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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : tradition

Résultat de la recherche : 1 page(s) 72 photo(s)

 

 

 

<center>Fin de journée très ensoleillée pour redescendre dans la vallée. Retrouver le sentier ponctuellement rénové par les gardes du Parc dans la tradition et le respect des techniques ancestrales. sentiers chabot grand paradis

© Maurice Chatelain

<center>La Vallée d’Aoste…Territoire autonome et francophone ô combien riche d’histoire, de culture, de nature sauvage qu’un livre seul ne pouvait suffire à tout décrire. <br>Telle fut la gageure relevée afin d’offrir une approche des différentes facettes de cet univers montagnard par excellence.<br>7 zones ont été délimitées. Chacune comporte une description générale, allant de l’histoire aux traditions populaires en passant par la découverte de paysages grandioses. <br>Toutes se composent de sentiers de randonnées –33 au total—dont les niveaux variés de difficultés permettront à chacun de choisir les plus adaptés. Ils peuvent être abordés à la belle saison mais quelques-uns révèleront leur attrait s’ils sont effectués en hiver. Photos et cartographie illustrent cet ouvrage pour mieux inviter à la magie du voyage pédestre, voguant de villages singuliers en <br>"Via francigena", de châteaux séculaires en sentiers royaux, de folklore typiques en gastronomie traditionnelle, de flore luxuriante en faune préservée, de glaciers éternels en torrents impétueux.<br> Autant de charmes valdôtains qui concourent à l’émerveillement, à la flânerie, à l’observation, au bonheur. <br>En somme, à vivre l’instant présent en cette terre au grand cœur. Paradis sauvages en Vallée d'Aoste. maurice chatelain ouvrage. Editions Rossolis Suisse

© Maurice Chatelain

Peu de villages ont leur école. Le poids de la tradition "morane" reste important, malgré l'opposition de l'Etat. Cependant tous les Masaïs ne se destinent pas à devenirs pasteurs. Certains partent à la ville pour travailler dans le commerce ou le tourisme... masai,ethnie,ecole,kenya,tanzanie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Il porte la coiffure traditionnelle, faite de deux tresses plates. A l'âge adulte, elles disparaitront au profit de cheveux courts. himba,kaokoland,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

A quelques kilomètres d'Opuwo, capitale du Kaokoland, dont le nom signifie "la fin", rencontre avec les Himbas, dans un village qui regroupe une cinquantaine de personnes. Les Himbas, au nombre de 10 000 individus se répartissent entre la Namibie (2/3) et l'Angola (1/3). Ils sont rattachés à l'ethnie Herero et appartiennent au groupe linguistique Bantou. Ils vivent sur un territoire immense, sauvage, impénétrable, arrosé par la rivière Kunene... Sur cette vue on peut observer que les femmes vivent poitrine nue et portent des jupes traditionnelles, formées de plusieurs couches de peaux de chèvres... himbas,kaokoland,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Fumer le narguilé procéde de traditions chères au Touareg. Il en est de même pour la cérémonie des trois thés, à la fin de chaque repas, autour d'un bon feu, instants de convivialité, de félicité... "Le premier thé est fort comme la vie, le deuxième est doux comme l'amour, le troisième est suave comme la mort...". narguile,the,touareg,sahara,algerie.

© Jean-Claude FOURNIER

90 % de la population du Myanmar est de confession bouddhiste Théravâda. Cette philosophie s'articule autour de l'idée de "Chemin des Aînés". L'objectif est d'atteindre le nirvana, bonheur éternel ou extinction de tous les désirs. Construire des monuments religieux, faire des dons, avoir un bon comportement avec autrui permet d'accumuler des mérites afin de pouvoir  prétendre à une vie future meilleure et espérer atteindre un jour le nirvana. 
Au Myanmar, le Bouddhisme cohabite avec des traditions animistes... bouddhisme,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Une tradition dans la pagode Shwedagon consiste à répandre de l'eau fraîche sur les postes planétaires correspondant au jour de la naissance, afin d'éteindre symboliquement les foyers de la souffrance et d'obtenir une vie paisible et heureuse... Sur cette image, sont concernées les personnes nées un mardi... pagode,shwedagon,rangoon,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Les fils du lac ont mis au point une technique unique au monde, pour se déplacer et pêcher sur ces eaux peu profondes. Ils rament avec un pied, pour garder les mains libres, pour pêcher avec leur filet conique, tendu sur une armature en bambou. Lorsqu'ils perçoivent à la surface de l'eau des mouvements indiquant la présence du poisson, ils plaquent la nasse à la verticale pour le cerner. Puis le filet s'abaisse sur la proie (carpe,poisson-chat,anguille...) qu'ils piquent ensuite de leur trident. pecheurs,lac,inle,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Autre tradition étonnante du mode de vie lacustre des Inthas : les jardins flottants. Là où les eaux stagnent le long des berges, les paysans découpent à la scie des bandes de terre constituées de limon et de racines entremêlés. Ces bandes sont tirées par des barques jusqu'à l'endroit désiré et pour éviter qu'elles ne dérivent, ancrées à l'aide de perches en bambou, enfoncées dans le fond du lac. Les légumes, les fleurs et le premier riz issus de ces jardins sont  réputés pour leur qualité dans tout le pays... Les Inthas réalisent 3 à 4 récoltes par an. lac,inle,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Les pêcheurs abandonnent peu à peu la méthode de pêche traditionnelle, à partir de la nasse et utilisent aujourd'hui le filet, notamment la technique dite de pêche à l'épervier... On observera que le pêcheur rame avec le pied, pour garder les mains libres et s'occuper de son filet... lac,inle,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Le monastère Ngaphe, construit en bois, sur le lac Inlé, est très connu pour ses chats sauteurs. En effet, les moines enseignaient aux félins, l'art de sauter à travers un cerceau, ce qui amusait beaucoup les touristes... Cette tradition est maintenant abandonnée. Il y a toujours des chats dans le monastère. Ils ne sautent plus, mais comme à l'image ci-dessus, ils ronronnent... lac,inle,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Grâce à son bec corné, pourvu de crêtes sur les bords tranchants, la tortue peut déchiquetter les végétaux les plus coriaces. Son menu traditionnel est composé de feuilles et de fruits des buissons et des cactus, mais aussi d'herbes et d'algues... tortue,terrestre,galapagos,equateur.

© Jean-Claude FOURNIER

La hutte traditionnelle est construite en bois ou en pisé, avec un toît  de chaume. Certaines maisons sont décorées avec des motifs animaliers, religieux, géométriques ou symboliques... oromo,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Les chinois pratiquent la pêche au Cormoran depuis des siècles. Ils sont champions du monde de la spécialité devant les japonais. Sur le lac Erhai à Dali, la minorité Bai maintient la tradition... cormoran,peche,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

La coutume des pieds bandés en Chine remonte au Xème siècle. L'empereur avait demandé à une jeune concubine de se bander les pieds pour exécuter la danse du lotus et stimuler son désir. Bien qu'aujourd'hui interdite, cette tradition s'est perpétuée dans le temps et nombre de jeunes filles de toutes classes sociales, dans l'espoir d'acquérir richesse et distinction, ont imité depuis la maitresse de l'empereur. Le bandage commence dès le plus jeune âge, au mépris de grande souffrance et mutilation, visait à atteindre une taille idéale de 7,5 cm... Observé à Tuanshan dans la province du Yunnan. pieds,bandes,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

Le peuple Naxi est issu de l'ancienne tribu Qiang, pasteurs nomades des confins du Tibet. Ils sont environ 300 000 et vivent principalement dans les provinces du Yunnan, du Sichuan et de la région autonome du Tibet. Leur langue appartient à la famille tibéto-birmane. Au VIIème siècle, les Naxi possédaient 2 types d'écriture : l'une pictographique, le Dongba, l'autre syllabique, le Koba. A Lijiang, seules les vieilles femmes continuent à porter les tuniques noires et bleues traditionnelles... naxi,ethnie,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

La ville de Lijiang, inscrite au patrimoine mondial de l'UNESCO, a été ravagée en partie, en 1996, par un tremblement de terre. Les habitats traditionnels en bois et en pierre de la vieille ville ont été préservés. lijiang,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

Il se tient tous les cinq jours. C'est un extraordinaire lieu de rencontres multi-ethniques. Les femmes portent leur habit traditionnel. On peut y apercevoir principalement les minorités Hani et Yi... marche,yuanyang,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

traditionnellement, le village Dogon est implanté en haut de la falaise, pour mieux surveiller les alentours et se protéger des ennemis. dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

L'oseille de Guinée ou bissap est une plante herbacée de la famille des malvacées, qui pousse en zone tropicale. A partir des fleurs séchées, il est possible de confectionner un sirop tonifiant et rafraîchissant, du thé et de la bière... Le bissap intervient aussi dans la pharmacopée traditionnelle... dogon,bissap,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

L'île de Taquile est célèbre pour son art textile, inscrit au patrimoine culturel immatériel de l'humanité par l'UNESCO en 2008. Les femmes filent la laine, les hommes tissent. Autre particularité, tous les habitants portent les costumes traditionnels. Autre tradition insolite, le "Servinacuy" : depuis l'époque inca, il est de coutume qu'un jeune couple avant de se marier, fasse l'essai de la vie conjugale. Si au terme de deux années de concubinage, le couple fonctionne bien, alors le mariage est célébré. Titicaca,taquile,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

 Cuzco,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

La majorité légale au Japon est fixée à l'âge de 20 ans, mais il est possible de se marier à 16 ans pour les femmes et à 18 ans pour les hommes, avec l'autorisation des parents. Le mariage civil relève d'un simple enregistrement auprès de l'état civil avec ou sans la présence des postulants. La plupart des japonais se considèrent shintoïstes et bouddhistes. Le mariage traditionel japonais se déroule dans un sanctuaire shintô. La mariée porte un kimono blanc symbole de virginité, le marié est vêtu d'un kimono noir. mariage,shinto,tokyo,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Un monde où cohabitent modernité et tradition... kyoto,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Elle fait référence à un rite traditionnel, d'un grand raffinement, influencé par le bouddhisme zen. Le maître du thé, homme ou femme, vêtu d'un kimono, purifie à l'aide de linges de soie le service qui contiendra le thé, chauffe l'eau à 90° puis la verse sur la poudre de thé (matcha) et fait naître avec un fouet de bambou, une mousse délicate à la surface du breuvage. Les ustensiles, les gestes liés à la préparation et à la dégustation, relèvent de codes anciens et rigoureux. ceremonie,the,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Au début du mois d'avril, une marée rose et blanche submerge les villes et les campagnes japonaises. S'ouvre l'Hanami, la période de contemplation des cerisiers en fleurs (sakura), à laquelle aucun japonais ne saurait se soustraire. Cette tradition, influencée par la dynastie chinoise Tang, correspond au Japon de la période Nara (710 - 784). D'origine aristocratique, elle est devenue à compter du XVIème siècle, une immense fête populaire. Parcs, squares et lieux historiques sont envahis par les promeneurs, des milliers de pique-niques sont organisés sous les arbres. Le Japon tout entier rend hommage à la nature. cerisiers,osaka,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

A 1 H 30 de Tôkyô, Akone est le lieu par excellence pour se détendre. A l'origine de la tradition des "onsen" alors creusés dans la roche, les sources d'eau chaude d'origine volcanique apportent aux visiteurs leurs bienfaisantes vertus. Le lac Ashi est très prisé pour la pêche et la navigation de plaisance. Il offre aussi l'une des plus belles vues sur le Mont Fuji. hakone,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Elle est construite en bois, avec le recours de la pierre pour les fondations, du papier pour les portes et fenêtres coulissantes, de la paille de riz pour les tatamis et du bambou pour la décoration et les objets du quotidien. Elle offre des espaces lumineux et modulables, aux lignes épurées, se pliant aux usages de la vie courante, avec un mobilier mobile et minimaliste. Ainsi dans la journée, la chambre à coucher est libérée des tatamis et futons, rangés dans un placard, rendant la pièce disponible pour d'autres activités (travail, réception...). maison,traditionnelle,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Gardiennes d'une tradition ancestrale, les Ama sont d'étranges pêcheurs japonais.
Depuis 2000 ans, elles plongent plusieurs fois par jour, sans appareil respiratoire pour ramener algues et crustacés. Ces sirènes de la mer interviennent surtout pour déposer au fond de l'océan les huitres perlières et les récupérer quelque temps après, à l'aide de seaux en bois. On peut les voir à l'ouvrage à Toba, dans l'île de Mikomoto. nymphe,mer,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Si le mariage shintô traditionnel a toujours le vent en poupe, dans leur quête de romantisme et sans être pour autant de confession chrétienne (2 % de la population) les nouvelles générations aspirent de plus en plus à troquer le kimono pour la robe blanche et le costume à la façon occidentale. Le mariage se célèbre alors dans des chapelles ou des églises (parfois fausses et sans le recours de vrais prêtres) au Japon ou à l'étranger. mariage,shinto,tokyo,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Le guerrier Samburu est très soucieux de son apparence. Outre la traditionnelle jupe rouge, il porte des colliers, des bracelets et boucles d'oreilles... samburu,tribu,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Fratercula arctica) Le Macareux est l'oiseau emblématique de l'Islande. Officiellement, l'espèce est protégée. Pourtant, une tradition survit, notamment dans les îles Vestmanneyjar, celle de la chasse aux Macareux, destinée à alimenter de magrets très goûteux, les meilleures tables de  Reykjavik. A l'aide de filets triangulaires, attachés au bout de longues cannes en fibre de verre, les chasseurs capturent les Macareux en vol au bord des falaises. Le prélèvement serait limité à 2 % de la population présente sur le site. Cette tradition remonte à la nuit des temps et correspondait aux périodes de famine. Aujourd'hui, elle n'a plus guère de sens... latrapjarg,macareux,moine,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

Certaines femmes Padaung rattachées à l'ethnie Kayin continuent à porter des anneaux autour de leur cou et de leurs jambes. Cette tradition, très mutilante et dégradante pour la femme, serait en recul au Myanmar, mais semble prospérer en Thaïlande... femme,girafe,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Dans la tribu Hamer, la tradition enseigne aux hommes et aux femmes de prendre soin de leur apparence en toutes circonstances. Le visage de cette jeune fille est maquillé à partir d'un mélange de craie et d'eau. hamer,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Dans les différentes tribus du sud éthiopien, les lances et les casse-têtes traditionnels ont été remplacés par des armes automatiques. Les tribus sont armées, car souvent en conflit entre elles, suite à des pillages, des vols de bétail... Les bandes armées du Kenya ou du Soudan fournissent les kalachnikovs contre de la nourriture... tsemai,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Himbas tirent leurs ressources du bétail. Celui-ci fournit la nourriture et constitue une monnaie d'échange pour tous autres achats... Il procure aussi le cuir qui sert à fabriquer les vêtements et nombre d'objets usuels : sacs, blagues à tabac, coiffes traditionnelles et même porte-bébés. Quant aux sandales, elles sont confectionnées à partir de pneus de voiture... himba,namibie.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Himbas donnent l'image d'une communauté heureuse, attachée à ses traditions. Ce mode de vie est cependant menacé, par la scolarisation des jeunes, le développement du tourisme, l'attrait de la vie moderne... Et puis le projet gouvernemental de création d'un barrage hydroélectrique à Epupa, sur le fleuve Kunene, s'il était mené à son terme, pourrait aboutir à inonder 200 km2 des meilleurs pâturages des Himbas et à remettre en cause l'existence même de cette ethnie... himbas,namibie.

© Jean-Claude FOURNIER

 gejia,ethnie,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

Le culte primitif du peuple Naxi a été influencé par des apports culturels et religieux han et tibétains. La fusion de ces éléments a donné naissance à une religion fétichiste associant culte des ancêtres et forces de la nature, et appelée Dongba. Le Dongba est représenté par le prêtre ou le chaman. Celui-ci sait lire et écrire la pictographie traditionnelle, chanter et danser, célébrer les rites. Cette religion ne dispose d'aucun temple et se déroule dans la nature... chaman,naxi,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

La femme Peul est tatouée de noir sur la lèvre inférieure, dès la puberté et autour de la bouche, dès le mariage. Cette pratique repose sur une tradition orale selon laquelle un Roi Peul, despote et cruel, offrait chaque année à son cheval, les os réduits en poudre de la plus belle jeune fille du royaume. Pour échapper à ce funeste sort, les femmes se seraient enlaidies par le tatouage. Loin de porter atteinte à l'esthétisme de la personne, le tatouage ne fait que souligner davantage sa beauté... peul,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

 jeune,fille,habit,traditionnel,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

Sur la place d'armes de Yanque. yanque,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

C'est le vêtement traditionnel japonais. Kimono signifie "chose portée". A l'origine sous-vêtement, le kimono est utilisé dans les grandes occasions, mariages et fêtes. Il n'est pas rare cependant de croiser dans le quartier Gion à Kyôto ou dans le métro à Tôkyô, des hommes et des femmes, souvent jeunes, parés de ce vêtement traditionnel. Si le kimono des hommes est sombre, plutôt d'une seule couleur, noir, bleu, indigo ou vert foncé, celui des femmes est de couleur vive, savamment brodé ou imprimé de motifs associant fleurs et grues... kyoto,kimono,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

 tradition,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

 geisha,kyoto,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Sortie de l'Okiya (école de formation des Geisha). La Geisha que l'on aperçoit en arrière plan part au travail. Elle accompagne une clientèle aisée (politiciens, hommes d'affaires...) dans une maison de thé ou un restaurant, où elle incarne avec distinction et grâce le rôle d'ambassadrice des arts traditionnels japonais. geisha,kyoto.

© Jean-Claude FOURNIER

Les bhoutanais portent leur habit traditionnel. Le "go" est une sorte de kimono, remonté en jupe jusqu'aux genoux et serré à la taille par une ceinture. Lors d'une visite de dzong, ils revêtent une écharpe de cérémonie appelée "kabne", blanche pour le commun des mortels, bleue pour les parlementaires, verte pour les juges et jaune pour le roi et les chefs religieux... habit,traditionnel,bhoutan.

© Jean-Claude FOURNIER

Lors de certaines danses traditionnelles sacrées qui font la réputation du Bhoutan, les moines portent des masques, symbolisant la destruction des esprits diaboliques. Le clown atsara anime le festival (tshechu) au milieu des spectateurs, cherchant à faire rire, assistant les danseurs en cas de perte d'un ustensile, se livrant à des bouffonneries parfois salaces, apportant une note joyeuse dans ce qui est souvent une méditation profonde... clown,atsara,bhoutan.

© Jean-Claude FOURNIER

Les femmes portent le "kira", une robe traditionnelle formée de trois lés cousus en une grande pièce de tissu rectangulaire qui s'attache aux épaules à l'aide de fermoirs en argent et se serre à la taille par une ceinture. kira,bhoutan.

© Jean-Claude FOURNIER

Persécutée pendant des siècles, l'Effraie a longtemps été considérée comme démoniaque (signe de mauvais présage), tantôt comme guérisseuse (on attribuait aux œufs et aux ailes des vertus curatives), de même que la tradition de clouer des chouettes aux portes était censée protéger de l'orage ou de la maladie. Cette vision a aujourd'hui disparu. L'oiseau est protégé et honoré, en témoigne le succès de la Nuit de la Chouette organisée depuis 1996 dans tout le pays. chouette effraie 10 juillet 201

© Jean-Claude FOURNIER

© Denis LOGEROT

Dans le Nord du pays, près des régions forestières des Carpates, le bois est omniprésent dans les constructions Roumanie,maison de bois

© Denis LOGEROT

Sèchage traditionnel du foin en région d'élevage (Nord-Est de Roumanie) Roumanie,forêts,Carpattes

© Denis LOGEROT

Les maisons traditionnelles de la région de Bucovine utilisent largement le bois et sont souvent construites et décorées par leur propriétaire. Roumanie,maison

© Denis LOGEROT

Bergers en costume traditionnel et leurs chiens sélectionnés pour la protection des troupeaux contre les loups. Roumanie,bergers,chiens,costumes

© Denis LOGEROT

et costumes traditionnels. Roumanie,danse,folklore

© Denis LOGEROT

 Slovaquie, église, toit de bois

© Denis LOGEROT

 Benoit Feron, photographe 
 afrique 
 magreb 
 anergui 
 haut-atlas 
 maroc 
 randonnée pédestre 
 benoit feron©

© Benoit FERON


 wildlife and travel photography 
 ethnic photography 
 peuple d'africa 
 benoit feron © 
 tanzania 
 tanzanie 
 massai 
 africa 
 afrique 
 longido

© Benoit FERON

 
 Oceania 
 Océanie 
 PNG 
 Papouasie Nouvelle Guinée 
 Papua New Guinea 
 Sepik 
 fleuve Sepik 
 papoos 
 papous

© Benoit FERON

 
 Oceania 
 Océanie 
 PNG 
 Papouasie Nouvelle Guinée 
 Papua New Guinea 
 Sepik 
 fleuve Sepik 
 papoos 
 papous

© Benoit FERON

 
 Oceania 
 Océanie 
 PNG 
 Papouasie Nouvelle Guinée 
 Papua New Guinea 
 Sepik 
 fleuve Sepik 
 papoos 
 papous

© Benoit FERON

 
 Oceania 
 Océanie 
 PNG 
 Papouasie Nouvelle Guinée 
 Papua New Guinea 
 Sepik 
 fleuve Sepik 
 papoos 
 papous

© Benoit FERON

Femme rajputs en tenues traditionnelles, Rajasthan, Inde 
 Femme rajputs en tenues traditionnelles 
 Rajasthan 
 Inde

© Alain Pons

Mandawa, Jeune fille peignant un dessin traditionnel sur le pas de la pote de sa maison. Rajasthan, Inde 
 Mandawa 
 Jeune fille peignant un dessin traditionnel sur le pas de la pote de sa maison. Rajasthan 
 Inde

© Alain Pons

Avec leurs têtes de singes saillantes, les fenêtres sculptées dans la façade de Bete Abba Libanos (l’église du saint moine Abba Libanos) imitent les poutraisons des édifices de tradition axoumite (Lalibela, Ethiopie). Abyssinie 
 Bete Abba Libanos 
 Ethiopie 
 Lalibela 
 UNESCO 
 christianisme 
 chrétiens 
 grotte 
 sanctuaire 
 troglodyte 
 tuf volcanique 
 église monolithe 
 église souterraine

© Jerôme et Laurent TRIOLET

L’église de Yemrehanna Krestos, oncle sanctifié du roi Lalibela, est construite dans une gigantesque grotte en bout de vallée. Bâtie au XIIe siècle selon la tradition axoumite enchevêtrant poutres et lits de pierres, elle est antérieure aux églises creusées de Lalibela (environs de Lalibela, Ethiopie). Abyssinie 
 Ethiopie 
 Lalibela 
 Ne’akuto Le’ab 
 UNESCO 
 Yemrehanna Krestos 
 christianisme 
 chrétiens 
 grotte 
 sanctuaire 
 troglodyte 
 tuf volcanique 
 église monolithe 
 église souterraine

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Cinq gros silos de terre crue occupent la terrasse qui s’étend sous le vaste porche rocheux. D’après la tradition, durant la période coloniale, c’est ici que les Bétammaribé des environs cachaient les réserves qu’ils voulaient soustraire aux réquisitions des Français (Atakora, Bénin). Afrique de l'Ouest 
 Batammariba 
 Bénin 
 Bétammaribé 
 Koutammakou 
 Koutammarikou 
 Ottamari 
 Somba 
 abri sous roche 
 grotte 
 silo 
 terre crue

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Cinq gros silos de terre crue occupent la terrasse qui s’étend sous le vaste porche rocheux. D’après la tradition, durant la période coloniale, c’est ici que les Bétammaribé des environs cachaient les réserves qu’ils voulaient soustraire aux réquisitions des Français (Atakora, Bénin). Afrique de l'Ouest 
 Batammariba 
 Bénin 
 Bétammaribé 
 Koutammakou 
 Koutammarikou 
 Ottamari 
 Somba 
 abri sous roche 
 grotte 
 silo 
 terre crue

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Protégée par un goulot, cette chambre comporte deux banquettes. Selon la tradition, la salle terminale de ce souterrain-refuge était aussi une chapelle (Anjou, France). [1274N048© Jérôme et Laurent Triolet/www.mondesouterrain.fr] Anjou 
 Moyen Age 
 cave 
 chapelle 
 fortification 
 monument 
 médiéval 
 patrimoine 
 souterrain 
 souterrain-refuge

© Jerôme et Laurent TRIOLET

<br><br><br>Les Hindous associent la fleur de lotus sacré au mythe de la création. Le lotus a toujours été un symbole de la beauté divine dans la tradition hindouiste. Les Chinois vénèrent le Lotus sacré en tant que symbole de pureté et d'élégance. Cette très belle fleur représente l'élévation pour les bouddhistes vietnamiens. Par ailleurs, le Lotus sacré est la fleur nationale de l'Inde et du Vietnam.
<br><br>Photo réalisée en France, à la pagode vietnamienne de Noyant d'Allier (Auvergne) Lotus sacré
Nelumbo nucifera
Sacred Lotus
fleur
beauté
pureté
élévation
bouddhistes
Vietnam
Auvergne
Allier

© Monique Morin

 

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