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Cette photo, ainsi que la suivante, a été prise dans le sud du Kruger où les rencontres avec cette espèce ont été très nombreuses (entre Lower Sabie et Crocodile bridge) mammiferes antilope afrique koudou

© Daniel Trinquecostes

La région de Lower Sabie nous a permis de nombreuses observations de cette éspéce.Il s'agit d'une trés grande antilope avec un corps mince.La tête est petite et les oreilles,trés grandes sont de formes cupuliformes. mammiferes antilope afrique koudou

© Daniel Trinquecostes

Le steenbok porte aussi le joli nom de Raphicére champêtre.Ses narines sont nues,noires et brillantes.Il présente une tache caractéristique noire sur l'arête du nez ainsi qu'un croissant foncé sur le front. mammiferes afrique antilope steenbok

© Daniel Trinquecostes

il s'agit d'une anse qui se trouve sur l'ile qui se nomme "la digue"

© Daniel Trinquecostes

de nombreux arbres morts jonchent à certains endroits la savane et servent à la creation de termitières

© Daniel Trinquecostes

en 1999 la saison des pluies était en retard et de nomreuses riviéres se trouvaient presque à sec

© Daniel Trinquecostes

dans la partie nord du parc il est fréquent de rencontrer ce type d'amas rocheux qui peut servir de cahes à de nombreux animaux

© Daniel Trinquecostes

dans la partie haute du parc de nombreux baobab sont visibles

© Daniel Trinquecostes

Ces crabes sont trés nombreux aux Galapagos.Celui ci fut observé à punta espinosa où il sont trés nombreux et facile à observer.Pour la prise de vue,je recommanderai une longue focale avec le boitier réglé en AF continu afin de pouvoir se concentrer sur l'animal et le suivre en continu. photo crabe zayapas

© Daniel Trinquecostes

Le mâle est vraiment un splendide oiseau.On le voit ici avec un juvénile.La parade nuptiale aérienne de l'aigle bateleur est trés spectaculaire.Il construit un nid de branchages au sommet d'un grand arbre qu'il lui arrive de réutiliser.L'aigle bateleur doit son nom au balancement qu'il prend pendant le vol. photo aigle bateleur

© Daniel Trinquecostes

Brame sous la pluie.Cette photo prise au 10 éme de seconde est un grand souvenir car elle m'a permis d'être primé de nombreuses fois. cerf brame

© Daniel Trinquecostes

South Plazza.Certainement un des meilleurs endroits pour voir et photographier les Iguanes terrestres.Ils y sont trés nombreux.La encore ,faites en sorte si vous avez la chance de vous y rendre,de débarquer tôt afin d'éviter la lumiére trés blanche qui s'installe à partir de 9 heures du matin. photo iguane terrestre

© Daniel Trinquecostes

La variété d'iguane terrestre visible en quantité importante sur South Plazza est celle de petite taille.Ils atteignent néanmoins prés d'un métre de longueur.Ils sont vraiment trés nombreux sur cette petite ile où il est également possible de voir des iguanes marins et des otaries à fourrure tout prés du point de débarquement. photo iguane terrestre

© Daniel Trinquecostes

Le débarquement à Darwin bay (Genovesa) est réellement un moment magique vu le nombre de grandes frégates qu'il est possible de voir.D'autant plus que lors de la visite du site ,de nombreuses autres espéces sont observables: mouette à queue d'aronde,fou à patte rouge,fou à pied bleu,héron strié,otarie,etc ... photo grande frégate

© Daniel Trinquecostes

Nombreux sont aux Shetlands où la tere se perd dans les brumes et les nuages. Shetlands Ile

© Daniel Trinquecostes

Sur l' île de Bressay, on rencontre comme ailleurs sur ces îles, de nombreux murs de pierres qui constituent autant de clotures pour les moutons. Shetlands Ile

© Daniel Trinquecostes

Au bout du bout des Shetlands,quand la terre battue par les vents se perd dans la mer, vous êtes dans cet endroit magique qui se nomme " Hermaness".Vous pourrez y observer à loisir les macareux et les fous en toute tranquilité. Shetlands Ile

© Daniel Trinquecostes

Cet arbre autour duquel sont réunis ce cerf et ces biches était un des plus beau du parc.Très agé comme nombre des chênes du parc, il s'est écroulé pour une raison que j' ignore...peut être la foudre.Si vous vus rendez à Dyrekaven ne manquez pas d'admier les arbres du parc, qui ont une architecture trés caractéristique. Parc de DYREHAVEN .Brame 2006
Cerf au brame.Brame du cerf
Dyrehaven 2006
Mammifère.
Cerf élaphe.Cervus élaphus.
Photographie de faune sauvage.
Daniel TRINQUECOSTES
Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Bergeronnette des ruisseaux .Ce passereau affectione tout particulierement les petits cours d'eau aux eaux vives avec de nombreuses pierres saillantes hors de l'eau.Au printemps on peut la voir virevolter au dessus de l'eau pour attraper des insectes. BERGERONNETTE des RUISSEAUX.
OISEAUX
PHOTOGRAPHIE de FAUNE SAUVAGE

Daniel TRINQUECOSTES
QUE NATURE VIVE

© Daniel Trinquecostes

Me voilà de retour en Ariège en ce début d'avril 2012.C'est mon séjour habituel à la recherche des cincles et autres oiseaux fréquentant les eaux vives des rivières ariègeoises comme la bergeronnette des ruisseaux.
Je trouve que cette année elles sont nettement moins nombreuses que d'habitude ....pourquoi , je ne sais ! Bergeronnette des ruisseaux
Oiseaux
Photographe naturaliste
Photographie de nature et de faune sauvage

Daniel TRINQUECOSTES
Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

<center>
L'Inde : pays ô combien attirant ! A peine rentré de ce pays extraordinaire, je cherche déjà une date pour y retourner.<br>
"L'Inde n'est pas un pays que l'on peut simplement visiter.<br> 
C'est une contrée qui exige un engagement total <br>
et que l'on n'oublie jamais." (LONELY PLANET).<br>
Quelques images toutes simples, glanées au cours de<br>
mes nombreux séjours ; des rencontres au hasard des villages<br>
traversés ; toutes au Rajasthan, depuis Delhi jusqu'au désert <br>
de Thar. Viendront plus tard, des images faites dans le Madhya<br> Pradesh et l'Uttar Pradesh. Et toujours le sourire, la beauté<br>
des regards et les merveilleuses couleurs des saris des femmes.
 
 fleurs,couleur,plante

© Maurice Chatelain

<center>
Ayant, bien malgré moi, troublé sa sérénité, il se lève et, tout ruisselant, s'enfonce lentement dans la jungle. Je peux suivre<br>sa progression grâce aux nombreux cris d'alarme des langures. tigre debout,rivière

© Maurice Chatelain

<center>
Dans le calme du sous-bois, ce jeune tigre se repose.<br>
Il m' observe avec beaucoup de curiosité. Le manque de<br> luminosité ne me permet pas de réaliser de nombreux clichés. tigre,au repos,sous-bois,jungle,inde

© Maurice Chatelain

<center>
Au sommet, un sentier circule sur sa périphérie, permettant d'en faire le tour ; attention néanmoins en traversant la partie rocheuse !  Nombre de fumerolles dégagent des vapeurs d'anhydride sulfureux. volcan, vulcano,le cratère.eoliennes

© Maurice Chatelain

<center>Avant que Bercy ne devienne un temple du sport, de nombreux chats vivaient dans les entrepots... Ceux-ci étaient les derniers survivants.
 chats

© Maurice Chatelain

<center>De nombreuses épaves jonchent les plages de la Côte des Squelettes. épaves côte des squelettes namibie

© Maurice Chatelain

<center>Dunes en croix qui retiennent cette eau providentielle pour le monde animalier.
Miroir naturel, ce lac sera le refuge de nombreux oiseaux. <br>Spectacle sublime et privilégié de ces lacs éphémères. lacs dans les  dunes, Namibie, région de sossusvlei.

© Maurice Chatelain

<center>De nombreuses galeries servent de garde-manger ; les renardeaux se déplacent d'un orifice à l'autre, sous les roches.
 Renardeau devant son terrier. Vallée de cogne. Aoste

© Maurice Chatelain

<center>C'est à bord de ce monomoteur pouvant emmener <br>au maximum 5 passagers que je survole,  entre sable<br> et mer, les parcs de la Skeleton coast et de Namib-Naukluft. Avion blanc monomoteur au dessus des dunes du Namib, sossuvlei ,namibie. Dunes de sable.

© Maurice Chatelain

<center>Vue du ciel : la dune 45 ; elle doit son nom à la distance qui<br> la sépare de l'entrée du Namib-Naukluft... en kilomètres ! Dune 45 , vue du ciel ,Namibie.

© Maurice Chatelain

<center>Comme pour nombre d'animaux,<br> cette attitude est caractéristique dès le lever. étirement lionne. tanzanie.

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

<center>
Les chamois ont payé un lourd tribut cette année à la montagne.<br>
Entre les vallées de Cogne et Valsavarenche, <br>
le nombre d'individus morts est impressionnant. Cadavre de chamois tué par une avalanche. Vallée de Cogne Grand Paradis.

© Maurice Chatelain

<center >
Ce soir, 15 septembre 2009.<br>
Un salopard d'automobiliste qui habite mon hameau<br>
et qui, comme bon nombre d'habitants, <br>
roule à tombeau ouvert sur l'étroite rue où deux voitures<br>
ne peuvent pratiquement pas se croiser. Que ce soit en voiture,<br>
à moto ou en quad, ils roulent vite, trop vite.

© Maurice Chatelain

 Le Grand Nomenon de Cogne Grand Paradis

© Maurice Chatelain

<center>
Le feu prend lentement.<br>
Les bûches commencent à réchauffer l'unique pièce de<br>
ce chaleureux bivouac pouvant accueillir 6 personnes. Bivouac Gontier Grand Nomenon vallée de Cogne Grand Paradis Vallée d'Aoste

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

<center>
Le jour se lève sur la maison des Gardes.<br>
Entre les monts Nomenon et Favret, le col Charbonnière,<br>
l'un des passages pour le Valsavarenche. Maison du garde Grand Nomenon, vallée de Cogne, Grand Paradis.

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

<center>
Ce glacier se trouve à la base de la tête de la Tribolazione (3642m)
 ainsi que de celle de Valnontey (3562 m). Vallée et torrent qui<br>
 descendent du glacier portent le nom de cette dernière. Glacier de la Tribolaziione 'vallée d'Aoste" italie

© Maurice Chatelain

<center>
Brève apparition de mon Ami le Goupil...<br>
Devenus trop nombreux sur ce territoire,<br>
des déplacements de Renards ont été effectués cette année.
 Renard de profil.
Grand Paradis AOSTE

© Maurice Chatelain

<center> C'est aussi le nom du meublé de Luciana, Lou Tsantelat à Valnontey, Meiblé "Lou Tsantelat "  Vallée de Cogne. Village de Valnontey. Aoste.

© Maurice Chatelain

<center>Merci Lionel, mon ami photographe, de me permettre de rectifier <br>
le nom de cet oiseau ; j'ai cru qu'il s'agissait d'un verdier.

© Maurice Chatelain

<center> Trouvé dans cet état, dans un fossé à la sortie <br>
d'une buse pour l'écoulement de l'eau.<br> 
Ici, aux alentours du village où je me trouve,<br>
 il y a de nombreuses battues pour détruire ce pauvre mammifère. <br>
Pensez... il risque de grignoter les quelques faisans et autres lapins<br>
de garenne qui survivent péniblement sur des terres <br>
qui dorénavant ressemblent à des déserts. Carcasse de Renard mort au bord d'une petite route.

© Maurice Chatelain

<center>
Il est fréquent de voir les chacals aux points d'eau où ils campent<br> avec beaucoup de patience. Il faut dire que très nombreux sont <br>
les Gangas et autres tourterelles à venir s'y désaltérer.<br>
Leur envol bruyant est des plus spectaculaires et graphiques, <br>
quand le chacal se précipite pour accrocher, de ses crocs, <br>
l'un de ces volatiles. Il essuie de nombreux échecs ; <br>
désabusé, le chacal se recouche et semble marmonner de dépit. Chacal à CHABRAQUE kalahari Namibie.

© Maurice Chatelain

<center> 
Savez-vous qu'il est INTERDIT de nourrir les animaux.<br> 
Dans les campings nombreux sont ceux qui profitent des restes<br>
laissés volontairement ou tombés au sol.<br>
Je vais faire un aveu : j'ai beaucoup de mal à ne pas donner<br>
quelques miettes à ces adorables écureuils... Ecureuil terrestre assis au sol et dégustant un morceau de pain. KGALAGADI Transfrontier Park.

© Maurice Chatelain

<center>Comme toujours en voyage, il est important de lire les recommandations.<br>De nombreux panneaux expliquent l'histoire de ce site. Attention Visiteurs Panneau Recommandations Fish River Canyon Namibie

© Maurice Chatelain

<center>
Une vue de l'arrière.
Ils arrivent de plus en plus nombreux.<br>
 manif charlie hebdo châtellerault vienne

© Maurice Chatelain

<center>
Le talent s'exprime de belle manière. <br>
J'ai relevé le nom de l'artiste : Hélène Valentin.

© Maurice Chatelain

<center>
Cette coupe semble propice à ces bêtes rousses. <br>
Se nourrir ensemble. Commence alors les affrontements<br>
entre jeunes ; ici avec des "deuxième année". <br>
Observations très intéressantes. La forêt de feuillus<br>
assure le gite et le couvert. Idéal pour ces dernières<br>
bêtes sauvages des milieux forestiers. Sangliers de deuxième année avec des bêtes rousses. milieu forestier .

© Maurice Chatelain

<center>
Très loin mon regard se porte et je distingue ce chamois <br>
totalement immobile. Il le restera, ce qui me permettra<br>
de monter le doubleur sur mon 300mm. Je l'ai ainsi observé<br>
longuement et ai réalisé quelques images... que je nomme<br>
des photos souvenirs. L'ambiance était intéressante. Chamois de face sur le sommet du versant.

© Maurice Chatelain

<center>
Sur ce versant, les femelles sont nombreuses mais le respect<br> 
est de rigueur : le temps est à la prise de poids pour affronter<br>
les fortes chutes de neige à venir. <br>
L'approche doit donc être discrète.<br>
Les jeunes, qui ont 6 mois, se nourrissent abondamment <br>
avant le rude hiver qui les attend.

© Maurice Chatelain

<center>
L'amandier est le premier arbre qui fleurit au printemps ;<br>
sa floraison précoce représente toute la grâce exquise<br> 
d'un amour virginal. La légende grecque veut que l'amande <br>
pressée soit <I>la semence de Zeus</i> qui apportait la puissance<br>
magique et créatrice. Aux vertus médicinales très nombreuses ;<br>
elle permet de lutter, entre autres, contre la toux, les maux de gorge,<br> la coqueluche ou toute autre
affection pulmonaire. Le lait ou l'huile d'amande douce sont réputés pour tonifier et purifier l'épiderme. amande, l'arbre amandier au printemps

© Maurice Chatelain

<center>
Dipsacus sylvestris ; vient du grec <i>dipsaô</i> : « j'ai soif ».<br>
L'eau de pluie en tombant est conservée dans les deux<br>
feuilles opposées qui, soudées au bas de la plante forment<br>
un godet. Son autre nom, cardère à foulons, fait allusion<br>
à son ancienne utilisation pour carder (démêler) le drap. cardère la plante détail de la tête

© Maurice Chatelain

<center>
Malgré les nombreux panneaux, la mort frappe cette tortue <br>
aquatique très vulnérable (voir ma galerie " la route tue ").
Automobilistes, si vous passez en Brenne, merci d'être vigilants.<br>
Et si vous souhaitez en savoir plus sur cette espèce protégée : http://www.cistude-aquitaine.net/accueil/accueil.htm Cistude. Tortue aquatique. BRENNE .

© Maurice Chatelain

<center>Il ne reste que quelques dizaines de mètres pour accéder au sommet qui se trouve derrière la statue de la vierge.
<br<Le passage est délicat et le nombre de personnes obligent de faire très attention.

© Maurice Chatelain

<center>Les cormorans sont très nombreux tout au long de cette bande cotière. Cormorans et phare de Luderitz. Namibie.

© Maurice Chatelain

<b>Prionurus lacticlavius.</b> Son nom lui vient du "scalpel" qu'il porte à la base de la queue, redoutable arme de défense ou d'attaque contre un éventuel indésirable. Chirurgien à queue jaune, Prionurus lacticlavius, poisson des mers chaudes et des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Larus furcatus.</b> Espèce endémique. Palmipède dont le nom lui vient d'aronde, ancien nom de l'hirondelle. Elle a également la queue fourchue, comme le petit passereau. Mouette à queue d'aronde,  palmipède, famille des laridés, endémique des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Sesuvium portulacastrum.</b> Tapis de plantes endémiques  sur l'île dont le nom a été donné pour sa forme rappelant celle d'un chapeau chinois. Sesuvium portulacastrum, plantes endémiques des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Dendroica petechia aureola.</b> Sous espèce endémique commune sur de nombreuses îles. Fauvette jaune, Dendroica petechia aureola, passereau de petite taille des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Appelants.</b> Plus la chasse avance dans la matinée, plus le nombre d'"appelants" grandit et plus les nicheurs reviennent en confiance. Chasse des macareux aux îles Féroé.

© Yves Vallier

<b>Partage.</b> Après avoir hissé sur la grève les corps inertes, on gravera au couteau sur l'aileron un nombre qui indiquera le poids approximatif de chair, puis chacun s'affairera autour de l'animal réservé et le dépeçage pourra commencer. Chasse des globicéphales aux îles Féroé.

© Yves Vallier

<b>Burhinus oedicnemus.</b> Europe. Oeil fixe et cou tendu, immobile comme une pierre, selon son nom anglais, "Stone curlew", le courlis de pierre. Homochromie. Oedicnème criard, Burhinus oedicnemus. Echassier d'Europe.

© Yves Vallier

<b>Gavia stellata.</b> Europe du nord. Son nom viendrait de chat marin, pour les cris semblables à des miaulements qu'il pousse lors de la période des amours. Sa répartition se situe au nord de l'Europe, Ecosse, Péninsule nordique, Spitzberg et nord de la Russie. Plongeon catmarin, Gavia stellata

© Yves Vallier

<b>Felis lynx.</b> Bayericherwald. Espèce largement répartie en Europe dans le passé. Il ne reste plus aujourd'hui que quelques éléments isolés, en Espagne, dans les Balkans, en Suisse et Yougoslavie. En France, il réside en petits nombres, dont la plupart ont été réintroduits dans les Vosges, le Jura, la haute savoie et les Pyrénées. Lynx en automne. Felis lynx au Bayericherwald. Félidés.

© Yves Vallier

<b>Buteo buteo.</b> Victime également des pièges à poteau. Son plumage varie, comme son nom l'indique, du brun foncé au brun trés clair allant jusqu'au blanc sur la poitrine. Elle se tient souvent perchée sur les piquets de clôtures le long des autoroutes, postes d'observation d'où elle scrute le sol à la recherche des campagnols, taupes et autres petits rongeurs. Buse variable. Buteo buteo. Rapace diurne.

© Yves Vallier

<b>Falco tinnunculus.</b> Il tient son nom de son cri strident. Présent dans toute l'Europe. Son vol sur place ou en "Saint esprit" le suspend souvent au dessus des bordures de routes ou des terre-pleins d'autoroutes. Il niche dans les arbres, sous les toitures de granges, dans des cavités de vieux murs, sur des terrasses d'immeubles dans des agglomérations dont Paris. Il se nourrit de petits rongeurs principalement. Faucon crécerelle. Falco tinnunculus. Rapace diurne européen.

© Yves Vallier

<b>Falco peregrinus.</b> Espèce cosmopolite répandue sur tous les continents à l'exception de l'Antarctique et de quelques îles des océans Indien et Pacifique. Protégée en France et dans tous les pays industrialisés. Après une régression mondiale de 1945 à 1975, principalement imputable aux pesticides organochlorés, l'espèce a partout reconstitué une bonne partie de ses effectifs, à l'exception de la Scandinavie et de l'Amérique du nord. Bien que relativement "rare" en Europe, ses effectifs sont en accroissement constant depuis le milieu des années 70. Les populations les plus nombreuses se rencontrent en Ecosse, en Espagne, en Sicile, sur tout l'arc Alpin et les régions montagneuses adjacentes, à l'exception de celles, colonisées par le grand duc, où l'espèce est plus rare, voire absente. (sources : René-Jean Monneret) Faucon pèlerin, Falco peregrinus, Jura et vallée du Rhône, sources René-Jean Monneret.

© Yves Vallier

Hamadryas arinome. Craqueur turquoise. Hamadryas arinome.

© Yves Vallier

Dermochelys coriacea. Le travail pour la ponte dure 2 à 3 heures marquées de nombreux temps d'arrêt pour récupérer. Enorme effort dans un élément qui n'est pas le sien. Tortue Luth. Dermochelys coriacea. Guyane française.

© Yves Vallier

Si la durée de la peine infligée était inférieure à 8 ans : à la fin du temps passé dans le bagne, le reclus devait rester en Guyane le même nombre d’années. Dépourvu d’argent, réduit à l’état de mendiant, il ne pouvait pas réunir la somme nécessaire pour un transport, qui restait à sa charge, vers la France ou  d’autres pays voisins en Amérique du sud. Bien souvent il récidivait afin de retourner au bagne pour vivre.
Au delà de huit années, la résidence obligatoire en Guyane à la fin du temps devenait alors perpétuelle.
 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

L’enfer est tellement brûlant que les évasions ou seulement les tentatives sont nombreuses. Au total : 9000 évasions sont enregistrées, avec 16% de réussite. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Les poussins sont nés. Le bec chargé de nombreux petits poissons,les parents doivent effectuer d'incessants voyages pour nourrir leur progéniture Bretagne, mer, falaise, macareux, moine, nourriture

© Jacky Bernard

Un nom qui n'est pas usurpé. avocette 
 Bretagne 
 eau

© Jacky Bernard

Un grand nombre d'oies fréquente déjà les lacs encore gelés. Suède, oiseau, oie, lac, glace

© Jacky Bernard

C'est ce cap au nom évoquateur qui est à l'origine de notre attrait , puis de notre passion pour l'histoire polaire. Deux escouades anglaises s'y sont séparées lors des recherches de Sir John Franklin.

© Pierre Vernay

La baie de Norvège au sud-ouest de l'île Ellesmere montre des visages differents en fonction des années. parfois tourmentée , parfois parfaitement lisse comme lors du printemps 1997. Les ours polaires y sont nombreux.

© Pierre Vernay

Les rayures noires sont plus nombreuses et plus fines que celles du Zèbre de Burchell. Observation effectuée dans le Serengeti, en Tanzanie. zebre,grevy,serengeti,tanzanie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Lors de la migration, les Gnous avancent en colonne, martelant le sol de leurs millions de sabots. Leur dépacement est accompagné d'un concert de gémissements "guenou" à l'origine de leur nom. gnous,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Necrosyrtes monachus) Cet oiseau à l'allure sinistre est le plus petit des nécrophages d'Afrique. Comme son nom l'indique, il se nourrit de charogne, mais aussi d'insectes. On le rencontre près des carcasses, des dépôts d'ordure et des abattoirs. Il est le nettoyeur des zones urbaines et dans une moindre mesure - concurrence oblige avec les grands vautours - de la savane boisée... vautour,charognard,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

Les paysages namibiens sont très contrastés. Cette zone, datant de 450 millions d'années est d'une austère beauté. La rivière Swakop a sculpté sur ces monts de nombreuses gorges. monts,lune,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

A la saison séche, lorsque la rivière Fish ne coule presque plus, un grand nombre de bassins retiennent les eaux, permettant aux animaux (Zèbres hartmann, Babouins chacma) d'étancher leur soif... Ce site est très visité par les amateurs de trekking. fish,river,canyon,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Rencontre dans le désert du Kalahari avec un représentant du peuple des cueilleurs-chasseurs. Le Bushman se définit comme "homme par excellence" et parle une langue Khoisan, où les consonnes sont produites par un claquement de langue. Le Bushman est un nomade qui vit depuis toujours dans le désert. Il chasse les animaux sauvages, avec arc et flèches, se soigne avec les plantes, habite une hutte constituée de branches et de feuillages. Le développement de la propriété privée en Namibie a freiné le nomadisme et contraint nombre de Bushmen à une vie sédentaire... bushman,kalahari,namibie,botswana,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

De petite taille, la peau claire, les yeux en amande, les pommettes hautes et les cheveux crépus, le Bushman porte dans ses traits, la marque d'une longue histoire nomade dans l'un des plus mythiques déserts de la planète : le Kalahari. 
L'existence de cette minorité ethnique, aujourd'hui menacée de disparition, a été révélée au monde par le film "Les dieux sont tombés sur la tête" réalisé par le sud-africain Jamie Uys en 1980. bushman,kalahari,namibie,bostwana,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

A quelques kilomètres d'Opuwo, capitale du Kaokoland, dont le nom signifie "la fin", rencontre avec les Himbas, dans un village qui regroupe une cinquantaine de personnes. Les Himbas, au nombre de 10 000 individus se répartissent entre la Namibie (2/3) et l'Angola (1/3). Ils sont rattachés à l'ethnie Herero et appartiennent au groupe linguistique Bantou. Ils vivent sur un territoire immense, sauvage, impénétrable, arrosé par la rivière Kunene... Sur cette vue on peut observer que les femmes vivent poitrine nue et portent des jupes traditionnelles, formées de plusieurs couches de peaux de chèvres... himbas,kaokoland,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Etosha est la plus célébre réserve animalière de Namibie. Elle est constituée d'une vaste savane semi-aride, entourant un désert salin : l'Etosha Pan (6000 km2). Celui-ci n'est alimenté par les crues de rivières coulant depuis l'Angola, que quelques jours par an, attirant alors de nombreux animaux et oiseaux. A la saison sèche, entre mai et septembre, quelques points d'eau, implantés ici et là, préservent l'existence d'une faune magnifique et très diversifiée... (voir thème suivant : la vie au point d'eau). etosha,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

La femme Himba est très active. Outre l'éducation des enfants, elle participe à de nombreux travaux : la construction des cases, la traite des chèvres, la corvée d'eau au puits ou à la rivière, la préparation des repas, la confection des vêtements et des bijoux... Les hommes s'occupent principalement du bétail. himbas,kaokoland,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Les scientifiques évaluent, selon les années, le nombre d'otaries installées sur la côte des Squelettes entre 100 000 et 200 000 individus. Impressionnant ! otaries,cap,cross,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Touaregs descendent des tribus berbères métissées, chassées du Maroc vers le sud, par les invasions des Beni Maqil, au XIème siècle. Ils parlent le tamachek et sont éleveurs de chèvres et de chameaux. Nomades à l'origine, ils se sont, pour beaucoup d'entre eux, sédentarisés. Certains se sont tournés vers le tourisme, promenant les voyageurs dans le désert, dans le cadre de "méharées"... ou en 4X4 ! touaregs,sahara,tassili,n ajjer,algerie.

© Jean-Claude FOURNIER

Entre Ihèrir et Idaren, de nombreuses gueltas offrent aux baigneurs des lieux de fraîcheur et de détente. iherir,idaren,tassili,n ajjer,algerie.

© Jean-Claude FOURNIER

Le relief tourmenté de l'Islande contrarie le cours des rivières glaciaires, donnant naissance à de nombreuses chutes d'eau et cascades... chute,eau,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

(Fulmarus glacialis) Le Fulmar boréal vole à la manière des Albatros, en se laissant porter par les ascendances au creux des vagues et peut ainsi parcourir de nombreux kilomètres, pratiquement sans le moindre battement d'ailes, pour aller chercher sa nourriture. Il a une envergure de 2 mètres. fulmar,boreal,flatey,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

Nombre de maisons sur l'île de Flatey sont coiffées de tourbe pour lutter contre le froid... flatey,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

Classé réserve naturelle depuis 1979, ce site se caractérise par une double cascade de la rivière Hvita, qui se précipite, dans un bruit assourdissant, dans un ravin de 32 mètres de profondeur et d'une longueur de 2,5 km. La chute de Gullfoss doit son nom aux reflets dorés du crépuscule qui se posent sur l'eau glacée et à l'arc en ciel qui vient régulièrement apporter sa touche de lumière... gullfoss,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

(Fratercula arctica) Les Macareux moine sont particulièrement nombreux sur l'île Inner pendant toute la période de nidification. Oiseau peu farouche, à la parure nuptiale colorée, au regard triste mais si attachant, le Macareux moine est "l'oiseau star" de l'île Inner... macareux,moine,ile,inner,iles,farne,angleterre.

© Jean-Claude FOURNIER

Le lac Baringo est après le lac Turkana, le lac d'eau douce le plus septentrional de la vallée du Rift au Kenya. D'une superficie de 168 km2, il est enserré au milieu de collines et de montagnes. C'est un paradis pour oiseaux, qui abrite aussi de nombreux hippopotames et crocodiles... baringo,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

Situé à 50 km de Baringo, dans la vallée du Rift, ce lac alcalin de 107 km2 est réputé pour abriter une importante concentration de Flamants roses et nains (environ 1 million de têtes le jour de notre passage, le 13 janvier 2011) et de nombreuses sources d'eau chaude... flamants,bogoria,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

En Afrique de l'Est, on recense 2 espèces de flamants : les Flamants nains qui sont les plus nombreux, reconnaissables à leur bec de couleur rouge carmin et qui mesurent environ 1 mètre de haut et les Flamants roses reconnaissables à leur bec de couleur rose et qui mesurent 1,50 à 2 mètres de haut. A Bogoria, on compte 1 Flamant rose pour 100 Flamants nains ! flamants,bogoria,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

 

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