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Le voila cet oiseau qui nous émerveille toujours autant !  Flèche bleue volant à toute vitesse au ras de l'eau, qui nous prévient de son arrivée par son cri très strident et qui sait si bien s'arrêter brusquement sur quelque perchoir afin de repérer les alevins sous le miroir de l' onde.
Regardez bien les fils de toile d'araignée que par gentillesse pour le photographe, il n'a pas abimé ! MARTIN PECHEUR
OISEAUX
ALCEDINIDAE

Photographie de faune sauvage
Que-nature-vive

Daniel Trinquecostes

© Daniel Trinquecostes

Comme je l'ai écrit dans la présentation de l'année , celle ci commence fort ! Nous sommes le 6 avril et à peine arrivé je vais faire un repérage sur u site que je connais. Premier coup de jumelle et BINGO ......ils sont là ! Et mieux que çà les petits sont dehors car ils ont déjà quitté le nid. Les eaux sont basses et en cette fin d'après midi je tombe sur le nourrissage ....c'est génial ! Cela ne durera que deux jours ! En effet les jeunes se dispersent très vite ce qui fait que les adultes sont sans en vadrouille pour assurer leur alimentation . Cincle plongeur.
Oiseaux
Photographie de cincle.
Photographie de nature et de faune sauvage.

Daniel TRINQUECOSTES
Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Et très vite, un des adultes revient le bec chargé de larves .... Cincle plongeur.
Oiseaux
Photographie de cincle.
Photographie de nature et de faune sauvage.

Daniel TRINQUECOSTES
Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

<center>
Ambiance matinale sur cette route forestière. Très vite repéré,<br> ma présence oblige ce chevreuil à entrer dans la forêt. D'un bond,<br>
il franchit le fossé ; je l'entends longuement aboyer son irritation ! chevrette

© Maurice Chatelain

 chamois course poursuite alpes grand paradis

© Maurice Chatelain

<center>
Nous avons longuement parlé d'images mais j'ai aussi<br>
commenté son dernier ouvrage. Il y mentionne, entre autres,<br>
le génocide arménien, sujet qui me tient particulièrement à coeur. yves Paccalet maurice chatelain

© Maurice Chatelain

<center>
Roulant sur une départementale de la BRENNE, je remarque, au loin, une masse sombre sur le bitume ; je ralentis et passe au-dessus,<br>
puis je freine brusquement et me range sur le bas-côté réalisant<br>
qu'il s'agit d'une Cistude. Vite, courir pour la récupérer et l'éloigner <br>
de cette voie de tous les dangers ; déjà, deux véhicules arrivent <br>
mais je n'ai aucun doute, sa lenteur va la sauver : eux-aussi vont<br>
passer au-dessus de la tortue et je pourrai alors l'ôter sans risque<br>
de la chaussée. HORREUR ! Alors que je suis presque à sa hauteur, <br>
je vois le second véhicule broyer le pauvre animal ; je sais que<br>
je garderai toujours en mémoire l'effroyable craquement. J'injurie<br> cet assassin (je pèse mes mots et les assume) en faisant de grands <br>
signes ; il ne daigne pas s'arrêter. La tortue est sur le dos...<br> cistude morte route

© Maurice Chatelain

<center>
Va pas trop vite ! Forêt d'Orléans

© Maurice Chatelain

<center>
Le plus commun de nos canards est victime<br>
aussi de la vitesse excessive des véhicules. CANARD, COLVERT,  MORT,  ROUTE FRANCE.

© Maurice Chatelain

<CENTER>
Juste à la sortie de mon hameau, une petite route...<br>
Mais là aussi ils roulent trop vite. Est-il ce hérisson qui venait<br> manger les croquettes de mes chats cet hiver ? <br>
Bien sûr, il n'est pas resté sur le bitume. Hérisson mort sur le bitume

© Maurice Chatelain

<center >
Ce soir, 15 septembre 2009.<br>
Un salopard d'automobiliste qui habite mon hameau<br>
et qui, comme bon nombre d'habitants, <br>
roule à tombeau ouvert sur l'étroite rue où deux voitures<br>
ne peuvent pratiquement pas se croiser. Que ce soit en voiture,<br>
à moto ou en quad, ils roulent vite, trop vite.

© Maurice Chatelain

<center>
J'ai été pris de vitesse.<br>
Trop attentionné à ce qui allait se passer, l'oeil rivé au viseur,<br>
je n'ai pas déclenché au bon moment.<br>
J'ai dû stabiliser mon monopode entre les roches. Reanrd dans buisson sur une proie

© Maurice Chatelain

A présen , il  marche dans le jardin et il se débrouille bien, Lydia l'aide un peu pour les virages car son Jones est tellement gros et lourds pour son gabarit qu'il est vite déséquilibré. Ces sorties lui permettent de garder sa musculature et aussi de commencer à brouter des jeunes pousses mais également de manger un peu de terre. Tout ceci est nécessaire pour sa flore intestinale, ceci sert de ferment lactique pour digérer le lait.
 Debout dans sa cage. Faon en recherche d'équilibre.

© Maurice Chatelain

<center>
Si seulement mes images pouvaient faire prendre conscience<br>
aux automobilistes qu'il doivent rouler moins vite et penser <br>
aux animaux sauvages, au respect de toute vie.<br>
Je n'ai pas toujours mon boitier avec moi.<br>
Quelques jours plus tard, un deuxième renard gisait sur le bas-côté<br>
de la Nationale 10. Le temps de revenir chez moi, il avait disparu... <br>
Bizarre ? Non ! Certainement un adepte des animaux empaillés.<br>
Les taxidermistes sont acheteurs de ce genre de trophée.
 Portrait Renard mort couché sur le bas côté de la route.

© Maurice Chatelain

 Lionne en chaleur, queue levée. Lion à crinière noire du Kalahari s'approche par l'arrière.  
Kgalagadi Transfrontier Park.
Namibie

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

<center>
Ces Oryx au galop... Comment les trouvez-vous ?<br>
Quelle maîtrise de la vitesse, me direz-vous ?<br>
Que nenni, car il s'agit de superbes sculptures !

© Maurice Chatelain

<center> Ce matin 12 avril 2014, ce sont les chants des hirondelles qui m'annonçaient qu'elles étaient de retour.<br>
Dans l'après midi comme tous les jours je suis allé faire ma ballade pour me mettre en jambe avec mon vélo.<br>
J'ai remarqué cette pauvre hirondelle sur le sol et c'est avec une grande tristesse que je me suis arrêté pour la récupérer.<br>
Vous dire combien je suis écoeuré surtout qu'à cette endroit la vitesse est 50 kms.
Mais personne ne respecte la vitesse. Venir de si loin pour mourir le 1er jour de son retour chez nous. Hirondelle rustique morte sur la route france

© Maurice Chatelain

<center>
Il saute du lit de bon matin, et ne part que si son esprit est net, <br>
son coeur pur, son corps léger comme un vêtement d'été. <br>
Il n'emporte point de provisions. Il boira l'air frais en route <br>
et reniflera les odeurs salubres.<br>
Il laisse ses armes à la maison et se contente d'ouvrir les yeux.<br>
Les yeux servent de filets ou les images s'emprisonneront<br>
d'elles-mêmes. La première qu'il fait captive est celle du chemin<br>
qui montre ses os, cailloux polis, et ses ornières, veines crevées,<br>
entre deux haies riches de prunelles et de mûres. <br>
Il prend ensuite l'image de la rivière. Elle blanchit aux coudes<br>
et dort sous la caresse de saules. Elle miroite quand un poisson<br>
tourne le ventre, comme si on jetait une pièce d'argent, et, <br>
dès que tombe une pluie fine, la rivière a la chair de poule.<br> 
Il lève l'image des blés mobiles, des luzernes appétissantes<br>
et des prairies ourlées de ruisseaux. Il saisit au passage le vol<br>
d'une alouette ou d'un chardonneret. Puis il entre au bois. <br>
Il ne se savait pas doué de sens si délicats. Vite imprégné<br>
de parfums, il ne perd aucune sourde rumeur, et, pour qu'il<br>
communique avec les arbres, ses nerfs se lient aux nervures<br>
des feuilles. Bientôt, vibrant jusqu'au malaise, il reçoit trop, <br>
il fermente, il a peur, quitte le bois et suit de loin les paysans<br> 
mouleurs regagnant le village. Dehors, il fixe un moment, <br>
au point que son oeil éclate, le soleil qui se couche et dévêt<br>
sur l'horizon ses lumineux habits, ses nuages répandus pêle-mêle.<br> 
Enfin, rentré chez lui, la tête pleine, il éteint la lampe et longuement,<br>
avant de s'endormir, il se plaît à compter ses images. Dociles, <br>
elles renaissent au gré du souvenir. Chacune d'elles en éveille<br>
une autre, et sans cesse leur troupe phosphorescente s'accroit<br>
de nouvelles venues,comme des perdrix poursuivies et divisées <br>
tout le jour chantent le soir, à l'abri du danger, et se rappellent<br>
 aux crues des sillons. ( Jules Renard 1896) Jules Renard écrivain français. Histoires Naturelles lithographie de Henri de Toulouse Lautrec. 1896. PRESSES UNIVERSITAIRES DE FRANCE. COLLECTION SOURCES.

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

<b>Aptenodytes patagonica.</b> Il n'y a pas de dimorphisme sexuel chez les manchots, excepté la taille et le poids, toujours inférieurs chez la femelle. La forme du corps est conçue pour fendre l'eau et les ailerons sont utilisés comme de véritables ailes sous l'eau. En cas de danger, il peut atteindre la vitesse de 18 km heure. Manchot royal, Aptenodytes patagonica, manchot des régions circumpolaires.

© Yves Vallier

<b>Falco peregrinus.</b> Jura. Rapace de corpulence moyenne : masse 550-650 g pour le mâle, 800-1100g pour la femelle. Longueur 35-40 cm pour le mâle, 40-50 cm pour la femelle. Envergure 70-85 cm pour le mâle, 95-110 cm pour la femelle. En Europe, ses effectifs sont estimés entre 7 et 8000 couples. Il se nourrit essentiellement d'oiseaux. Les proies sont capturées en plein vol à la suite d'une attaque à grande vitesse en piqué, ailes fermées. La réussite est d'une prise pour 4 à 6 attaques au dessus de l'eau et 15 à 20 attaques au dessus de forêts. Espèce répandue sur tous les continents à l'exception de l'Antarctique et de quelques îles des océans Indien et Pacifique. L'espèce est protégée en France et dans tous les pays industrialisés. (sources : René-Jean Monneret) Faucon pèlerin, Falco peregrinus, Jura et vallée du Rhône, sources René-Jean Monneret.

© Yves Vallier

<b>Canis lupus.</b> Bayericherwald. Le loup peut trotter durant des heures et effectuer des pointes de vitesse de l'ordre de 45 km/h. Dans la neige, la pression d'une patte est de 150 g/cm2 alors qu'elle est de 180 pour un caribou et de 3 à 400 pour un cerf. En Angleterre, le loup a été exterminé en 1500. Heureusement, il en reste plus de 3000 en Yougoslavie, autant en Pologne, de 3 à 4000 en Italie et 2000 en Espagne. Loup en hiver. Canis lupus. Bayericherwald.

© Yves Vallier

<b>Falco peregrinus.</b> Un rapace de corpulence moyenne : masse 550-650 g pour le mâle, 800-1100 g pour la femelle. Longueur 35-40 cm pour le mâle, 40-50 cm pour la femelle. Envergure 70-85 cm pour le mâle, 95-110 cm pour la femelle. En vol, les ailes longues et étroites, souvent coudées vers l'arrière, paraissent pointues aux extrémités. (sources : René-Jean Monneret) Faucon pèlerin. Falco peregrinus. Rapace spécialiste de la vitesse.

© Yves Vallier

<b>Falco peregrinus.</b> Restes d'un lardoir. Ornithophage, le faucon pèlerin est donc un spécialiste de la capture des oiseaux. Les proies sont capturées en plein vol à la suite d'une attaque à grande vitesse. Le taux de réussite des attaques varie selon l'expérience de l'oiseau, la période de l'année et l'environnement. La taille des proies s'échelonne de celle de la mésange, à celle du pigeon ramier. Rarement plus grosse. Le mâle 1/3 plus petit que la femelle chasse les petites proies, la femelle les plus corpulentes. (sources : René-Jean Monneret) Faucon pèlerin. Falco peregrinus. Rapace spécialisé dans la chasse de haut vol.

© Yves Vallier

Les lumières du couchant s'éteignent. Un à un, des museaux noirs et blancs émergent du terrier et se lancent dans d'interminables poursuites et jeux de cache-cache parmi les ajoncs en fleurs.
  23heures le 1er mai. Affût. Mammifère, blaireau, nocturne, terrier.

© Jacky Bernard

Dans l'arctique , Il n'est pas rare de devoir affronter des tempêtes en plein été avec de fortes précipatations. Dans
ces conditions, la mer se lève très vite et en kayak , il faut rapidement se mettre à l'abri.

© Pierre Vernay

L'Autruche est un gros oiseau, inapte au vol, mais qui peut courir vite, et atteindre sur de petites distances 70 km/heure. Sur ce cliché : une femelle. Le mâle a un plumage noir. Pour protéger ses enfants, la femelle se couche sur le nid, ou s'éloigne en simulant une blessure, pour attirer l'attention du prédateur et le détourner de ses petits... oiseau,autruche,masai,kenya,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Ce félin est très rapide, pouvant pousser sa pointe de vitesse à 100 km/heure ! Cependant sa résistance est vite émoussée, au delà de quelques centaines de mètres. Très proche du léopard, il se distingue de cet autre félin, par des rayures noires en forme de larmes, sous les yeux... guepard,femelle,kenya,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Contrairement aux apparences, ce rhinocéros est noir. Il sort d'un bain de boue de couleur claire. Observé dans le cratère du Ngorongoro, il est au repos. Ce gros animal puissant, aujourd'hui très protégé, se nourrit de feuillages de plus de 200 espèces d'arbustes, plantes herbacées et légumineuses. Il peut courir à la vitesse de 50 km/heure. rhinoceros,noir,tanzanie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Le Gnou est la proie des lions, des hyènes, des lycaons et des léopards... Pour échapper à ces prédateurs, il ne peut compter que sur sa pointe de vitesse qui peut atteindre dans le meilleur des cas 90 km/heure !!! gnou,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Struthio camelus) L'Autruche masaï est un gros oiseau inapte au vol, qui vit dans la savane et se nourrit de racines, feuilles, fleurs, fruits et graines, sans dédaigner pour autant les criquets, lézards, insectes et petites tortues. Dans sa course l'Autruche peut atteindre la vitesse de 70 km/heure mais sur de courtes distances. Sur cette vue, nous sommes en présence d'un mâle. autruche,male,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Haliaeetus vocifer) Disposant d'une excellente acuité visuelle, l'Aigle-pêcheur peut repérer une proie potentielle de loin et fondre ensuite à grande vitesse sur celle-ci... aigle,pecheur,baringo,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Haliaeetus vocifer) Pygargue vocifère. pygargue,vocifere,baringo,Kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Ploceus cucullatus) Une fois le nid achevé, le Tisserin gendarme commence sa parade. Accroché à la partie inférieure du nid, il bat des ailes très vite et émet des petits cris. Si une femelle est attirée par ces marques de séduction, elle entre dans l'habitat et l'inspecte. Si les lieux lui conviennent, elle s'y installe et s'accouple. La femelle pond 2 à 3 œufs, et les couve pendant 12 jours. Les jeunes sont nourris d'insectes par les deux parents. Le mâle n'est pas fidèle, car sitôt la femelle séduite et fécondée, il s'empresse de construire un nouveau nid pour tenter de séduire une autre femelle !!! tisserin,gendarme,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Rynchops niger) C'est un oiseau aquatique, de taille moyenne, remarquable par son bec (la mandibule inférieure étant plus étroite et plus longue que la supérieure) qui lui permet d'attraper les poissons en surface, en ne rentrant que la mandibule inférieure dans l'eau, sans perdre de vitesse... bec,ciseau,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Phoebastria irrorata) Espèce endémique observée dans l'île Espanola. L'Albatros a longtemps été considéré comme oiseau de mauvais augure, passant pour être la réincarnation des marins noyés. C'est un oiseau adapté à la vie en mer, où il passe la majeure partie de son temps. Il vole vite et loin, il est un maître du vol plané qu'il peut pratiquer des heures sans donner le moindre coup d'aile...Il se nourrit de plancton, de poissons et de calmars. Il hiverne dans les eaux poissonneuses du courant Humboldt qui longe les côtes de l'Equateur et du Pérou. albatros,galapagos,equateur.

© Jean-Claude FOURNIER

Le Caméléon se nourrit d'insectes qu'il attrape en déroulant sa longue langue protractile, à la vitesse de l'éclair. Sa queue préhensile l'aide dans ses déplacements. cameleon,madagascar.

© Jean-Claude FOURNIER

(Myocastor coypus) Le Ragondin vit au bord des canaux. Il creuse de longs et profonds terriers, qui contribuent à l'effondrement des berges, au remplissage des fossés. Sans prédateur, il se multiplie à grande vitesse. La femelle peut avoir chaque année jusqu'à 3 portées de 5 à 7 petits !!! ragondin,france.

© Jean-Claude FOURNIER

(Basiliscus basiliscus) Ce lézard, d'une longueur de 40 à 60 cm, vit en forêt tropicale humide. Il se nourrit de fruits et d'insectes et aussi d'œufs d'iguane. Le mâle présente une petite crête sur la tête. Excellent nageur, il est capable de marcher sur l'eau (à une vitesse de 12 km/heure) d'où son surnom de Lézard Jésus-Christ ! basilic,commun,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

Le train à grande vitesse appelé "Shinkansen" symbole du Japon moderne, existe depuis 50 ans et a déjà transporté 5,6 milliards de voyageurs. Il relie les principales villes de l'archipel à la vitesse moyenne de 285 km/heure. Un projet de train à sustentation magnétique - le Maglev - est en expérimentation. Ce nouveau TGV circulera à 505 km/heure entre Tôkyô et Nagoya, à partir de 2027. Shinkansen,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

L'Eland du Cap, massif comme un taureau est la plus grosse des antilopes qui pâture à découvert pendant la saison des pluies et se nourrit de feuillages pendant la saison sèche. Il ne court pas vite (40 km/heure) mais saute très bien, franchissant des obstacles de 2 mètres de haut. La femelle met bas un seul jeune, au terme d'une période de gestation de 9 mois. eland,cap,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

Siena a retrouvé ses bébés et très vite ses forces, n'hésitant pas à subtiliser au nez et à la barbe d'autres lions un morceau de viande pour se rassasier... Siena mériterait bien le surnom de "mère courage" ! Hèlas nous avons appris depuis que Siena était décédée fin 2015, empoisonnée  par un éleveur Masaï qui aurait abandonné sur le territoire de la lionne, un cadavre de vache contaminé ! lionne,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

Une fois la proie repérée, le guépard s'approche au plus près, protégé par les hautes herbes, puis accélère à haute vitesse (120 km/heure au plus vite) pour fondre sur sa victime. Il tue par étouffement en saisissant l'animal à la gorge. guepard,Kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

(Haliaeetus vocifer) Pygargue vocifère. pygargue,vocifer,baringo,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

Futur pont routier au-dessus de la Ligne à Grande Vitesse Est-Européenne pont,béton,grue,chantier,LGV

© Denis LOGEROT

 entreprise,industrie,hangars

© Denis LOGEROT

Au hasard d'une coulée, une belle rencontre avec un jeune renard roux renard, renardeau

© Aurélie BLUSSEAU

Avec sa morpholgoie particulière, le décollage, comme l'atterrissage, est toujours un exercice de haut vol pour le plongeon.... plongeon catmarin

© Aurélie BLUSSEAU

 afrique du sud 
 mkuzi 
 tortues

© Thierry DUVAL

Il est toujours périlleux pour les zèbre de s'approcher de la rivière Mara où rodent en permanence de très nombreux crocodiles; il faut faire vite pour s'abreuver !

© Thierry DUVAL

Quand il est en pleine course le grizzly est très impressionnant tant par sa masse que par sa vitesse. 
Dans le viseur de mon boitier j'ai parfois des frayeurs... grizzly, course du grizzly, Alaska sauvage, parc de Katmai, grizzly pêchant, photographie animalière

© Thierry DUVAL

© Pierre-Georges Despierre

Chevêche d'Athéna près de la cavité de son nid oiseau;rapace;cheveche-d-athena;athene-noctua;cavite;nid;yvelines-78;france;

© Martial COLAS

Chouette hulotte rentrant au nid avec sa proie oiseau;rapace;chouette-hulotte;strix-aluco;proie;ecureuil;nid;cavite;yvelines-78;france;

© Martial COLAS

Mésange huppée nourrissant ses jeunes au nid oiseau;passereau;mesange-huppee;parus-cristatus;nid;cavite;nourrissage;yvelines-78;france;

© Martial COLAS

Mésange boréale nourrissant ses jeunes au nid oiseau;passereau;mesange-boreale;parus-montanus;cavite;nid;nourrissage;yvelines-78;france;

© Martial COLAS

Sittelle torchepot à son nid oiseau;passereau;sittelle-torchepot;sitta-europea;nid;cavite;yvelines-78;france;

© Martial COLAS

C’est Jérôme qui, le premier, a découvert l’univers des souterrains. Ici, il s’agissait de la deuxième sortie que nous faisions ensemble, nous visitions une petite cavité creusée dans un coteau bordant la vallée de l’Indre ; Touraine (France), août 1984. Indre 
 Touraine 
 cavité 
 exploration 
 souterrain 
 souterrain-refuge

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Toujours dans la vallée de l’Indre, un souterrain-refuge exceptionnel allait définitivement cristalliser notre passion commune pour les souterrains. Pas de combinaison spéléologique pour ces toute premières explorations, et des casques de chantier bricolés avec lampe de vélo fixée sur la visière ; Touraine (France), décembre 1984. Indre 
 Touraine 
 cavité 
 exploration 
 souterrain 
 souterrain-refuge

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Durant l’année 1985, nous avons parcouru la Touraine pour finalement visiter ou explorer une dizaine de cavités différentes. Dans la campagne du Chinonais, juste à côté d’un carrefour, cette descente au milieu de la végétation nous a conduit dans un vaste souterrain-refuge ; Touraine  (France), mai 1985. Chinon 
 Touraine 
 cavité 
 exploration 
 souterrain 
 souterrain-refuge

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Retour dans ce souterrain-refuge exceptionnel creusé au bord de l’Indre ; pour parcourir le couloir inondé qui mène vers la salle terminale, Laurent s’était équipé à la manière des plongeurs-spéléologues, avec deux lampes étanches fixées sur le casque ; Touraine (France), mai 1986. Indre 
 Touraine 
 cavité 
 exploration 
 souterrain 
 souterrain-refuge

© Jerôme et Laurent TRIOLET

L’année précédente, lors de l’exploration de ce puits s’ouvrant dans les environs de Sainte-Maure, nous avions eu la mauvaise surprise, une fois arrivés à 14 m de profondeur, de découvrir que les galeries qui partaient de chaque côté étaient envahies d’eau. Equipés d’un éclairage étanche et protégés du froid par des combinaisons de plongée, nous sommes redescendus pour une exploration complète ; Touraine (France), juin 1986. Touraine 
 aqueduc 
 cavité 
 coulisses 
 exploration 
 puits 
 souterrain

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Difficile de progresser normalement dans les boyaux inondés, l’exploration s’est finalement faite à la nage dans une eau très froide. Bloqués par des éboulements, nous n’avons pu reconnaître, de part et d’autre du puits, que deux galeries rectilignes, chacune longue d’une vingtaine de mètres. Cela nous a néanmoins suffi  pour conclure que nous nous trouvions dans un ancien aqueduc et non dans un souterrain-refuge ; Touraine (France), juin 1986. Touraine 
 aqueduc 
 cavité 
 coulisses 
 exploration 
 puits 
 souterrain

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Une fois le plan dessiné, nous oublions souvent combien l’exploration et le relevé ont été difficiles. Ce souterrain-refuge situé à Dénezé-sous-Doué était en grande partie envahi par des blocs rocheux et de la terre provenant des effondrements ; Anjou (France), août 1989. Anjou 
 France 
 cavité 
 coulisses 
 exploration 
 souterrain 
 souterrain-refuge

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Dans ce même souterrain des environs de Valençay, certaines parties étaient presque totalement envahies par les éboulements, ce qui rendait encore le travail de topographie difficile. Seule consolation, nous échappions alors à l’argile collante ; Berry (France), mai 1990. France 
 Valençay 
 cavité 
 exploration 
 souterrain 
 souterrain-refuge 
 spéléologie

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Beaucoup d’effondrements et plusieurs salles en partie remblayées dans ce vaste souterrain sarthois. Malgré nos efforts, nous n’avons pas pu explorer certaines galeries reconnues en 1960 ; Perche (France), janvier 1992. Sarthe 
 cavité 
 exploration 
 souterrain 
 souterrain-refuge 
 spéléologie

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Toujours dans ce souterrain sarthois, lors de notre visite, cette salle centrale était véritablement en cours d’effondrement, et nous n’avions qu’une confiance toute relative dans ce tronc censé soutenir un ciel particulièrement instable ; Perche (France), janvier 1992. Sarthe 
 cavité 
 exploration 
 souterrain 
 souterrain-refuge

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Nous avions ressorti nos casques dédiés aux cavités inondées pour visiter ce souterrain-refuge envahi par l’eau et s’ouvrant dans le cimetière d’une église ; Agenais (France), mars 1993. Lot-et-Garonne 
 Sud-ouest 
 cavité 
 coulisses 
 exploration 
 souterrain 
 souterrain-refuge 
 spéléologie

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Beaucoup de souterrains autrichiens se caractérisent par leur exiguïté. La visite de ce petit souterrain imposait le franchissement de goulots étroits pour finalement atteindre une « salle terminale » se limitant à un  couloir doté de « niches-sièges » ; environs de Linz (Autriche), juillet 1998. Autriche 
 cavité 
 coulisses 
 exploration 
 souterrain-refuge 
 spéléologie

© Jerôme et Laurent TRIOLET

L’étage inférieur de la maison atelier de César Manrique intègre cinq « bulles volcaniques ». Ces grottes volcaniques pourraient être des cavités-bulles qui correspondent à d’anciennes poches de gaz piégées au cœur d’une coulée de lave fluide. Lors du refroidissement, les parois magmatiques se sont figées et ont délimité une cavité sphérique. La lucarne ouverte sur le ciel s’est formée lorsque la grosse bulle a éclaté en surface ou du fait de l’effondrement du toit de la cavité ; Fundación César Manrique, Tahíche (Lanzarote, Canaries). Art 
 Canaries 
 César Manrique 
 Lanzarote 
 architecture rupestre 
 artiste 
 basalte 
 cavité bulle 
 grotte 
 lave 
 maison creusée 
 maison troglodytique 
 pneumatogénétique 
 troglodyte 
 tunnel 
 volcanique

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Protégées de la chaleur au cœur de la cavité, les plantes s’accrochent à la paroi basaltique et déploient leurs larges feuilles pour capter la lumière ; Fundación César Manrique, Tahíche (Lanzarote, Canaries). Art 
 Canaries 
 César Manrique 
 Lanzarote 
 architecture rupestre 
 artiste 
 basalte 
 cavité bulle 
 grotte 
 lave 
 maison creusée 
 maison troglodytique 
 troglodyte 
 tunnel 
 volcanique

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Lové au cœur de l’une des cinq « bulles », ce salon offre fraicheur et tranquillité. Dans ces pièces troglodytiques d’un genre particulier, seule la lucarne perçant le somment de la voûte maintient le contact avec la lumière et la surface ; Fundación César Manrique, Tahíche (Lanzarote, Canaries). Art 
 Canaries 
 César Manrique 
 Lanzarote 
 architecture rupestre 
 artiste 
 basalte 
 cavité bulle 
 grotte 
 lave 
 maison creusée 
 maison troglodytique 
 pneumatogénétique 
 troglodyte 
 tunnel 
 volcanique

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Afin de  construire un étage souterrain et de relier les « bulles » pour les convertir en autant de salons aux airs de patios, César Manrique a décidé de creuser de couloirs de communication dans la masse de la coulée volcanique. En partie haute, le basalte brut affleure, en partie basse, la paroi est chaulée ; Fundación César Manrique, Tahíche (Lanzarote, Canaries). Art 
 Canaries 
 César Manrique 
 Lanzarote 
 architecture rupestre 
 artiste 
 basalte 
 cavité bulle 
 lave 
 maison creusée 
 maison troglodytique 
 troglodyte 
 tunnel 
 volcanique

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Afin de  construire un étage souterrain et de relier les « bulles » pour les convertir en autant de salons aux airs de patios, César Manrique a décidé de creuser de couloirs de communication dans la masse de la coulée volcanique. En partie haute, le basalte brut affleure, en partie basse, la paroi est chaulée ; Fundación César Manrique, Tahíche (Lanzarote, Canaries). Art 
 Canaries 
 César Manrique 
 Lanzarote 
 architecture rupestre 
 artiste 
 basalte 
 cavité bulle 
 lave 
 maison creusée 
 maison troglodytique 
 troglodyte 
 tunnel 
 volcanique

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Ce Grand Rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) s’accroche à un minuscule relief de la paroi rocheuse à l’aide de ses griffes autobloquantes (France). Grand Rhinolophe 
 cave 
 cavité 
 chauve-souris 
 chiroptère 
 griffes 
 mammifère 
 souterrain 
 troglophile

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Ce Grand Rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) s’accroche à un minuscule relief de la paroi rocheuse à l’aide de ses griffes autobloquantes (France). Grand Rhinolophe 
 Rhinolophus ferrumequinum 
 cave 
 cavité 
 chauve-souris 
 chiroptère 
 griffes 
 mammifère 
 souterrain 
 troglophile

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Au fond de cette grande chambre, une tranchée donne accès à un couloir inondé qui s’achève par un étroit goulot protégeant la salle terminale du souterrain (Touraine, France). [1382N043 © Jérôme et Laurent Triolet/www.mondesouterrain.fr] Touraine 
 cavité 
 creusé 
 forteresse médiévale 
 fortification 
 souterrain 
 souterrain-refuge 
 troglodytique

© Jerôme et Laurent TRIOLET

La première salle du souterrain-refuge de Petosse adopte un plan cruciforme et, au centre, le pilier construit soutient les dalles condamnant le puits d’extraction (Vendée, France). [1153N077 © Jérôme et Laurent Triolet/www.mondesouterrain.fr] Moyen Age 
 Vendée 
 architecture 
 cavité 
 forteresse médiévale 
 fortification 
 monument 
 patrimoine 
 souterrain 
 souterrain-refuge 
 troglodyte

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Une fosse (au premier plan à droite) s’ouvre dans cette petite salle dont le couloir d’accès était clos à l’aide d’une épaisse porte (Touraine, France).  [1355N080 © Jérôme et Laurent Triolet/www.mondesouterrain.fr] Moyen Age 
 Touraine 
 cavité 
 creusé 
 forteresse médiévale 
 fortification 
 souterrain 
 souterrain-refuge 
 troglodytique

© Jerôme et Laurent TRIOLET

L’année 1985 a marqué un tournant, nous avions alors décidé d’étudier plusieurs souterrains de Touraine et nous commencions par ce souterrain du Chinonais, accessible seulement par le puits d’une ferme ; Touraine (France), mars 1985. Chinon 
 Touraine 
 cavité 
 exploration 
 souterrain 
 souterrain-refuge

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Il faisait -4°C ce matin-là, nous étions en train de nous équiper pour descendre dans le puits de Balâtre et explorer un souterrain-refuge inédit. Grâce à la dotation reçue en soutien à notre expédition en Cappadoce, nous étions désormais équipés de casques Edelrid bleus, beaucoup plus confortables que les casques de chantier et parfaitement adaptés à la spéléologie ; Blésois (France), décembre 1989 (photo : Stéphane Lebreton). Touraine 
 cavité 
 exploration 
 puits 
 souterrain 
 souterrain-refuge 
 spéléologie

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Beaucoup d’eau dans ce grand souterrain-refuge villageois et les cuissardes n’étaient pas assez hautes  pour rester au sec … Senlis-le-Sec, Picardie (France), mars 1994. Nord 
 Picardie 
 cavité 
 coulisses 
 exploration 
 souterrain 
 souterrain-refuge 
 spéléologie

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Toujours aussi étroit, l’accès à ce souterrain se faisait dans le jardin d’une maison, au cœur d’une petite ville des environs de Linz (Autriche), juillet 1998. Autriche 
 cavité 
 coulisses 
 exploration 
 souterrain 
 souterrain-refuge 
 spéléologie

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Girafe mâle (giraffa camelopardalis) testant la réceptivité sexuelle d'une femelle.
PN de Kruger - AFRIQUE DU SUD girafe, mâle, femelle, réceptivité sexuelle, pipi, urine, tester, goûter, afrique,

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

<br><br>
Autre nom français : Serpent de verre 
<br>Nom anglais : Slow Worm
<br><br>L'Orvet fragile craint autant le froid que la grosse chaleur et il ne s'expose au soleil qu'au printemps ou en automne. Actif surtout le soir et par temps pluvieux, si sa température interne est bonne, il est capable de se déplacer très vite. L'Orvet est très attaché à l'endroit qu'il habite. 
<br>L'Orvet fragile est un fouisseur qui passe beaucoup de temps sous terre. Il peut creuser lui-même ses galeries ou utiliser celles de rongeurs. Il hiverne dans le sol, dans des galeries, d'octobre à février-mars. Plusieurs Orvets peuvent hiverner ensemble entrelacés, formant un "nœud d'Orvets". Son régime alimentaire est carnivore. Il consomme principalement des Vers de terre, des Limaces,  des Insectes et leurs larves, des Mollusques et autres Cloportes et Araignées.
<br>L'Orvet fragile est très calme et ne cherche jamais à mordre. Pourtant, en dépit de ses qualités d'auxiliaire de l'agriculture et du jardin, la similitude de ce reptile avec les serpents en fait un mal aimé que l'on tue encore pour cette seule raison.
<br><br>Il peut vivre plus de 50 ans, pour peu qu'on lui en laisse le temps!

<br>Ce lézard est protégé de portée : 
<br><br><li><b>Internationale </b>: <a target="_blank" href="http://conventions.coe.int/Treaty/fr/Treaties/Html/104.htm"> <u>Convention de Berne : Annexe III</u></a target="_blank" href="http://conventions.coe.int/Treaty/fr/Treaties/Html/104.htm">
<br><li><b>Nationale </b>: <a target="_blank" href="http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000017876248"> <u>Amphibiens et Reptiles protégés : Article 3</u> </a target="_blank" href="http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000017876248">
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Orvet fragile
Serpent de verre
Anguis fragilis
lézard
soleil
Allier
Auvergne
carnivore
espèce protégée
reptile

© Monique Morin

<center><font color="#FF9900">Photo arrivée en quart de finale - Graphisme - au Festival International de la Photo Animalière et de Nature de Montier en Der en 2010</font color="#CC0000"></center>
<br><br><br>
N'existant pas à l'état sauvage, les graines du Lotus sacré bénéficient cependant d'une longévité exceptionnelle. Dans le district de Shiba, à Tokyo, des graines trouvées en 1951 dans une pirogue avec leur fruit datent d’au moins 2000 ans. Les graines de Lotus sacré ont été semées, ont germées et depuis se sont reproduites.
L’enveloppe très résistante de la graine du Lotus sacré empêche l’eau de pénétrer. Grâce à ce mécanisme, la graine peut dormir très longtemps sans bourgeonner.
<br><br>Photo réalisée en France, à la pagode vietnamienne de Noyant d'Allier (Auvergne) Lotus sacré
Nelumbo nucifera
Sacred Lotus
graines
longévité
fruit
eau
Auvergne
Allier

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais du Hérisson d'Europe : European Hedgehog
<br>Autres noms français : Hérisson commun, Hérisson d'Europe occidentale, Hérisson d'Europe de l'Ouest ou plus simplement Hérisson ordinaire ou « hérisson » tout court
<br>L'un de ces deux jeunes hérissons avait une patte blessée. Celle-ci a guéri après deux jours de soins.
<br><br>L'espérance de vie du hérisson :
<br>Les quatre premières semaines de la vie d'un hérisson sont souvent les dernières. Vingt pour cent des jeunes environ disparaissent avant d'avoir quitté le nid. Après un an, il ne subsiste que 30 % de la portée. S'ils passent ce cap, les jeunes ont de bonnes chances de survie jusqu'à 4 ou 5 ans. Cette survie dépend de la quantité de nourriture qu'ils vont pouvoir trouver. Environ quatre individus sur mille atteignent l'âge de 10 ans, mais il est rarissime qu'un hérisson vive plus longtemps.
<br><br>Les principales causes de la mortalité du Hérisson d'Europe sont :
<br>Les intoxications chimiques et le trafic routier. Mais il existe de nombreux autres facteurs de disparition de ce petit mammifère. Plusieurs études ont permis de mieux les connaître. 
<br><br>* Les intoxications chimiques (26 % des cas). Par l'ingestion de nourriture contaminée par des herbicides ou des pesticides (utilisés au jardin, dans les parcs ou dans les cultures). L'essentiel des menus du hérisson consiste en mollusques (limaces, vers de terre, escargots) et arthropodes en tous genres (coléoptères, hannetons, charançons, bousiers, perce-oreilles et autres carabes. Il mange également des araignées, des vers de terre et des sauterelles, des chenilles et des mille-pattes). Drôle de remerciement pour ce véritable ami du jardinier ;
<br><br>* Les morts sur la route (24 % des cas). Souvent dus à la vitesse excessive des véhicules. Le hérisson a une vie essentiellement nocturne. De nuit, au delà de 80 km/h et à fortiori de 90, il est difficile à percevoir dans le faisceau des phares et donc de l'éviter ;
<br><br>* Le parasitisme (18 % des cas). Mouches (larve), puces, tiques et autres acariens. Un hérisson dehors en pleine journée est exposé aux attaques des mouches. Elles pondent sur l'animal. En se développant, les asticots se nourrissent de sa chair et le malheureux meure en d'atroces souffrances ;
<br><br>* La mort par épuisement (13 % des cas). La mort par épuisement concerne souvent des jeunes hérissons, dont la mère a disparu (morte ou "enlevée"). Incapables de se nourrir, ils meurent de faim. Des adultes pris au piège dans des fosses, des caniveaux y périssent aussi d'inanition. Il en est de même pour les hérissons pris dans des filets de protection pour les cultures. Dans les régions viticoles, par exemple, les hérissons périssent par dizaines chaque automne ;
<br><br>* La prédation (9 % des cas). Les prédateurs naturels du hérisson sont le blaireau, le hibou grand-duc, le renard, le sanglier, la buse et la fouine. Signalons comme autres prédateurs le chien et très rarement le chat ;
<br><br>* Autres causes (10 % des cas). Les maladies infectieuses, les accidents divers (noyade dans les trous et les piscines), les blessures, la disparition du bocage, la disparition des petits bois, le cloisonnement de nos jardins, les actes de cruauté ainsi que la vieillesse, etc. Cette dernière possibilité est désormais bien rare.
<br><br>Depuis 2008, le Hérisson d'Europe est inscrit sur la Liste Rouge mondiale de l'UICN.
<br>Depuis 2009, il est également inscrit sur la Liste Rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine. 
<br>Il est protégé :
<br>- Au niveau international par la Convention de Berne : Annexe III
<br>- Au niveau national par le Code de l'environnement : Arrêté du 23 avril 2007 - Mammifères protégés - Article 2
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Hérisson d'Europe
Erinaceus europaeus
European Hedgehog 
mammifères
France
Auvergne
Allier
Jeune
Liste rouge
protégé

© Monique Morin

<br><br>Nom angalis du Hérisson d'Europe : European Hedgehog
<br>Autres noms français : Hérisson commun ou « hérisson » tout court
<br>Jeune hérisson orphelin de 4 semaines 
<br><br>J'ai trouvé ce jeune Hérisson d'Europe avec ses frères en pleine journée et sous une pluie battante au bord de la RCEA (Route Centre Europe Atlantique). J'ai vite compris que, privés de leur mère qui était introuvable et, trop petits, ces hérissons étaient incapables de se nourrir seuls. La faim au ventre, ils risquaient de mourir d'épuisement. Du reste, le fort trafic routier les condamnait.
<br><br>Depuis 2008, le Hérisson d'Europe est inscrit sur la Liste Rouge mondiale de l'UICN.
<br>Depuis 2009, il est également inscrit sur la Liste Rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine. 
<br>Il est protégé :
<br>- Au niveau international par la Convention de Berne : Annexe III
<br>- Au niveau national par le Code de l'environnement : Arrêté du 23 avril 2007 - Mammifères protégés - Article 2
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Hérisson d'Europe
Erinaceus europaeus
European Hedgehog 
France
Auvergne
Allier
Jeune
Liste rouge
protégé

© Monique Morin

Proche de l'autruche, le nandou est le plus gros oiseau d'Amérique. Il est inapte au vol, mais il peut courrir très vite avec des pointes de 65 km/h. argentine,patagonie,chubut,peninsule de valdes,punta cantor,nandou

© Philippe GAUDIBERT

 photographie, haute vitesse, goutte d'eau, collision

© Christophe Dhéry

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© Christophe Dhéry

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© Christophe Dhéry

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© Christophe Dhéry

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© Christophe Dhéry

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© Christophe Dhéry

 photographie, haute vitesse, fraise

© Christophe Dhéry

 photographie, haute vitesse, mandarine

© Christophe Dhéry

 

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