Phototem

Portail de photographie multi-galeries, multi-photographes

 

Résultat de recherche

 

Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : trop

Résultat de la recherche : 2 page(s) 121 photo(s)

 

 

 

Un membre de la meute se montre trop présent!Il n' en faut pas davantage pour montrer sa domination! photo loup

© Daniel Trinquecostes

Pour vous permettre d'éviter les erreurs que j'ai commises par méconnaissance des lieux,je vous conseille:
-utilisation d'une longue focale
-Se tenir le plus prés du sol possible pour éviter les photos en plongée.
-Ne pas hésiter si vous avez le temps et s'il n'y a pas trop de monde autour de vous,à faire quelques clichés au trés grand angle.
-Utiliser le pied chaque fois que celà est possible. photo iguane terrestre

© Daniel Trinquecostes

la végétation tropicale seychelloise nous offre des mlantes luxuriantes.

© Daniel Trinquecostes

le par(c kruger est situé sur le tropique du capricorne

© Daniel Trinquecostes

cette frégate a été observée sur l'ile de Genovesa en fin d'aprés midi ( site de prince philip's steps vers 17 heures)Il est important de préciser pour les futurs voyageurs photographes que le temps où la lumiére est satisfaisante pour la prise de vue est trés court.Aprés 9 heures du matin,la lumiére est deja beaucoup trop blanche et elle ne redevient correcte que vers 17 heures le soir. photo frégate

© Daniel Trinquecostes

Pour compléter ce fil, fin février j'ai tenté une sortie pour voir les hiboux des marais et essayer de les saisir au vol comme l'avait fait mon ami photographe Ô-live ( c'est son surnom )!
J'arrive donc sur les lieux une bonne heure avant celle présumée de leur envol et roule doucement sur la petite départementale.
Je sais que le coin est bien fréquenté par les lièvres et suis donc attentif .
Je fais bien car j'en apperçois un en train de brouter à une quinzaine de métres de la route.
Je m'arrête un peu tardivement mais il ne bouge pas.
Je décide donc de faire tranquillement une boucle pour pouvoir mieux me positionner, sans trop d'espoir car ils n'apprécient guère que l'on s'arrête pour leur tirer le portrait !
Me voilà donc de retour et calcule mieux cette fois la position adéquate pour essayer de faire quelques clichés.
Le 7 d et le 500 mm sont prêts et la glace baissée.....
Je stoppe tout doucement et ne coupe pas le moteur.....
Il ne s'occupe pas de moi....

Clic clac quelques photos .....

N'étant pas satisfait de ma position je bouge le véhicule, coupe le moteur et suis extrèmement surpris de voir que mon capucin est toujours aussi tranquille !
La séance durera 30 mns sans qu'il ne change quoi que ce soit à son activité de nourrissage !

L' herbe devait êre bonne !

 LIEVRE
PHOTOGRAPHIE de LIEVRE
Mammifères
PHOTOGRAPHIE de NATURE et de FAUNE SAUVAGE

Daniel TRINQUECOSTES 
Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

<center>Le portage n'est pas toujours aisé mais les longues focales et le lourd trépied sont des plus utiles pour surprendre les animaux en évitant de trop les approcher au risque de les effrayer. photographe alpes grand paradis

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

<center>
Brève apparition de mon Ami le Goupil...<br>
Devenus trop nombreux sur ce territoire,<br>
des déplacements de Renards ont été effectués cette année.
 Renard de profil.
Grand Paradis AOSTE

© Maurice Chatelain

<center>
Il saute du lit de bon matin, et ne part que si son esprit est net, <br>
son coeur pur, son corps léger comme un vêtement d'été. <br>
Il n'emporte point de provisions. Il boira l'air frais en route <br>
et reniflera les odeurs salubres.<br>
Il laisse ses armes à la maison et se contente d'ouvrir les yeux.<br>
Les yeux servent de filets ou les images s'emprisonneront<br>
d'elles-mêmes. La première qu'il fait captive est celle du chemin<br>
qui montre ses os, cailloux polis, et ses ornières, veines crevées,<br>
entre deux haies riches de prunelles et de mûres. <br>
Il prend ensuite l'image de la rivière. Elle blanchit aux coudes<br>
et dort sous la caresse de saules. Elle miroite quand un poisson<br>
tourne le ventre, comme si on jetait une pièce d'argent, et, <br>
dès que tombe une pluie fine, la rivière a la chair de poule.<br> 
Il lève l'image des blés mobiles, des luzernes appétissantes<br>
et des prairies ourlées de ruisseaux. Il saisit au passage le vol<br>
d'une alouette ou d'un chardonneret. Puis il entre au bois. <br>
Il ne se savait pas doué de sens si délicats. Vite imprégné<br>
de parfums, il ne perd aucune sourde rumeur, et, pour qu'il<br>
communique avec les arbres, ses nerfs se lient aux nervures<br>
des feuilles. Bientôt, vibrant jusqu'au malaise, il reçoit trop, <br>
il fermente, il a peur, quitte le bois et suit de loin les paysans<br> 
mouleurs regagnant le village. Dehors, il fixe un moment, <br>
au point que son oeil éclate, le soleil qui se couche et dévêt<br>
sur l'horizon ses lumineux habits, ses nuages répandus pêle-mêle.<br> 
Enfin, rentré chez lui, la tête pleine, il éteint la lampe et longuement,<br>
avant de s'endormir, il se plaît à compter ses images. Dociles, <br>
elles renaissent au gré du souvenir. Chacune d'elles en éveille<br>
une autre, et sans cesse leur troupe phosphorescente s'accroit<br>
de nouvelles venues,comme des perdrix poursuivies et divisées <br>
tout le jour chantent le soir, à l'abri du danger, et se rappellent<br>
 aux crues des sillons. ( Jules Renard 1896) Jules Renard écrivain français. Histoires Naturelles lithographie de Henri de Toulouse Lautrec. 1896. PRESSES UNIVERSITAIRES DE FRANCE. COLLECTION SOURCES.

© Maurice Chatelain

<center>
En reconnaissance au bord de la Vienne pour rechercher des traces de castors, mon oeil est attiré... Sur l'eau, un sac qui flotte.<br>
Avec difficulté, je le ramène sur le bord de la rive et l'ouvre...<br>
Une seule pensée me vient : l'être humain est décidément trop cruel. Chat mort, noyé, dans un sac en plastique au bord d'une rivière.
Vienne

© Maurice Chatelain

<center>
Il s'est trop éloigné de son terrier et s'est retrouvé<br>proche d'une route,
et voilà le résultat. Renardeau mort

© Maurice Chatelain

<center>Cette fois, il revient avec une proie ; je l'aperçois trop<br> tard mais je ne résiste pas à l'envie d'en saisir l'instantané... mâle renard et proie grand paradis vallée d'aoste.

© Maurice Chatelain

<center>Le bord des routes est le tombeau de ce magnifique rapace.<br>
La dame blanche, elle aussi, paye, au prix fort, <br>
le fait de voler trop bas, bien trop bas. Effraie morte sur le bord d'une route.

© Maurice Chatelain

<center >
Ce soir, 15 septembre 2009.<br>
Un salopard d'automobiliste qui habite mon hameau<br>
et qui, comme bon nombre d'habitants, <br>
roule à tombeau ouvert sur l'étroite rue où deux voitures<br>
ne peuvent pratiquement pas se croiser. Que ce soit en voiture,<br>
à moto ou en quad, ils roulent vite, trop vite.

© Maurice Chatelain

<center>
J'ai été pris de vitesse.<br>
Trop attentionné à ce qui allait se passer, l'oeil rivé au viseur,<br>
je n'ai pas déclenché au bon moment.<br>
J'ai dû stabiliser mon monopode entre les roches. Reanrd dans buisson sur une proie

© Maurice Chatelain

<CENTER>
Juste à la sortie de mon hameau, une petite route...<br>
Mais là aussi ils roulent trop vite. Est-il ce hérisson qui venait<br> manger les croquettes de mes chats cet hiver ? <br>
Bien sûr, il n'est pas resté sur le bitume. Hérisson mort sur le bitume

© Maurice Chatelain

<center> 
Une approche prudente de cette prairie, sans trop chercher le <br>
cadrage au risque de les faire fuir. Juste mémoriser la scène. Harde Chevreuils mères et jeunes

© Maurice Chatelain

<center>
Sa fine silhouette est encore visible.  <br>
Hélas ! Elle ne parcourera plus la campagne<br>
de son vol léger ; ce dernier, trop bas,<br>
lui a été fatal. Une fois de plus... chouette effraie. morte sur la route. france

© Maurice Chatelain

<center>J'ai aperçu, trop tard, la proie dans la gueule de Dame Renarde  ; c'était la carcasse d'une poule. Renarde, et sa proie, une poule .

© Maurice Chatelain

<center>
Va pas trop vite ! Forêt d'Orléans

© Maurice Chatelain

<center>
Et encore, je n'ai pas toujours le boîtier avec moi...<br>
Nos amies les bêtes payent un lourd,<br> trop lourd tribut au <i>progrès</i>, à la mort. Chouette effraie morte . bord de la route.

© Maurice Chatelain

<center>
J'avais remarqué depuis le sentier les cornes imposantes.<br>
L'immobilité de l'animal me faisait comprendre qu'il devait<br>
être mort. Je suis alors monté tout droit dans sa direction.<br>
Quelques images.<br>
Puis une ombre se dessine sur le sol face à moi.<br>
Je comprends trop tard.<br> 
Au-dessus de moi,un Gypaète observait la scène.
 Carcasse de Bouquetin mâle mort. Son trophée;
 Parc du Grand Paradis. Vallée d'aoste

© Maurice Chatelain

<center>
Si seulement mes images pouvaient faire prendre conscience<br>
aux automobilistes qu'il doivent rouler moins vite et penser <br>
aux animaux sauvages, au respect de toute vie.<br>
Je n'ai pas toujours mon boitier avec moi.<br>
Quelques jours plus tard, un deuxième renard gisait sur le bas-côté<br>
de la Nationale 10. Le temps de revenir chez moi, il avait disparu... <br>
Bizarre ? Non ! Certainement un adepte des animaux empaillés.<br>
Les taxidermistes sont acheteurs de ce genre de trophée.
 Portrait Renard mort couché sur le bas côté de la route.

© Maurice Chatelain

<center>
Au fond de la vallée de Rhêmes, avant le dernier village : Thumel.
<br>
La route est trop enneigée pour y accéder en voiture ;<br> ils sont comme coupés du monde. Village de

© Maurice Chatelain

<center> 
Les températures trop clémentes, le manque de neige<br>
ne favorisent pas le rut du bouquetin. Les accouplements<br>
sont rares. La petite harde se compose d'un vieux mâle<br>
marqué à l'oreille, de jeunes adultes et de cabris.<br>
Une femelle porte un collier. Ces animaux font l'objet <br>
d'observations et de suivis afin de comprendre entre autres<br>
pourquoi la population est en diminution depuis quelques années.<br> Harde au moment du Rut. Grand Paradis Vallée d'Aoste.

© Maurice Chatelain

<center>
Les mots qui me viennent à l'esprit sont : <br>
abject, infâme, inqualifiable, méprisable, révoltant, sordide, turpide.<br> 
J'ai cherché les synonymes les plus représentatifs de cette triste, <br>
affligeante et navrante pillerie qui, peut-être aujourd'hui, <br>
fait la joie d'un pitoyable représentant de la nature humaine. Renard mort sur le bas côté de la route. Manque la queue. Un acte babrbare.

© Maurice Chatelain

<center>
Le jour commence à poindre à 5h. <br>
Déjà levés, nous sommes parmi les premiers à franchir les portes.<br>
Nous décidons d'aller à la recherche des félins.<br> 
Nous n'aurons pas trop de kilomètres à faire pour découvrir<br> 
les guépards, proches du point d'eau, et un peu plus loin, les lions. Guépard couché, bâillement. Namibie, Kgalagadi Transfrontier Park

© Maurice Chatelain

<center>
J'ai attendu longtemps en espérant que toutes ces étagnes<br>
allaient se montrer les unes au-dessus des autres.<br>
Elles disparurent trop rapidement, hélas ! Harde femelles bouquetins Cime massif alpin

© Maurice Chatelain

 Panneau Tropic of Capricorn.
Namibie

© Maurice Chatelain

<center>Plumes de la queue et des ailes coupées. cette buse restera à jamais prisonnière au centre de soins.
 Opéré de son aile cassée trop contusionné et compte tenu de son âge  elle ne pourra retrouver l'agilité du vol
Toutefois elle aura bientôt un plus grand espace. Buse blessée. centre de soins .

© Maurice Chatelain

<center>Le soleil se couche, il est temps de rentrer...<br>
            Survient alors un guépard qui, tranquillement,<br>
            se dirige vers cet arbre puis se dresse pour faire<br>
            ses griffes. Ne pas perdre de temps... Hélas ! Je suis<br>
            trop proche et dois sacrifier la queue dans ma composition. guépard  arbre afrique attitude

© Maurice Chatelain

Loïc VAISSIERE faune reptiles tropidurides endemiques portraits profils poses rochers adultes seule solitaires iles espagnola archipels galapagos equateur amerique sud oceans pacifique

© A&L Vaissiere & JJ Poirault

<b>Cervus elaphus.</b> Dyrehaven. Afin de se dépouiller des velours qui entourent leurs bois, les cerfs frottent leur trophée dans les branches basses à leur portée et en emportent parfois une, accrochée dans les cors. Cerf élaphe, Cervus elaphus Dyrahaven Cerf avec bois en lambeaux.

© Yves Vallier

 Gygis blanc ou sterne blanche oiseau de mer des eaux tropicales

© Yves Vallier

 Gygis blanc ou sterne blanche avec poussin mers tropicales

© Yves Vallier

 Phaéton ou paille en queue à brins rouges oiseau de mer des Tropiques

© Yves Vallier

 Albatros de Laysan Iles Hawaii mers tropicales

© Yves Vallier

<b>Basilicus vittatus.</b> Costa Rica. Afin d'échapper aux serpents et rapaces, ses principaux prédateurs, ce lézard n'a d'autre solution que de se perdre dans le feuillage des buissons de la forêt tropicale. Homochromie, Lézard peureux, Basilicus vittatus. Costa Rica.

© Yves Vallier

<b>Uroplatus sikorae.</b> Madagascar. Dans les forêts tropicales de l'est de la Grande île, la palme du camouflage revient à ce reptile nocturne qui se mêle aux mousses et lichens des troncs d'arbres. Il utilise une double technique de camouflage : chromatique et géométrique. Homochromie, Gecko à queue plate, Uroplatus sikorae. Reptile de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Larus dominicanus.</b> Grand goéland qui habite dans toutes les mers du sud, sur tous les continents, au dessous du tropique du Capricorne. Goéland Dominicain, Larus dominicanus. Grand laridé habitant l'hémisphère sud et les îles Falkland.

© Yves Vallier

 crosse de départ de fougère forêt tropicale aux iles Hawaii

© Yves Vallier

<b>Asio flammeus galapagoensis.</b> Ou hibou des marais. Iles Galapagos. Dans l'archipel dont Charles Darwin en a gravé la renommée, ce rapace nocturne n'a pas de prédateur et pourtant, il a conservé l'habitude de se confondre durant la journée avec les lychens et les mousses de la forêt tropicale. Homochromie. Hibou brachyote ou hibou des marais, Asio flammeus galapagoensis, des Iles Galapagos.

© Yves Vallier

 Phaéton à brins rouges ou Paille en queue en vol oiseau de mer palmipède des mers tropicales

© Yves Vallier

 Racine de fromager dans forêt tropicale

© Yves Vallier

<b>Fregata minor ridwayi.</b< Durant la saison des amours, le mâle développe une poche  de chair rouge sous sa gorge afin d'attirer la femelle. Avec une envergure dépassant les 2,45 m, la frégate est particulièrement adaptée à la vie aérienne. Son plumage n'étant pas imperméable, l'oiseau ne se pose donc pas sur l'eau, mais dispose d'une grande habileté pour capturer ses proies en effleurant du bec la surface de l'onde lors de piqués accrobatiques. Grande frégate, fregata minor, oiseau de mers tropicales et des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Pelecanus occidentalis urinator.</b> Sous-espèce endémique, proche du pélican que l'on trouve le long des côtes tropicales des Amériques. Pélican brun, Pelecanus occidentalis urinator, palmipède oiseau de mer des îles  Galapagos

© Yves Vallier

<b>Phaeton aethereus.</b> Appelé également Paille en queue, il se nourrit en haute mer de poissons et niche dans une crevasse ou l'anfractuosité d'une falaise abrupte. Grand phaéton, paille en queue oiseau des mers tropicales et des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Sula dactylatra granti.</b> Récemment établie comme une sous-espèce de Sula dactylatra. Avec une envergure d'1,50 m, il est le plus grand des 3 fous de l'archipel. Excellent plongeur, il pêche loin des côtes. Fou masqué, Fou de Nazca, Sula dactylatra granti sous-espèce de Sula dactylatra, oiseau des mers tropicales et des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Sula nebouxii excisa.</b> Les fous sont d'excellents plongeurs équipés de coussins d'air sous les plumes du front afin d'amortir les chocs lors du contact avec la surface. Le plongeon se fait d'une quinzaine de mètres de hauteur. Avec un corps taillé en fuseau, les ailes tendues vers l'arrière, il fend le liquide comme la pointe d'une lance pour capturer les poissons dont il se nourrit. Fou à pieds bleus, Sula nebouxii excisa, oiseau de mer palmipède des mers tropicales.

© Yves Vallier

<b>Pelecanus occidentalis urinator.</b> Excellent plongeur de haut vol, il rapporte dans sa poche gutturale des poissons d'une trentaine de cm qu'il régurgite à son jeune très impatient. Pélican brun, Pelecanus occidentalis urinator, palmipède des mers tropicales.

© Yves Vallier

<b>Zalophus californianus wollebacki.</b> L'otarie partage son temps dans la pêche, le repos sur la plage et le jeu. Otarie des Galapagos, Zalophus californianus wollebacki, mammifère marin des mers tropicales.

© Yves Vallier

<b>Sula nebouxii excisa.</b> La femelle se distingue du mâle  par sa taille plus imposante et la pupille de l'oeil dont la pigmentation foncée donne l'impression qu'elle est plus grosse que celle du mâle. Fou à pieds bleus, Sula nebouxii excisa, oiseau de mer, palmipède des mers tropicales.

© Yves Vallier

<b>Hirundo rustica.</b> France. Espèce commune en Europe. Nourriture essentiellement constituée d'insectes capturés en vol : mouches, taons... Retour dans nos régions en avril, ponte fin du mois, 5 oeufs. Les hirondelles commencent leur migration fin août vers l'Afrique tropicale. Elles peuvent couvrir entre 2 et 3000 km par jour et accomplissent des voyages de plus de 10.000 km. L'hirondelle peut vivre une douzaine d'années. Hirondelle de cheminée. Hirundo rustica.

© Yves Vallier

Le fulmar boréal possède la faculté de projeter (via ses narines tubulaires) un jet de matière très odorante et très tenace sur les observateurs qui auraient l'imprudence de trop les approcher. Mer, oiseau, falaise, Bretagne, pétrel, boréal, fulmar

© Jacky Bernard

Tout était réuni ce jour là pour effectuer cette belle prise de vue. Une température de - 20°celcius pas trop froide pour pouvoir travailler sans souffrance, des stalactites, un front de glacier, du beau temps , un musher concentré et des chiens obéissants.

© Pierre Vernay

La ville est partagée en deux secteurs : le secteur agricole qui comprend une série de terrasses que les incas utilisaient comme laboratoire expérimental pour l'acclimatation de plantes tropicales et le secteur urbain composé de temples, palais, maisons et canaux. Les édifices sont orientés vers le soleil levant et les mûrs sont inclinés vers l'intérieur, pour mieux résister aux séismes. Les Incas étaient considérés comme les plus grands urbanistes et architectes de leur temps. Le site du Machu Picchu rassemblait une population de 1000 habitants. machu,picchu,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

(Tigrisoma lineatum) Ce héron est un oiseau des marécages et des marais tropicaux. Il vit en solitaire, chassant dans les eaux peu profondes, à la recherche d'une proie qu'il va harponner d'un coup de bec bref et vigoureux. Il se nourrit de perches et de carpes, mais aussi de sauterelles, de crustacés, de larves de libellules... onore,raye,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Victoria cruziana) Cette plante tropicale peut atteindre 3 mètres de diamètre... nénuphars,geants,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Iguana iguana) L'Iguane vert peut prendre plusieurs couleurs, selon sa région d'origine. Ainsi dans l'ouest du Costa Rica, l'Iguane est de couleur orangée. Cet animal passe le plus clair de son temps dans les arbres, à se nourrir de feuilles. A l'âge adulte, il peut atteindre 1,5 m à 2 m et peser 5 kg. C'est un animal territorial qui n'hésite pas à s'attaquer à tout intrus pouvant prétendre à utiliser son espace. Comme la plupart des reptiles, il peut faire varier sa température en fonction de son environnement. Ainsi, il fait varier la couleur de sa peau en s'assombrissant pour mieux capter la chaleur du soleil ou en s'éclaircissant lorsqu'il fait trop chaud... iguane,vert,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Chimpanzés sont répertoriés dans 21 pays africains de la zone tropicale. On sait depuis 2005, que le patrimoine génétique du chimpanzé et de l'homme est identique à 98,6 %... La proximité génétique des deux espèces indique que la séparation, à l'échelle du monde est relativement récente : selon les scientifiques, entre 8 et 13 millions d'années... chimpanzes.

© Jean-Claude FOURNIER

(Eulemur fulvus rufus) Ce lémurien vit dans les forêts tropicales humides ou forêts sèches à feuilles caduques. Les deux mâles figurant sur ce cliché ont été aperçus dans le Parc national de l'Isalo. Si les mâles arborent une parure grise, les femelles portent une robe marron rougeâtre. Principalement arboricole, cet animal se nourrit de fruits, feuilles, fleurs et insectes. maki,front,roux,madagascar.

© Jean-Claude FOURNIER

Un Python, long de 5 mètres, a réussi à tuer, par constriction, un chacal trop curieux ou trop imprudent... Le Python se nourrit de mammifères, oiseaux et reptiles... python,chacal,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Basiliscus basiliscus) Ce lézard, d'une longueur de 40 à 60 cm, vit en forêt tropicale humide. Il se nourrit de fruits et d'insectes et aussi d'œufs d'iguane. Le mâle présente une petite crête sur la tête. Excellent nageur, il est capable de marcher sur l'eau (à une vitesse de 12 km/heure) d'où son surnom de Lézard Jésus-Christ ! basilic,commun,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

(Fregata minor) Cette femelle se repose sur le bord de la falaise. Bel oiseau à large envergure (jusqu'à 2,30 m), qui vit dans les océans tropicaux et subtropicaux. Il se nourrit tout en volant, happant les poissons sous la surface de l'eau ou dans les airs quand il s'agit d'un poisson volant. Il peut aussi harceler d'autres oiseaux marins et leur chiper leur pêche. Il se reproduit dans les petites îles et les mangroves. Le mâle séduit la femelle en gonflant sa poche gulaire rouge. La femelle dépose un œuf qui sera couvée pendant 55 jours par les deux parents. fregate,pacifique,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

(Donacobius atricapilla) Espèce de passereau, le Donacobe à miroir habite les forêts humides tropicales et subtropicales. Il se nourrit surtout d'invertébrés, d'insectes et d'araignées. La femelle dépose 2 œufs qu'elle couve pendant 18 jours... donacobe,miroir,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

L'oseille de Guinée ou bissap est une plante herbacée de la famille des malvacées, qui pousse en zone tropicale. A partir des fleurs séchées, il est possible de confectionner un sirop tonifiant et rafraîchissant, du thé et de la bière... Le bissap intervient aussi dans la pharmacopée traditionnelle... dogon,bissap,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

(Trogon caligatus) Il habite la forêt tropicale, les espaces  semi-ouverts ou les lisières des forêts et se nourrit de fruits et d'insectes. trogon,lunettes,jaunes,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

(Myscelia cyaniris) papillon,tropical,vague,bleue,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

Ce magnifique oiseau affectionne les forêts tropicales. On le rencontre principalement à l'est du Mexique, en Amazonie Péruvienne et Brésilienne. En raison du déboisement et du commerce -pourtant illégal- d'oiseaux exotiques, cette espèce est gravement menacée d'extinction... ara,macao,rouge.

© Jean-Claude FOURNIER

Les trophées de chasse sont exposés sur la façade de la maison du chasseur. On observe que les singes figurent en bonne place parmi les proies... dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

(Vireolanius pulchellus) On le rencontre dans les forêts humides tropicales. Il se nourrit d'arthropodes, de fruits et de baies charnues. grieche,vireo,vert,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

(Bothriechis schlegelii) Espèce qui dépasse rarement 75 cm de long, qui vit dans les zones humides et tropicales au feuillage dense et se nourrit de petits rongeurs, de grenouilles, de lézards et de petits oiseaux. vipere,schlegel,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

(Florisuga mellivora) Ce joli oiseau vit dans les forêts humides tropicales ou subtropicales, jusqu'à 900 mètres d'altitude. Il est nectarivore et insectivore. colibri,jacobin,cou,blanc,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

(Pteroglossus torquatus) Il habite la lisière des forêts tropicales humides situées à basse altitude, les plantations de fruits et de café, ainsi que les forêts pluviales basses. Il vit en groupe et se nourrit de fruits mais aussi d'œufs, d'oisillons, de lézards et d'insectes. La nidification s'étale de janvier à août. La femelle dépose 2 à 5 œufs. aracari,collier,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

(Chlorophones spiza) Bel oiseau qui vit en lisière de la forêt tropicale et se nourrit de fruits, d'insectes et de nectar. tangara,emeraude,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

© Arnaud MARTINS DA TORRE

 volcan, avachinsky, petropavlovsk, kamtchatka, russie

© Sandrine MARBACH

 flore, calotropis, langue de barbarie, saint-louis, sénégal, afrique

© Sandrine MARBACH

 flore, calotropis, langue de barbarie, saint-louis, sénégal, afrique

© Sandrine MARBACH

 flore, calotropis, langue de barbarie, saint-louis, sénégal, afrique

© Sandrine MARBACH

Redoutable chasseurs les lycaons ont une très grande endurance lorsqu'il poursuivent  leur proie. Espèce fragile car trop longtemps chassée, les lycaons ne sont plus que quelques millers en Afrique. Le Botswana offre la possibilité de voir cette espèce rare.
Nous avions roulé de longues heures avant de les apercevoir au milieu des herbes hautes au moment où la meute se rassemblait. lycaons du Botswana, animaux d'Afrique, photographie animalière

© Thierry DUVAL

© DANIEL CASANOVA

© Pierre-Georges Despierre

© Pierre-Georges Despierre

© Pierre-Georges Despierre

Bruant des neiges oiseau;passereau;bruant-des-neiges;plectrophenax-nivalis;rocher;ile-d-yeu;vendee-85;france;

© Martial COLAS

Bruant des neiges oiseau;passereau;bruant-des-neiges;plectrophenax-nivalis;rocher;ile-d-yeu;vendee-85;france;

© Martial COLAS

Une fois rentrés en France, nous oublions parfois combien les explorations souterraines en milieu tropical peuvent être éprouvantes du fait de la chaleur et de l’humidité. Non loin de Gounoudoudji, un puits d’accès tout juste dégagé nous a permis de pénétrer dans des galeries minières inexplorées, envahies de colluvions ; mine de fer dans les environs de Dogbo (Bénin), février 2018. [1328N024 © Jérôme et Laurent Triolet/www.mondesouterrain.fr] Bénin 
 Jérôme et Laurent Triolet 
 mine 
 monde souterrain

© Jerôme et Laurent TRIOLET

La trappe qui s’ouvre dans le sous-sol de cette maison donne sur un goulot vertical de 41 cm de diamètre. Josef Weichenberger vérifie que Jérôme s’extirpe du goulot sans trop de difficultés ; Haute-Autriche, février 2024. [1507N043 © Jérôme et Laurent Triolet/www.mondesouterrain.fr] Autriche 
 Erdstall 
 Jérôme et Laurent Triolet 
 monde souterrain 
 souterrain 
 souterrain-refuge

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Alors que nous traversions des paysages grandioses, le soleil déclinait et les ombres s’étiraient sur la steppe ; nous craignions d’arriver trop tard. Une fois dans le village de troglodytes, le soleil était déjà caché derrière la montagne, mais de hauts nuages rouges allaient bientôt teinter la roche de rose ; Meymand, province de Kerman (Iran), octobre 2015. Iran 
 Kerman 
 Meymand 
 coulisses 
 troglodyte 
 troglodytique

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Les Amblypyges appartiennent à la classe des arachnides, ils évoluent dans des environnements humides et certaines espèces sont souterraines, ils vivent dans les régions tropicales et subtropicales ; largeur avec les pattes = 20 cm (Vietnam). Vietnam 
 amblypyge 
 arachnide 
 arthropode 
 cavernicole 
 souterrain

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Les Amblypyges - ou Phrynes - sont des Arachnides tropicaux hygrophiles et lucifuges ; ce sont donc des troglophiles qui abondent dans les cavités souterraines (Bénin). Afrique de l'Ouest 
 Amblypyge 
 Amblypygi 
 Arachnida 
 Arachnides 
 Arthropoda 
 Bénin 
 Chelicerata 
 Chélicérates 
 Phrynes 
 arthropode 
 cavernicole 
 grotte 
 souterrain 
 troglophile

© Jerôme et Laurent TRIOLET

<br><br>Nom anglais : Common toad
<br>Dans leur hâte de trouver une compagne, les crapauds mâles peuvent  s'agglutiner  jusqu'à dix sur une femelle pour se la disputer. Mais sous le poids et parfois privée de respiration, bien qu'elle tente de repousser les trop nombreux prétendants en donnant de grands coups de pattes arrières, la femelle du Crapaud commun risque de périr noyée sous le fardeau.
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Crapaud commun
Bufo bufo
Common toad
Auvergne
Allier
prétendants
mâles
femelle
accouplement

© Monique Morin

<br><br>Mâle immature Orthétrum à stylet blancs
<br><br>Cette libellule de belle taille qui semble ne pas être trop rare dans l'Allier fréquente les zones humides et les plans d'eau stagnante ou à faible courant. 
<br>Menacée par la pollution des eaux, le curage des berges ou encore la surdensité des poissons carnassiers, l'Orthétrum à stylets blancs se trouve sur :
<br>- La Liste rouge des odonates de France métropolitaine (2016) : LC
<br>- La Liste rouge européenne de l'UICN (évaluation 2010)  : LC
<br>- La Liste rouge mondiale de l'UICN (évaluation 2009)  : LC
<br><br> Orthétrum à stylets blancs
Orthetrum albistylum
Libellule
odonates
grande Allier
Liste rouge
UICN
France

© Monique Morin

<br><br>Autre nom français du Ragondin : Castor des marais 

<br><br>Ce mammifère qui trouve ses origines en Amérique du Sud fut introduit en Europe au XIXème siècle pour la pelleterie (exploitation de sa fourrure) qui à l'époque était d'une grande valeur marchande. Précisons à ce sujet que si il n'y avait pas eu le Ragondin, le Castor serait aujourd'hui disparu. Tous les ragondins présents sur notre continent à l'heure actuelle proviennent d'évasions ou de lâchers volontaires, notamment dans les années 30,  quand la fourrure passée de mode provoqua la faillite des éleveurs.
<br>Bien que le Ragondin ait su parfaitement s'acclimater, le froid reste un facteur limitant. Les hivers rigoureux comme ceux de ces dernières années lui sont souvent fatals. D'origine tropicale, son organisme n'est pas adapté au gel comme peut l'être celui du castor et nombre d'entre eux ont la queue qui gèle et dégénère en gangrène mortelle.
<br>En France comme dans d'autres pays d'Europe où aucune mesure n’a été prise à temps pour endiguer son installation, le Ragondin est considéré comme nuisible. Cependant, il est prouvé que lorsque sa densité n'est pas trop importante, cette espèce joue un rôle positif dans l’entretien de la végétation des marais (roseaux, lentilles d’eau), et alors les quelques dégâts qu'il occasionne peuvent être  supportables en adoptant des mesures préventives.
<br><br>Depuis 2009, le Ragondin est inscrit sur la Liste rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine parmi les espèces préoccupantes mineures.
<br><br>Juvénile
<br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
 Ragondin
Myocastor coypus
Coypu
Castor des marais
mammifère
Amérique du Sud
Europe
pelleterie
fourrure
lâchers
nuisible
Liste rouge
Juvénile
France
Allier 
Auvergne

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais : Western green Lizard
<br>Le Lézard vert occidental est terrestre, mais grimpe volontiers dans les buissons pour s'isoler lorsqu'il fait trop chaud. Il peut aussi rechercher à l'extrémité des branches les premiers ou les derniers rayons du soleil. Il est très sédentaire et ses quelques déplacements s'effectuent, le plus souvent, dans le courant de la matinée, une ou deux heures après la sortie de l'abri.
<br>Cette espèce est protégée de portée : 
<br><br><li><b>Internationale </b>: <a target="_blank" href="http://conventions.coe.int/Treaty/fr/Treaties/Html/104.htm"> <u>Convention de Berne : Annexe II</u></a target="_blank" href="http://conventions.coe.int/Treaty/fr/Treaties/Html/104.htm">
<br><li><b>Nationale </b>: <a target="_blank" href="http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000017876248"> <u>Amphibiens et Reptiles protégés : Article 2</u> </a target="_blank" href="http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000017876248">
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Lézard vert occidental
Lacerta bilineata
Western green Lizard
reptile
terrestre
Allier
Auvergne
France
soleil

© Monique Morin

<br><br>Nom angalis du Hérisson d'Europe : European Hedgehog
<br>Autres noms français : Hérisson commun ou « hérisson » tout court
<br>Jeune hérisson orphelin de 4 semaines 
<br><br>J'ai trouvé ce jeune Hérisson d'Europe avec ses frères en pleine journée et sous une pluie battante au bord de la RCEA (Route Centre Europe Atlantique). J'ai vite compris que, privés de leur mère qui était introuvable et, trop petits, ces hérissons étaient incapables de se nourrir seuls. La faim au ventre, ils risquaient de mourir d'épuisement. Du reste, le fort trafic routier les condamnait.
<br><br>Depuis 2008, le Hérisson d'Europe est inscrit sur la Liste Rouge mondiale de l'UICN.
<br>Depuis 2009, il est également inscrit sur la Liste Rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine. 
<br>Il est protégé :
<br>- Au niveau international par la Convention de Berne : Annexe III
<br>- Au niveau national par le Code de l'environnement : Arrêté du 23 avril 2007 - Mammifères protégés - Article 2
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Hérisson d'Europe
Erinaceus europaeus
European Hedgehog 
France
Auvergne
Allier
Jeune
Liste rouge
protégé

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais : Death's Head Hawk-moth
<br>Le Sphinx tête de mort est un grand migrateur qui nous arrive régulièrement d'Afrique. La traversée de la méditerranée ne pose pas de problème particulier à cet excellent voilier.
<br>L'envergure allaire du Sphinx tête de mort est en moyenne de 13 cm et fait de ce sphinx le plus grand, le plus gros et le plus lourd des Sphingidae d’Europe.
<br>A noter que ce papillon est le seul au monde à être capable d'émettre un cri provenant du pharynx, ressemblant au couinement d'une souris.
<br><br> Sphinx tête de mort
Acherontia atropos
Death's Head Hawk-moth
papillon
Afrique
sphinx
migrateur
grand

© Monique Morin

Isolé dans son repli montagneux, le château d'Usson n'eut pas trop à souffrir de la croisade albigeoise mais, plus que d'autres châteaux, des injures du temps. pyrenees-orientales,chateaux cathares,usson

© Philippe GAUDIBERT

 

Page N° 1         1 2

 

Réalisation et hébergement :