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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : nourrir

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Il est trés fréquent de voir la girafe se nourrir en broutant le feuillage des branches situées à hauteur de sa téte. mammiferes afrique girafe

© Daniel Trinquecostes

Durant la journée,ces reptiles sont couchés sur les rochers brulés par le soleil équatorial.Ils vont de temps à autre se rafraichir et se nourrir à proximité. photo iguane marin

© Daniel Trinquecostes

2006.....une année impossible à oublier pour de multiples raisons.
Ce fut cette année là que naquit ma passion pour ce petit oiseau qui fréquente les rivières aux eaux vives et non poluées.Ceci est particulièrement important car il se nourrit des mêmes proies que la truite qui partag en quelque sorte son habitat.Elle et lui sont à la fois dehors et dedans pour se nourrir.Elle, vient parfois se nourrir en surface lors des éclosions d'insectes et lui n'hésites pas à se mettre à l'eau et à nager sous la surface pour trouver les larves qui constituent sa nourriture !

© Daniel Trinquecostes

D'autres images déjà réalisées vont suivre ....et au fil du temps et des occasions je reviendrai nourrir ce thème........

© Daniel Trinquecostes

© Maurice Chatelain

<center>Les mamelles sont plus gonglées que l'an dernier; la mise bas a été plus tardive : quinze jours de plus qu'en 2006. J'ai la chance d'observer l'allaitement sans pouvoir, hélas, faire d'images... mamelles, femelle renarde. Parc du grand paradis.

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

<center> Quel plaisir d'observer et de conserver dans sa mémoire ces moments d'intimité. <br>Spectateur privilégié de la vie de ces magnifiques faucons. Ils auront un peu plus tard 3 oisillons à nourrir.

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

<center> D'abord éliminer les ailles, pour ensuite commencer à se nourrir.<br> Pendant ce temps le mâle observe et laisse la femelle s'alimenter.

© Maurice Chatelain

<center>
Cette coupe semble propice à ces bêtes rousses. <br>
Se nourrir ensemble. Commence alors les affrontements<br>
entre jeunes ; ici avec des "deuxième année". <br>
Observations très intéressantes. La forêt de feuillus<br>
assure le gite et le couvert. Idéal pour ces dernières<br>
bêtes sauvages des milieux forestiers. Sangliers de deuxième année avec des bêtes rousses. milieu forestier .

© Maurice Chatelain

<center>
Un temps de repos, un temps pour se nourrir. <br>
Ainsi se passent les journées si tout est calme. Chamois sur prairie  Alpines.  Grand Paradis.

© Maurice Chatelain

<center> 
Savez-vous qu'il est INTERDIT de nourrir les animaux.<br> 
Dans les campings nombreux sont ceux qui profitent des restes<br>
laissés volontairement ou tombés au sol.<br>
Je vais faire un aveu : j'ai beaucoup de mal à ne pas donner<br>
quelques miettes à ces adorables écureuils... Ecureuil terrestre assis au sol et dégustant un morceau de pain. KGALAGADI Transfrontier Park.

© Maurice Chatelain

<center>
...l'histoire se poursuit à nouveau avec cette femelle.<br>
Elle aussi se retrouve loin de son abri, elle passe la nuit<br>
dans les champs pour se nourrir, puis, au petit matin, <br>
sur cette petite route départementale... C'est la mort.<br>
Elle a certainement des jeunes qui l'attendent au terrier... Femelle Blaireau morte sur une route .

© Maurice Chatelain

<center>Ce sont les mêmes soins pour ce juvénile. Pas inquiét lors de mon entrée dans sa volière.<br>
Il lui faudra apprendre à se nourrir seul. En attendant il récupère.<br>
Encore un gros travail pour Lydia. Hibou moyen duc juvénile.

© Maurice Chatelain

<b>Lunda cirrhata.</b> Il gagne la pleine mer, d'un vol battu et rapide pour se nourrir exclusivement de petits poissons. Macareux huppé, Lunda cirrhata. Oiseau de mer de la famille des Alcidés, mers de Béring et d'Okhotsk, Océan Pacifique nord.

© Yves Vallier

<b>Capture.</b> Lorsqu'il regagne son trou pour remplacer son partenaire qui couve, ou nourrir son jeune, le macareux fait plusieurs passages, pour repérer son trou, calculer son arrivée et vérifier que tout est en ordre avant de se poser. Il suffit au chasseur de se poster au-dessus d'un trou et d'attendre son passage. Chasse des macareux aux îles Féroé.

© Yves Vallier

<b>Nannopterum harrisi.</b> Espèce endémique. Ce cormoran est l'exemple vivant de la théorie de Charles Darwin sur l'évolution des espèces. Afin de s'adapter pour survivre, ses ailes se sont attrophiées au point de n'être plus que des ailes-nageoire, son corps s'est alourdi afin de couler plus rapidement et ses pattes renforcées pour palmer vigoureusement sous l'eau. De retour de pêche, il régurgite ses aliments en partie pré-digérés pour nourrir son poussin. Cormoran aptère, palmipède endémique des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Amblyrhynchus cristatus.</b> Espèce endémique. Le passage d'El Niño réchauffant les eaux affecte durement ses sources de nourriture et cause parfois d'énormes dégâts dans sa population. Animal à sang froid, il doit continuellement se réchauffer au soleil, avant d'aller se nourrir et à son retour. Iguane marin des îles Galapagos. Amblyrhynchus cristatus.

© Yves Vallier

<b>Zalophus californianus wollebacki.</b> De retour sur la plage, la femelle reconnaîtra son jeune à ses cris et à son odeur. Ce dernier parviendra à se nourrir seul vers le cinquième mois. Le régime alimentaire est composé principalement de poissons. Otarie des Galapagos, Zalophus californianus wollebacki, mammifère marin.

© Yves Vallier

Les poussins sont nés. Le bec chargé de nombreux petits poissons,les parents doivent effectuer d'incessants voyages pour nourrir leur progéniture Bretagne, mer, falaise, macareux, moine, nourriture

© Jacky Bernard

(Scopus umbretta) L'Ombrette est une sorte de petit héron marron, la tête en forme de marteau. Cet oiseau chasse en marchant dans les eaux peu profondes et pêche de petits poissons pour se nourrir. Il vit en couple, mais aussi en groupe de 8 à 10 individus. La femelle pond en moyenne 4 œufs qui sont couvés pendant un mois par les deux parents. Le nid est gigantesque : 1,50 m de diamètre ! ombrette,senegal,okavango,botswana.

© Jean-Claude FOURNIER

Sur le chemin de retour, d'Afrique du Sud vers l'Europe, les cigognes font halte au Kenya pour se reposer et se restaurer. Fatiguées par leur long voyage, elles constituent des proies faciles pour les félins gros et petits. Abrité dans les hautes herbes, le Serval a fondu sur une Cigogne occupée à se nourrir et l'a tuée en la prenant à a gorge. serval,cigogne,chasse,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

(Iguana iguana) L'Iguane vert peut prendre plusieurs couleurs, selon sa région d'origine. Ainsi dans l'ouest du Costa Rica, l'Iguane est de couleur orangée. Cet animal passe le plus clair de son temps dans les arbres, à se nourrir de feuilles. A l'âge adulte, il peut atteindre 1,5 m à 2 m et peser 5 kg. C'est un animal territorial qui n'hésite pas à s'attaquer à tout intrus pouvant prétendre à utiliser son espace. Comme la plupart des reptiles, il peut faire varier sa température en fonction de son environnement. Ainsi, il fait varier la couleur de sa peau en s'assombrissant pour mieux capter la chaleur du soleil ou en s'éclaircissant lorsqu'il fait trop chaud... iguane,vert,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

Hors de toute vie sociale, la femelle élève seule sa progéniture. Elle a à coeur de protéger, nourrir, éduquer son bébé. Au cours des premières semaines qui suivent la naissance, elle doit l'abandonner régulièrement, à l'abri dans un fourré, pour aller chasser et prendre des forces. Cette absence peut être dangereuse pour le petit car elle laisse le champ libre aux prédateurs (hyènes, chacals, babouins, lions...) guepards,Kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

Un des adultes rapporte dans son bec un petit rongeur destiné à nourrir l'un des deux jeunes. Le régime alimentaire de l'oiseau a fait l'objet de nombreuses études par l'analyse des pelotes de réjection. Les campagnols, les muridés (mulots et souris grises) et les musaraignes composent l'essentiel de son menu. L'Effraie peut s'avérer opportuniste et se nourrir aussi d'insectes, de moineaux, étourneaux et hirondelles, de chauves-souris et d'amphibiens... La consommation journalière d'une Effraie adulte se situe autour de 100 g de proies. chouette effraie 10 juillet 201

© Jean-Claude FOURNIER

Les effectifs nicheurs sont soumis à des fluctuations interannuelles importantes, liées à des hivers rigoureux provoquant une forte mortalité. Ces déclins sont cependant compensés par des saisons de bonnes reproductions. Les autres menaces tiennent aux produits phytosanitaires utilisés dans l'agriculture à l'origine d'empoisonnements, aux clôtures en fil de fer barbelé à l'origine d'accidents mortels, aux cas d'électrocution et de collision sur des lignes électriques, aux fâcheuses rencontres avec les automobiles… Ajoutons que le prédateur de l'Effraie est la Fouine qui peut se nourrir des œufs, des jeunes et même d'adultes lorsque l'occasion se présente. chouette effraie 10 juillet 201

© Jean-Claude FOURNIER

Lorsque des pans de glace se détachent du glacier ou de la banquise, les oiseaux affluent pour se nourrir du plancton ou des poissons qui remontent à la surface... Spitzberg,norvege.

© Jean-Claude FOURNIER

(Aegypius tracheliotus) Le Vautour Oricou, plus grand vautour d'Afrique se rencontre, dans la brousse, le désert, la savane. Autour des carcasses, il impose sa puissance et son savoir faire pour entamer le cuir du mammifère mort. Il peut aussi tuer des flamants jeunes ou adultes et se nourrir de criquets et termites au sol. vautour,oricou,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

La hyène tachetée donne naissance à un petit (rarement deux ou trois) au terme d'une gestation de 4 mois. Elle a quatre mamelles et peut nourrir son bébé sur une période de 12 à 18 mois. hyenes,Kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

Siena, une belle lionne, âgée de 11 ans, a été grièvement blessée par un buffle qui l'a encornée, lors d'une chasse. La plaie est large et profonde, au dessus de sa patte arrière gauche. L'animal est en danger de mort. Maman de trois bébés, Siena n'est plus en capacité de les nourrir. Elle a confié ses petits à d'autres lionnes du groupe auquel elle appartient... lionne,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

S'ils se nourrissent de cadavres abandonnés par les grands félins, les chacals sont aussi des prédateurs redoutables pour les bébés gazelles de Thomson, dik-diks, oiseaux, jeunes phacochères, ovins, bovins, caprins... Ils mangent aussi les reptiles et les insectes. Le chacal est un omnivore opportuniste. La chasse se fait plutôt à deux. Dans le cas présent, trois chacals se sont attaqués à une gazelle de Thomson et son petit. La tactique consiste pour deux d'entre eux à harceler la mère jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus défendre son petit, le troisième se saisissant alors du bébé et le tuant par étouffement. Les trois chacals vont se nourrir des viscères, puis déchirer la proie afin de se la partager... (Cette photo a été sélectionnée au Festival internationa de la photo animalière et de nature de Montier-en-Der en 2010) chacals,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

(Gavia stellata) Le Plongeon catmarin est sur le point de partir pêcher en mer, afin de rapporter du poisson, pour nourrir son petit. plongeon,catmarin,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

(Fratercula arctiva) Le vol du Macareux n'est pas très gracieux. Par contre, grâce à ses petites ailes et ses pieds palmés, il est très à l'aise dans l'eau. C'est un excellent nageur. Protégé du froid par une épaisse couche de graisse, il est parfaitement adapté à la pêche sous-marine, plongeant souvent à plus de 15 mètres sous la surface de l'eau. Il avale directement le produit de sa pêche, sauf lorsqu'il doit nourrir son poussin. Dans ce cas, il rapporte dans son bec ses proies, prenant bien soin à l'arrivée au terrier d'éviter les goélands, mouettes et autres labbes, toujours prêts à lui chiper son butin... macareux,moine,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

Le baobab est un arbre aux vertus multiples. Il peut nourrir et soigner hommes et animaux. Son écorce sert à confectionner des cordes, ses graines participent à la fabrication de savon et d'engrais, la sève est utilisée pour fabriquer du papier... Les Dogon se servent de l'arbre pour entreposer le fourrage destiné au bétail... dogon,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Posés sur les bords du lac Awasa, les Marabouts guettent le retour des pêcheurs, espérant pouvoir se nourrir de viscères de poissons... marabouts,lac,awasa,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

C'est la période des naissances. Tandis que la femelle reste au nid avec les petits, le mâle va chasser des petits rongeurs qu'il rapporte pour nourrir les bébés. Il fait une halte sur ce tronc d'arbre et appelle la femelle pour qu'elle vienne chercher la proie.

© Jean-Claude FOURNIER

(Fratercula arctica) Avant de rejoindre son terrier pour pouvoir nourrir son petit, le Macareux moine doit affronter l'appêtit de la Mouette rieuse qui entend le déposséder de sa pêche... farne,archipel,macareux,moine,angleterre.

© Jean-Claude FOURNIER

(Fratercula arctica) Le bec du Macareux moine remplit plusieurs fonctions : il est un élément de séduction lors de la parade amoureuse, un outil utile pour creuser le terrier et se nourrir et aussi un moyen de transport pour acheminer le produit de la pêche... farne,archipel,macareux,moine,angleterre.

© Jean-Claude FOURNIER

Les rapports sexuels se déroulent au rythme d'un toutes les vingt minutes, pendant cinq jours ! Au cours de cette période, les partenaires se tiennent à l'écart du groupe, oubliant même de se nourrir... lions,accouplement,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

Chevrette profitant de la brume matinale pour se nourrir dans les champs chevreuil 
 chevrette

© Aurélie BLUSSEAU

Même si la jeune hirondelle est déjà capable d'attraper seule sa nourriture, les parents continuent à la nourrir pendant quelques jours hirondelle rustique

© Aurélie BLUSSEAU

Une demi-heure avant le coucher du soleil, ce faisan est sorti de la forêt proche pour se nourrir dans un champ non encore labouré faisan de colchide

© Aurélie BLUSSEAU

Toute la journée, les parents se relaient pour nourrir leur nichée

© Aurélie BLUSSEAU

Les boeufs passent une bonne partie de leur temps à se nourrir de lichens

© Aurélie BLUSSEAU

Effraie des clochers dans un grenier avec un campagnol dans le bec pour nourrir ses jeunes oiseau;rapace;nocturne;effraie-des-clochers;tito-alba;campagnol;nourrissage;jeunes;grenier;eure-27;france;

© Martial COLAS

Epervier d'Europe à son nid pour nourrir ses jeunes oiseau;rapace;epervier-d-europe;accipiter-nisus;femelle;nid;jeunes;nourrissage;yvelines-78;france;

© Martial COLAS

Epervier d'Europe femelle au nid pour nourrir ses jeunes oiseau;rapace;epervier-d-europe;accipiter-nisus;femelle;nid;nourrissage;jeunes;yvelines-78;france;

© Martial COLAS

Faucon crécerelle mâle a son nid pour nourrir ses jeunes oiseau;rapace;faucon-crecerelle;male;nid;nourrissage;jeunes;pin;yvelines-78;france;falco-tinnunculus;

© Martial COLAS

Les baies du lierre (Hedera helix) qui arrivent à maturité à la fin de l’hiver, attirent de nombreux oiseaux. Ce Merle noir (Turdus merula) qui vient visiter ce buisson de lierre en mars a déjà très certainement des petits à nourrir (France). Hedera helix 
 Turdus merula 
 baies 
 lierre 
 merle noir 
 oiseau 
 passereau 
 troglodyte

© Jerôme et Laurent TRIOLET

<br><br>Nom anglais : Edidle Frog
<br>La Grenouille verte est prédatrice et opportuniste. Capable de se nourrir de proies variées, elle est essentiellement insectivore, mais se délecte aussi d'arthropodes, de vers de terre, d'escargots, de limaces, de petits poissons et crustacés, voire de larves d'amphibiens.
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Grenouille verte
Rana esculenta
Edidle frog
Allier
Auvergne
France
prédatrice
insectivore
amphibiens

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais du Hérisson d'Europe : European Hedgehog
<br>Autres noms français : Hérisson commun ou « hérisson » tout court
<br>Bébé hérisson paisiblement endormi avec ses frères
<br><br>Après avoir mis à l'abri les bébés Hérissons d'Europe que je venais de trouver au bord de la route, j'ai contacté le Centre de soin pour la Faune Sauvage de ma région. Bien renseignée, j'ai acheté du lait maternisé chez mon vétérinaire. J'ai débarrassé les petits hérissons de leurs parasites, et j'ai commencé avec beaucoup de patience et de douceur à les nourrir au biberon. Puis, je leur ai installé un petit nid douillet pour qu'ils restent bien au chaud.
<br>Deux jours plus tard, les petits hérissons étaient, comme prévu, transférés au Centre de soin.
<br>Cinq semaines après, toujours en contact avec le centre, j'ai récupéré les hérissons devenus plus grands et plus forts ainsi que quatre autres orphelins du même âge maintenant capables de se débrouiller seul. Avec Hervé, mon mari, nous les avons transportés dans une zone suffisamment grande et sauvage du Massif Central, hors nous semble-t-il des plus grands dangers. Nous avons attendu la tombée de la nuit pour relâcher les hérissons et n'avons quitté les lieux que le lendemain après nous être assurés que chacun d'entre eux avait repris sa liberté.
<br><br>Depuis 2008, le Hérisson d'Europe est inscrit sur la Liste Rouge mondiale de l'UICN.
<br>Depuis 2009, il est également inscrit sur la Liste Rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine. 
<br>Il est protégé :
<br>- Au niveau international par la Convention de Berne : Annexe III
<br>- Au niveau national par le Code de l'environnement : Arrêté du 23 avril 2007 - Mammifères protégés - Article 2
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Hérisson d'Europe
Erinaceus europaeus
European Hedgehog 
mammifères
France
Auvergne
Allier
Bébé
Liste rouge
protégé

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais du Hérisson d'Europe : European Hedgehog
<br>Autres noms français : Hérisson commun, Hérisson d'Europe occidentale, Hérisson d'Europe de l'Ouest ou plus simplement Hérisson ordinaire ou « hérisson » tout court
<br>L'un de ces deux jeunes hérissons avait une patte blessée. Celle-ci a guéri après deux jours de soins.
<br><br>L'espérance de vie du hérisson :
<br>Les quatre premières semaines de la vie d'un hérisson sont souvent les dernières. Vingt pour cent des jeunes environ disparaissent avant d'avoir quitté le nid. Après un an, il ne subsiste que 30 % de la portée. S'ils passent ce cap, les jeunes ont de bonnes chances de survie jusqu'à 4 ou 5 ans. Cette survie dépend de la quantité de nourriture qu'ils vont pouvoir trouver. Environ quatre individus sur mille atteignent l'âge de 10 ans, mais il est rarissime qu'un hérisson vive plus longtemps.
<br><br>Les principales causes de la mortalité du Hérisson d'Europe sont :
<br>Les intoxications chimiques et le trafic routier. Mais il existe de nombreux autres facteurs de disparition de ce petit mammifère. Plusieurs études ont permis de mieux les connaître. 
<br><br>* Les intoxications chimiques (26 % des cas). Par l'ingestion de nourriture contaminée par des herbicides ou des pesticides (utilisés au jardin, dans les parcs ou dans les cultures). L'essentiel des menus du hérisson consiste en mollusques (limaces, vers de terre, escargots) et arthropodes en tous genres (coléoptères, hannetons, charançons, bousiers, perce-oreilles et autres carabes. Il mange également des araignées, des vers de terre et des sauterelles, des chenilles et des mille-pattes). Drôle de remerciement pour ce véritable ami du jardinier ;
<br><br>* Les morts sur la route (24 % des cas). Souvent dus à la vitesse excessive des véhicules. Le hérisson a une vie essentiellement nocturne. De nuit, au delà de 80 km/h et à fortiori de 90, il est difficile à percevoir dans le faisceau des phares et donc de l'éviter ;
<br><br>* Le parasitisme (18 % des cas). Mouches (larve), puces, tiques et autres acariens. Un hérisson dehors en pleine journée est exposé aux attaques des mouches. Elles pondent sur l'animal. En se développant, les asticots se nourrissent de sa chair et le malheureux meure en d'atroces souffrances ;
<br><br>* La mort par épuisement (13 % des cas). La mort par épuisement concerne souvent des jeunes hérissons, dont la mère a disparu (morte ou "enlevée"). Incapables de se nourrir, ils meurent de faim. Des adultes pris au piège dans des fosses, des caniveaux y périssent aussi d'inanition. Il en est de même pour les hérissons pris dans des filets de protection pour les cultures. Dans les régions viticoles, par exemple, les hérissons périssent par dizaines chaque automne ;
<br><br>* La prédation (9 % des cas). Les prédateurs naturels du hérisson sont le blaireau, le hibou grand-duc, le renard, le sanglier, la buse et la fouine. Signalons comme autres prédateurs le chien et très rarement le chat ;
<br><br>* Autres causes (10 % des cas). Les maladies infectieuses, les accidents divers (noyade dans les trous et les piscines), les blessures, la disparition du bocage, la disparition des petits bois, le cloisonnement de nos jardins, les actes de cruauté ainsi que la vieillesse, etc. Cette dernière possibilité est désormais bien rare.
<br><br>Depuis 2008, le Hérisson d'Europe est inscrit sur la Liste Rouge mondiale de l'UICN.
<br>Depuis 2009, il est également inscrit sur la Liste Rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine. 
<br>Il est protégé :
<br>- Au niveau international par la Convention de Berne : Annexe III
<br>- Au niveau national par le Code de l'environnement : Arrêté du 23 avril 2007 - Mammifères protégés - Article 2
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Hérisson d'Europe
Erinaceus europaeus
European Hedgehog 
mammifères
France
Auvergne
Allier
Jeune
Liste rouge
protégé

© Monique Morin

<br><br>Nom angalis du Hérisson d'Europe : European Hedgehog
<br>Autres noms français : Hérisson commun ou « hérisson » tout court
<br>Jeune hérisson orphelin de 4 semaines 
<br><br>J'ai trouvé ce jeune Hérisson d'Europe avec ses frères en pleine journée et sous une pluie battante au bord de la RCEA (Route Centre Europe Atlantique). J'ai vite compris que, privés de leur mère qui était introuvable et, trop petits, ces hérissons étaient incapables de se nourrir seuls. La faim au ventre, ils risquaient de mourir d'épuisement. Du reste, le fort trafic routier les condamnait.
<br><br>Depuis 2008, le Hérisson d'Europe est inscrit sur la Liste Rouge mondiale de l'UICN.
<br>Depuis 2009, il est également inscrit sur la Liste Rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine. 
<br>Il est protégé :
<br>- Au niveau international par la Convention de Berne : Annexe III
<br>- Au niveau national par le Code de l'environnement : Arrêté du 23 avril 2007 - Mammifères protégés - Article 2
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Hérisson d'Europe
Erinaceus europaeus
European Hedgehog 
France
Auvergne
Allier
Jeune
Liste rouge
protégé

© Monique Morin

Quatre femelles en train de se nourrir. daim,dama dama

© Philippe GAUDIBERT

En quittant les nids, les manchots traversent la plage qui leur donne accès à l'océan où ils vont se nourrir principalement d'anchois et de sardines. argentine,patagonie,chubut,peninsule de valdes,punta norte,manchots de magellan

© Philippe GAUDIBERT

mouette ayant capturé un coléoptère pour nourrir son oisillon Mouette mélanocéphale, Larus melanocephalus, laridae, oiseau, Camargue, adultes

© Daniel MAILLARD

Le Campagnol amphibie se nourrit de plantes sur les berges ou dans l’eau et ne vont jamais se nourrir dans les champs  (Arvicola sapidus). C'est une espèce protégée en forte diminution. Campagnol amphibie se nourrissant

© Eddie ROY

Le Campagnol amphibie se nourrit de plantes sur les berges ou dans l’eau et ne vont jamais se nourrir dans les champs  (Arvicola sapidus). C'est une espèce protégée en forte diminution. Campagnol amphibie en vendée

© Eddie ROY

Le Campagnol amphibie se nourrit de plantes sur les berges ou dans l’eau et ne vont jamais se nourrir dans les champs  (Arvicola sapidus). C'est une espèce protégée en forte diminution. Campagnol amphibie

© Eddie ROY

Le Campagnol amphibie se nourrit de jeunes pousses de plantes sur les berges ou dans l’eau et ne vont jamais se nourrir dans les champs  (Arvicola sapidus). C'est une espèce protégée en forte diminution. Campagnol amphibie la tête sous l'eau

© Eddie ROY

Le ampagnol amphibie se nourrit de plantes sur les berges ou dans l’eau et ne vont jamais se nourrir dans les champs  (Arvicola sapidus). C'est une espèce protégée en forte diminution. Campagnol amphibie

© Eddie ROY

La bondrée apivore (Pernis apivorus) n'hésite pas en cas de pénurie d'insectes à se rabattre sur de jeunes oiseaux pour se nourrir. La bondrée apivore

© Eddie ROY

Le Campagnol amphibie se nourrit de plantes sur les berges ou dans l’eau et ne vont jamais se nourrir dans les champs  (Arvicola sapidus). Sa queue et ses griffes sont plus longues que celles des autres campagnols. C'est une espèce protégée en forte diminution.

© Eddie ROY

La bondrée apivore (Pernis apivorus) n'hésite pas en cas de pénurie d'insectes à se rabattre sur de jeunes oiseaux pour se nourrir (Bavière, Allemagne). La bondrée apivore et sa proie

© Eddie ROY

Étrange pratique : pour conserver une population importante d'échassiers, en l’occurrence ici un héron garde-boeufs (Bubulcus ibis), afin de les présenter au public, certaines réserves ornithologiques n’hésitent pas à les nourrir, notamment avec des poussins de poules domestiques (probablement mâles : Gallus gallus domesticus) issus d'élevages (Camargue, France). nourrissage des hérons garde-bœufs

© Eddie ROY

 

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