POUR LA PROTECTION DES ESPECES SAUVAGES. ASPAS.
Sanglier. Dogue argentin.

© Maurice Chatelain

<center>Les félins n'ont pas le vertige. Avec toute l'aisance<br>
de ceux de son espèce, il franchissait tous les obstacles.

© Maurice Chatelain

<center>
Malgré les nombreux panneaux, la mort frappe cette tortue <br>
aquatique très vulnérable (voir ma galerie " la route tue ").
Automobilistes, si vous passez en Brenne, merci d'être vigilants.<br>
Et si vous souhaitez en savoir plus sur cette espèce protégée : http://www.cistude-aquitaine.net/accueil/accueil.htm Cistude. Tortue aquatique. BRENNE .

© Maurice Chatelain

Albatros des Iles Galapagos, espèce endémique,famille des diomédéidés, se reproduit uniquement sur l'île Española.Envergure 2,5 m. pour 4 kg. environ. Albatros des Galapagos endémique uniquement sur l'île Española aux îles Galapagos Equateur

© Yves Vallier

 Phoque moine d'Hawaii espèce en danger

© Yves Vallier

 Tortue verte iles Hawaii espèce protégée

© Yves Vallier

<b>Uroplatus lineatus.</b> Gecko à queue plate, endémique et nocturne. Uroplatus lineatus,  gecko bambou, espèce nocturne et endémique à Madagascar

© Yves Vallier

<b>Calumma brevicornis.</b>Caméléon endémique qui mesure une trentaine de cm queue comprise. La femelle a l'habitude d'enterrer ses oeufs à une profondeur d'une dizaine de cm. Calumma brevicornis, caméléon à petite corne, espèce endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Furcifer lateralis.</b> Caméléon mâle.Il mesure une vingtaine de cm queue comprise. Furcifer lateralis. Caméléon tapis, espèce endémique de Madagascar

© Yves Vallier

<b>Propithecus diadema.</b>Fruits, feuilles et fleurs, selon les saisons, constituent son régime alimentaire. Il consomme chaque jour environ 25 espèces différentes de végétaux.
L'exploitation de la forêt par l'homme est une réelle menace pour cette espèce. Propithèque diadème, propithecus diadema, lémurien endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Crocodilus niloticus.</b>Identique à l'espèce africaine bien que certains tendent à la considérer comme une espèce endémique (C.n.madagascariensis). Atteint 4 mètres de longueur. Une chasse intense dans le passé pour sa peau et la collecte des oeufs a presque décimé l'espèce qui reconstitue aujourd'hui lentement ses effectifs. On compte environ 30.000 individus, largement répartis sur l'île, dans des régions difficiles d'accès (rivières ou zones marécageuses). Crocodile du Nil, crocodylus niloticus amphibien de Madagascar.

© Yves Vallier

Caméléon endémique. Petite espèce qui mesure 17 cm en totalité. Caméléon endémique de Madagascar, Furcifer willsii

© Yves Vallier

<b>Calumma parsonii.</b> Espèce endémique originaire de la forêt primaire, le caméléon de Parson, de couleur turquoise, est le plus gros de la zone considérée. Le mâle mesure entre 50 et 60 cm de longueur y compris la queue. Caméléon de Parson, calumma parsonii, endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Zonosaurus maximus.</b>Le plus grand du genre. Espèce endémique malgache qui vit à proximié de l'eau. Iguane endémique malgache. Zonosaurus maximus.

© Yves Vallier

<b>Eulemur fulvus fulvus.</b> Ce lémurien, que l'on trouve aussi à Mayotte, est la seule espèce qui ne présente pas de dimorphisme sexuel. Le corps mesure environ 50 cm, autant pour la queue, pour un poids de 2 à 3 kg. Habite la forêt pluvieuse, dans de petits territoires situés au centre-est et au nord-ouest de Madagascar. Maki brun, Eulemur fulvus fulvus de Madagascar et Mayotte.

© Yves Vallier

<b>Argema mittrei.</b> Espèce endémique. C'est l'un des plus gros papillons du monde. Le mâle mesure jusqu'à 20 cm de longueur de la tête au bout de la queue. Papillon endémique, Argema mittrei.

© Yves Vallier

<b>Corythornis vintsioides vintsioides.</b> Espèce considérée à Madagascar comme une endémique. Ce petit oiseau (15 cm environ du bec à l'extrémité de la queue)robuste et nerveux fréquente les eaux saumâtres et les rivières ombragées. Martin pêcheur malachite endémique à Madagascar. Corytornis vintsioides vintsioides.

© Yves Vallier

Espèce endémique de Madagascar. La femelle mesure un peu plus de 15 cm queue comprise. Furcifer minor femelle, caméléon endémique femelle de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Fossa fossana.</b> Espèce endémique répartie tout le long de la côte est de Madagascar, dans les forêts pluvieuses. Le corps mesure  40 cm environ, plus une vingtaine de cm pour la queue. Civette malgache. Fossa fossana. Civette malgache, espèce endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Oplurus quadrimaculatus.</b> Grande espèce endémique mesurant 40 cm environ, cantonnée principalement dans le centre-sud et le sud de l'île. Iguane, Oplurus quadrimaculatus.

© Yves Vallier

<b>Eulemur rubriventer.</b>Endémique. Répartition dans les forêts pluvieuses, primaires et secondaires, le long de la côte est. Très territorial, il vit en famille de 2 à 6 individus qui comprend les parents et leurs petits. Conduit par une femelle dominante, le groupe se déplace durant toute la journée afin de subvenir à ses besoins en nourriture. Il utilise environ 70 espèces différentes de plantes durant une année. Son régime alimentaire est complété d'invertébrés de type mille pattes. La déforestation le condamne à terme. Maki à ventre roux. Eulemur rubriventer, lémurien endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Calumma parsonii.</b>Endémique. Une taille impressionante, une corne épaisse en avant de la face et un casque occipital le distinguent de toutes les autres espèces. Calumma parsonii, caméléon de Parson endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Sanzinia madagascariensis.</b>Boa femelle endémique de Madagascar. Pupille verticale et écailles ornant la mandibule supérieure rendent l'espèce facilement reconnaissable . De moeurs plutôt nocturnes, elle se situe dans la partie est de l'île, dans les forêts pluvieuses de préférence. Ovovivipare, elle donne naissance après 6 à 7 mois de gestation à une portée pouvant aller jusqu'à 16 jeunes d'une quarantaine de cm. Sa taille adulte peut dépasser les 2,5 m de longueur. Espèce protégée par la Convention de Washington. Sanzinia madagascariensis, boa femelle endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

Espèce endémique, dont la distribution semble être réduite à la partie centre-sud de l'île. Le mâle mesure plus de 20 cm. La coloration de ce dernier est nettement moins vive que celle de la femelle. Furcifer minor mâle. Caméléon endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

Les îles Falkland sont situées sur le 52° sud, à 500 km. au large de la Patagonie. Le vent est un hôte permanent de l'archipel mais aussi une avifaune très riche et plusieurs espèces de mammifères marins. Iles Falkland, Iles Malouines hémisphère sud.

© Yves Vallier

<b>Mirounga leonina.</b> Phoque mâle adulte. Contrairement à l'otarie, autre espèce de mammifère marin, le phoque ne porte pas d'oreilles externes. Durant la période de rut, l'appendice nasal de l'éléphant de mer atteint une cinquantaine de cm. Eléphant de mer, Pinipède, famille des Phocidés. Mammifère marin de l'hémisphère sud et  des Iles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Eudyptes chrysocome.</b> Cette espèce a subi depuis 1900 de lourdes pertes, dues à son exploitation pour en retirer sa graisse, au ramassage des oeufs, mais aussi, plus récemment, par une baisse de sa principale source de nourriture, le krill, suite probablement à un réchauffement des eaux. Gorfou sauteur. Eudyptes chrisocome. Manchot des îles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Grapsus grapsus.</b> Prédateur et nécrophage, se nourrit d'autres espèces, mais aussi de la sienne, de particules animales et de petits crustacés. Crabe zayapa, grapsus grapsus des Iles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Conolophus pallidus.</b> Espèce endémique qui se trouve uniquement sur Santa Fé. La plus grosse des deux espèces d'iguanes terrestres, il mesure 1 m environ et peut atteindre le poids de 13 kg. Iguane terrestre, Conolophus pallidus, espèce endémique des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Larus furcatus.</b> Espèce endémique. Palmipède dont le nom lui vient d'aronde, ancien nom de l'hirondelle. Elle a également la queue fourchue, comme le petit passereau. Mouette à queue d'aronde,  palmipède, famille des laridés, endémique des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Amblyrhynchus cristatus.</b> Espèce endémique avec 7 sous-espèces réparties sur plusieurs îles, qui varient en tailles, de 75 cm à 1,30 m. Seul lézard marin du monde, il pourrait avoisiner les 9 milliards d'années. A l'origine, il s'agirait d'un iguane terrestre qui s'est adapté au monde sous-marin suite à une concurrence importante dans la recherche de nourriture sur terre. Iguane marin, espèce de lézard endémique des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Nannopterum harrisi.</b> Espèce endémique. Ce cormoran est l'exemple vivant de la théorie de Charles Darwin sur l'évolution des espèces. Afin de s'adapter pour survivre, ses ailes se sont attrophiées au point de n'être plus que des ailes-nageoire, son corps s'est alourdi afin de couler plus rapidement et ses pattes renforcées pour palmer vigoureusement sous l'eau. De retour de pêche, il régurgite ses aliments en partie pré-digérés pour nourrir son poussin. Cormoran aptère, palmipède endémique des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Fregata minor ridgwayi.</b> La femelle arbore un cercle de peau nue et rouge autour de l'oeil. Les frégates excellent dans le parasitisme des fous, phaétons ou autres espèces qu'elles harcèlent en vol afin de leur faire régurgiter les prises. Grande frégate, oiseau de mer des îles Galapagos

© Yves Vallier

<b>Chelonia mydas agassisi.</b> Sous-espèce de la tortue verte du Pacifique. Uniquement herbivore. En une nuit, elle pond de 50 à 80 oeufs qu'elle enterre dans le sable d'une plage. Tortue verte, Chelonia mydas agassisi, sous-espèce de la tortue de mer du Pacifique, îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Diomedea irrorata.</b> Espèce endémique, représentée par 12.000 couples regroupés sur une seule île de l'archipel : Española. Une incubation longue de 60 jours donne naissance à un  seul jeune qui restera au nid durant 170 jours avant de gagner les airs où il excelle. Albatros des Galapagos, espèce d'oiseau de mer, palmipède endémique sur Española aux îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Conolophus pallidus.</b> Les iguanes terrestres se nourrissent exclusivement des fruits et des raquettes des cactus Opuntia dont ils grattent les piquants avec leurs pattes. Les jeunes capturent également des insectes. Iguane terrestre, Conolophus pallidus , espèce endémique sur l'île de Santa Fé aux îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Amblyrhynchus cristatus.</b> Il vit à terre mais se nourrit uniquement sous l'eau, d'algues vertes chlorophylliennes qu'il va brouter à une profondeur d'une dizaine de m, au cours d'apnées d'une durée de plusieurs minutes. Son rythme cardiaque ralentit alors, afin de consommer moins d'oxygène. Sous l'eau, pour se déplacer, il utilise ses pattes et sa queue applatie latéralement qui ondule comme une godille. Son régime est riche en sel qu'il doit éliminer grâce à des glandes situées sur la partie frontale et qu'il éjecte par des éternuements fréquents. Iguane marin, espèce de reptile endémique des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Buteo galapagoensis.</b> Espèce endémique dont la taille avoisine les 50 cm. La femelle s'accouple avec plusieurs mâles (polyandre)ce qui a pour effet bénéfique d'assurer pour sa progéniture d'une part un apport suffisant en proies et d'autre part une bonne protection contre d'autres prédateurs. Huit cents individus sont répartis sur la plupart des îles. Buse des Galapagos, rapace diurne, espèce endémique des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Nannopterum harrisi.</b> Espèce endémique. Le mâle et la femelle participent au développement de leur progéniture, se relayant périodiquement et alternant ainsi période de couvaison et pêche en mer. Cormoran aptère espèce endémique des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Diomedea irrorata.</b> Espèce endémique. Avec son envergure de 2,35 m, il est le plus grand des oiseaux des Galapagos. Sa nourriture est composée essentiellement de petits poissons et de crustacés. Il lui faudra 6 ans pour atteindre la maturité sexuelle et revenir sur le lieu de sa naissance pour assurer sa descendance. Albatros des Galapagos, Diomedea irrorata, Oiseau de mer, palmipède, espèce endémique

© Yves Vallier

<b>Amblyrhynchus cristatus.</b> Espèce endémique. Le passage d'El Niño réchauffant les eaux affecte durement ses sources de nourriture et cause parfois d'énormes dégâts dans sa population. Animal à sang froid, il doit continuellement se réchauffer au soleil, avant d'aller se nourrir et à son retour. Iguane marin des îles Galapagos. Amblyrhynchus cristatus.

© Yves Vallier

<b>Microlophus grayi.</b> Espèce endémique. Il se nourrit d'insectes, de plantes ou de certaines fleurs. Il est la proie des buses, serpents, hérons et moqueurs. Lézard des laves, Microlophus grayi, espèce endémique.

© Yves Vallier

<b>Buteo galapagoensis.</b> Espèce endémique. Prédateur, chasseur et nécrophage opportuniste, elle se nourrit de jeunes iguanes, lézards, oiseaux, rats, de cadavres de mammifères marins ou terrestres. Buse des Galapagos, Buteo galapagoensis, rapace endémique.

© Yves Vallier

<b>Sula dactylatra granti.</b> Récemment établie comme une sous-espèce de Sula dactylatra. Avec une envergure d'1,50 m, il est le plus grand des 3 fous de l'archipel. Excellent plongeur, il pêche loin des côtes. Fou masqué, Fou de Nazca, Sula dactylatra granti sous-espèce de Sula dactylatra, oiseau des mers tropicales et des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Alsophis biseralis.</b> Espèce endémique. Celle-ci vient de capturer un jeune iguane marin et tente de l'avaler. L'espèce consomme des lézards des laves, des geckos, des souris et de jeunes oiseaux. Couleuvre des Galapagos, Alsophis biseralis, espèce de serpent endémique des Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Conolophus subcristatus.</b> Espèce endémique, la plus représentée dans toutes les îles. Iguane terrestre, Conolophus subcristatus, espèce endémique des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Zenaida galapagoensis.</b> Espèce endémique qui se nourrit principalement de graines au sol, de larves, d'insectes et de fruits des cactus. Tourterelle des Galapagos, Zenaida galapagoensis,

© Yves Vallier

<b>Geochelone elephantopus.</b> Espèce regroupant 14 variétés dans l'archipel. Elle mesure 1,50 m au sommet de la carapace et pèse jusqu'à 250 kg. La population est estimée à 15.000 individus répartis sur toutes les îles. Longtemps exploitée, notamment par les pirates qui hantèrent les lieux et qui l'utilisèrent comme nourriture, elle fait actuellement l'objet de soins particuliers dans des élevages. Elle pourrait vivre jusqu'à 150 ans. Tortue galapago, Geochelone elephantopus, reptile des Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Dendroica petechia aureola.</b> Sous espèce endémique commune sur de nombreuses îles. Fauvette jaune, Dendroica petechia aureola, passereau de petite taille des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Bos gaurus.</b> Espèce en danger, constituant quelques derniers groupes éparpillés sur le continent indien. Appelé aussi bison indien, ce puissant boviné de 1,80 m au garrot, pour un poids de 900 kg pour le mâle et 700 pour la femelle, affiche pourtant un tempérament timide et craintif. Animal sociable, amateur de forêts, il se nourrit principalement d'herbe et de fruits de saisons. Gaur, Bos gaurus, ou bison indien, mamifère herbivore de grande taille de régions indiennes.

© Yves Vallier

<b>Grus leucogeranus.</b> Espèce gravement en danger. La chasse, les pesticides et la réduction des territoires où elle trouvait sa nourriture, ont décimé ses troupes. Migrateur régulier dans le passé au Rajasthan où elle constituait des rassemblements allant jusqu'à 200 individus. Aujourd'hui, quelques individus s'y arrètent exceptionnellement. Un plan de protection et de réintroduction a été mis en oeuvre  depuis quelques années en Inde. L'espèce niche au nord de la Russie Grue de Sibérie. Echassier inscrit sur la liste rouge des espèces gravement en danger.

© Yves Vallier

<b>Callorhinus ursinus.</b> Le mâle porte avec ostentation de longues moustaches.  L'otarie se différencie des phoques par ses oreilles externes. Elle est équipée, pour affronter les plus basses températures, d'un pelage composé d'environ 300.000 poils et duvets pour 6 cm2. Essentiellement pélagique, elle ne revient à terre que pour se reproduire. La population totale est de 2 millions d'individus, dont 1,4 aux îles Pribilof. Le reste est réparti en mer d'Okhotsk, aux îles Kouriles, le long des côtes ouest de la mer de Béring et du Pacifique nord. Otarie à fourrure, Callorhinus ursinus, espèce nordique des îles Pribilof, Kouriles et de l'océan  Pacifique nord.

© Yves Vallier

<b>Lunda cirrhata.</b> Appelé également Macareux du Kamtchatka, cet oiseau de mer fait partie de la famille des Alcidés. Il niche en colonies, avec d'autres espèces, dans les pentes abruptes et les éboulis. Macareux huppé, Lunda cirrhata, oiseau de mer de la famille des Alcidés, mers de Béring et d'Okhotsk, océan Pacifique nord.

© Yves Vallier

<b>Alsophis biseralis.</b> Espèce endémique qui mesure environ 80 cm de longueur. Les serpents recensés sur les îles sont constricteurs et non venimeux. Couleuvre des Galapagos ingérant un jeune iguane  marin

© Yves Vallier

<b>Cervus nippon.</b> Dyrehaven. Danemark. Espèce originaire d'Asie, introduite en Europe. Hauteur au garrot environ 75 cm. Durant la période du rut, le mâle peut avoir jusqu'à 7 biches. Cerf sika, Cervus nippon, Dyrehaven, Danemark.

© Yves Vallier

<b>Falco peregrinus.</b> Jura. Rapace de corpulence moyenne : masse 550-650 g pour le mâle, 800-1100g pour la femelle. Longueur 35-40 cm pour le mâle, 40-50 cm pour la femelle. Envergure 70-85 cm pour le mâle, 95-110 cm pour la femelle. En Europe, ses effectifs sont estimés entre 7 et 8000 couples. Il se nourrit essentiellement d'oiseaux. Les proies sont capturées en plein vol à la suite d'une attaque à grande vitesse en piqué, ailes fermées. La réussite est d'une prise pour 4 à 6 attaques au dessus de l'eau et 15 à 20 attaques au dessus de forêts. Espèce répandue sur tous les continents à l'exception de l'Antarctique et de quelques îles des océans Indien et Pacifique. L'espèce est protégée en France et dans tous les pays industrialisés. (sources : René-Jean Monneret) Faucon pèlerin, Falco peregrinus, Jura et vallée du Rhône, sources René-Jean Monneret.

© Yves Vallier

<b>Hirundo rustica.</b> France. Espèce commune en Europe. Nourriture essentiellement constituée d'insectes capturés en vol : mouches, taons... Retour dans nos régions en avril, ponte fin du mois, 5 oeufs. Les hirondelles commencent leur migration fin août vers l'Afrique tropicale. Elles peuvent couvrir entre 2 et 3000 km par jour et accomplissent des voyages de plus de 10.000 km. L'hirondelle peut vivre une douzaine d'années. Hirondelle de cheminée. Hirundo rustica.

© Yves Vallier

<b>Felis silvestris.</b> Bayericherwald. Espèce menacée par la réduction constante de son habitat et son croisement de plus en plus fréquent avec le chat domestique. Chat sauvage. Felis silvestris.

© Yves Vallier

<b>Felis lynx.</b> Bayericherwald. Espèce largement répartie en Europe dans le passé. Il ne reste plus aujourd'hui que quelques éléments isolés, en Espagne, dans les Balkans, en Suisse et Yougoslavie. En France, il réside en petits nombres, dont la plupart ont été réintroduits dans les Vosges, le Jura, la haute savoie et les Pyrénées. Lynx en automne. Felis lynx au Bayericherwald. Félidés.

© Yves Vallier

<b>Sterna paradisaea.</b> Iles Féroé. L'ensemble du bec est rouge carmin foncé. Une queue longue et échancrée, des ailes effilées lui donnent une allure légère. Elle est soumise à un régime piscivore exclusivement. Espèce nordique, elle effectue à partir d'août un voyage de plus de 15000 km pour gagner l'Antarctique et ses eaux riches en poissons. Sterne arctique, Sterna paradisaea aux îles Féroé. Oiseau de mer.

© Yves Vallier

<b>Recurvirostra avosetta.</b> Hollande. Inféodée à un régime d'animaux vivant dans des eaux salées, vers, mollusques et larves, cet échassier fréquente le littoral, les plans d'eau stagnante et saumâtre. Espèce grégaire, elle constitue pour nicher des colonies et, lors des migrations d'automne, des rassemblements importants. Avocette. Recurvirostra avosetta. Echassier du littoral.

© Yves Vallier

<b>Tyto alba.</b> Chez les rapaces, les pattes servent à se défendre, capturer, tenir, tuer parfois. La force dans les serres peut-être considérable chez certaines espèces : Gérard Ménatory relate dans un de ses livres la décapitation d'un chat par un simple coup de patte d'aigle royal. Un vétérinaire qui manipulait, pour le soigner, un grand duc blessé a eu l'avant bras transpercé par son "pouce". Pour construire son nid, l'aigle royal casse des branches en plongeant, serres en avant. Pattes de Chouette effraie rapace nocturne. Tyto alba.

© Yves Vallier

<b>Strix uralensis.</b> Les rapaces nocturnes ne construisent pas de nid. Ils préfèrent utiliser ceux abandonnés par d'autres espèces ou les cavités de falaises et d'arbres. Chouette de l'Oural. Strix uralensis. Rapace nocturne d'Europe.

© Yves Vallier

<b>Falco peregrinus.</b> Espèce cosmopolite répandue sur tous les continents à l'exception de l'Antarctique et de quelques îles des océans Indien et Pacifique. Protégée en France et dans tous les pays industrialisés. Après une régression mondiale de 1945 à 1975, principalement imputable aux pesticides organochlorés, l'espèce a partout reconstitué une bonne partie de ses effectifs, à l'exception de la Scandinavie et de l'Amérique du nord. Bien que relativement "rare" en Europe, ses effectifs sont en accroissement constant depuis le milieu des années 70. Les populations les plus nombreuses se rencontrent en Ecosse, en Espagne, en Sicile, sur tout l'arc Alpin et les régions montagneuses adjacentes, à l'exception de celles, colonisées par le grand duc, où l'espèce est plus rare, voire absente. (sources : René-Jean Monneret) Faucon pèlerin, Falco peregrinus, Jura et vallée du Rhône, sources René-Jean Monneret.

© Yves Vallier

<b>Nasalis larvatus</b>. Mâle. Nasique de Bornéo. Bornéo. Malaisie. Espèce endémique de Bornéo. Grand singe. Forêt de Bornéo. Nasalis larvatus.

© Yves Vallier

 Kétupa de Blakiston. Ketupa blakistoni. Okkaido. Japon. Liste UICN : espèce en danger.

© Yves Vallier

Foudia madagascariensis. Femelle. Espèce endémique à Madagascar, introduite dans l'archipel. Foudi rouge femelle. Foudia madagascariensis. Iles Seychelles. Océan Indien.

© Yves Vallier

Copsychus sechellarum. Espèce endémique. Classée en danger dans la liste IUCN.

© Yves Vallier

Iguana iguana. Espèce introduite en 1960. Aujourd'hui largement répandue au dépend de l'Iguane des petites Antilles qui accuse une baisse alarmante dans ses effectifs. Iguane commun. Iguana iguana. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Contrairement aux apparences, ce rhinocéros est noir. Il sort d'un bain de boue de couleur claire. Observé dans le cratère du Ngorongoro, il est au repos. Ce gros animal puissant, aujourd'hui très protégé, se nourrit de feuillages de plus de 200 espèces d'arbustes, plantes herbacées et légumineuses. Il peut courir à la vitesse de 50 km/heure. rhinoceros,noir,tanzanie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Observé près du lac Nakuru, au Kenya, ce Rhinocéros blanc se distingue du Rhinocéros noir par une large bouche et une bosse sur le dessus du cou. Il vit dans la savane arborée fournissant de l'ombre, des points d'eau et de la boue. Il se nourrit d'herbe. Espèce en danger, il fait l'objet d'une protection toute particulière. rhinoceros,blanc,kenya,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

 

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