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Photographie réalisée à Lower Sabie.La longueur de cet oiseau est d'environ 40 cms.Il existe une trentaine de sous espèces de cet oiseau réparties de part le monde.J'ai personnellement pu l'observer aux Galapagos(2002-butorides sundevalli )et aux Seychelles(2000-butorides degens ).Je vous recommande pour en savoir plus sur les hérons ,le guide des hérons du monde de James Hancock et james Kushlan aux éditions Deachaux et Niestlé. photo héron vert

© Daniel Trinquecostes

Longueur : environ 20 mètres. Poids estimé : un trentaine de tonnes !

© Christophe Courteau

<b>Ursus arctos.</b> Alaska. L'ours brun peut vivre une trentaine d'années dans la nature. Ours brun, Ursus arctos, Alaska.

© Yves Vallier

<b>Calumma brevicornis.</b>Caméléon endémique qui mesure une trentaine de cm queue comprise. La femelle a l'habitude d'enterrer ses oeufs à une profondeur d'une dizaine de cm. Calumma brevicornis, caméléon à petite corne, espèce endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Lepilemur microdon.</b>Lémur endémique de petite taille. Le corps mesure une trentaine de cm plus la queue longue de 25 cm environ, pour un poids inférieur à 1 kg. Nocturne, inféodé à un régime végétarien constitué de feuilles, fleurs et fruits, il est cantonné aux forêts primaires pluvieuses situées le long de la côte est de la partie sud de l'île. L'exploitation à outrance de la forêt et le piégeage sont les principales causes de la diminution de ses effectifs. Lepilemur microdon, caméléon nocturne endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

Gecko à queue plate, avec des pupilles de couleur jaune. Plus grand gecko connu du monde, il mesure une trentaine de cm dont 10 environ pour la queue. Il habite les forêts pluvieuses de l'est de l'île. Uroplatus fimbriatus, gecko endémique de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Zalophus californianus wollebacki.</b> Sous-espèce du lion de mer de Californie. La femelle est adulte vers 6/8 ans et pèse une centaine de kilos. Elle constitue des harems d'une trentaine d'individus pour un mâle. Celui-ci pèse 250 kg et affiche un tempérament plutôt agressif à terre. Otarie des Galapagos, Zalophus californianus wollebacki, mammifère marin.

© Yves Vallier

<b>Pelecanus occidentalis urinator.</b> Excellent plongeur de haut vol, il rapporte dans sa poche gutturale des poissons d'une trentaine de cm qu'il régurgite à son jeune très impatient. Pélican brun, Pelecanus occidentalis urinator, palmipède des mers tropicales.

© Yves Vallier

(Pilherodius pileatus) Le Héron coiffé est un joli échassier à bec bleu, qui vit dans les marécages boisés, à proximité de rivières et d'étangs. On peut l'observer exclusivement en Amérique du Sud. Il est considéré comme une espèce amazonienne. Il se nourrit de poissons, de larves et d'insectes. Lorsqu'il parade devant une femelle, le Héron coiffé étire son cou, ébouriffe ses plumes, délivre un cri bas et doux. On possède peu d'informations sur le cycle de reproduction. Sur une période de 18 mois, la femelle peut déposer 9 couvées, représentant une trentaine d'oisillons... heron,coiffe,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Tapirus bairdii) Le Tapir de Baird constitue la plus grande des trois espèces de tapirs américains. Il vit dans des zones boisées ou herbeuses à proximité d'un cours d'eau ou d'un marais, à une altitude maximum de 3500 mètres. Il peut peser jusqu'à 300 kg. Son espérance de vie est d'une trentaine d'années. Il est herbivore, et se nourrit de feuilles, de brindilles, de fruits et de graines. Les accouplements peuvent avoir lieu toute l'année. La gestation est de 13 mois et la femelle n'accouche généralement que d'un petit. Cette espèce est menacée par la destruction de son habitat et aussi par la chasse, pour sa viande. tapir,baird,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

Cela faisait une trentaine d’années que les eaux usées du fournil de la boulangerie voisine se déversaient dans le souterrain et, lors de notre première tentative d’exploration, nous avions dû renoncer face à une odeur pestilentielle et à un épais dépôt pâteux nous faisant craindre l’enlisement. Deux ans plus tard, après un raccordement au tout-à-l'égout et une ventilation prolongée, nous avons pu explorer ce souterrain annulaire non sans nous enfoncer dans cette masse organique noire qui encombrait les galeries et abritait une quantité incroyable de lombrics roses ; Blésois (France), mars 1997. coulisses exploration souterrain souterrain annulaire spéléologie

© Jerôme et Laurent TRIOLET

 

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