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Le mâle est vraiment un splendide oiseau.On le voit ici avec un juvénile.La parade nuptiale aérienne de l'aigle bateleur est trés spectaculaire.Il construit un nid de branchages au sommet d'un grand arbre qu'il lui arrive de réutiliser.L'aigle bateleur doit son nom au balancement qu'il prend pendant le vol. photo aigle bateleur

© Daniel Trinquecostes

Proche parent du coucal du Sénégal,il supplante celui-ci dans l'aire de répartition allant de l'est de la Tanzanie jusqu'au Cap.On peut fréquemment l'observer en plein soleil queue et ailes déployées. photo coucal de burchell

© Daniel Trinquecostes

Rabida! Site magnifique,hélas abandonné cette année par ses habituels occupants.C'était le seul pélican présent et comme je l'ai dit par ailleurs ,il n'y avait que trés peu d'otaries. photo pelican

© Daniel Trinquecostes

Virage sur l'aile

© Daniel Trinquecostes

Comme je l'ai écrit dans la présentation de l'année , celle ci commence fort ! Nous sommes le 6 avril et à peine arrivé je vais faire un repérage sur u site que je connais. Premier coup de jumelle et BINGO ......ils sont là ! Et mieux que çà les petits sont dehors car ils ont déjà quitté le nid. Les eaux sont basses et en cette fin d'après midi je tombe sur le nourrissage ....c'est génial ! Cela ne durera que deux jours ! En effet les jeunes se dispersent très vite ce qui fait que les adultes sont sans en vadrouille pour assurer leur alimentation . Cincle plongeur.
Oiseaux
Photographie de cincle.
Photographie de nature et de faune sauvage.

Daniel TRINQUECOSTES
Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

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Son odeur rend l'air irritant et souvent irrespirable.<br> 
Sa condensation forme des lèvres de cristaux autour <br>
des fissures et peint harmonieusement les blocs de roche. souffre, volcan,cratère, éruption.vulcano,eoliennes

© Maurice Chatelain

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Attitude typique pendant les amours du chamois : le marquage<br>
à l'aide de glandes situées à l'arrière des cornes (glandes <br>
rétrocornales). D'un mouvement de va-et-vient, il dépose<br>
un liquide brun-verdâtre et gluant sur les branches ou les herbes. rut,chamois,alpes,marquage

© Maurice Chatelain

<center>
Avec l'aimable autorisation de Jérôme Hutin christophe Sidamon Pesson
Photographe de Nature, sensible un grand artiste.

© Maurice Chatelain

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Il saute du lit de bon matin, et ne part que si son esprit est net, <br>
son coeur pur, son corps léger comme un vêtement d'été. <br>
Il n'emporte point de provisions. Il boira l'air frais en route <br>
et reniflera les odeurs salubres.<br>
Il laisse ses armes à la maison et se contente d'ouvrir les yeux.<br>
Les yeux servent de filets ou les images s'emprisonneront<br>
d'elles-mêmes. La première qu'il fait captive est celle du chemin<br>
qui montre ses os, cailloux polis, et ses ornières, veines crevées,<br>
entre deux haies riches de prunelles et de mûres. <br>
Il prend ensuite l'image de la rivière. Elle blanchit aux coudes<br>
et dort sous la caresse de saules. Elle miroite quand un poisson<br>
tourne le ventre, comme si on jetait une pièce d'argent, et, <br>
dès que tombe une pluie fine, la rivière a la chair de poule.<br> 
Il lève l'image des blés mobiles, des luzernes appétissantes<br>
et des prairies ourlées de ruisseaux. Il saisit au passage le vol<br>
d'une alouette ou d'un chardonneret. Puis il entre au bois. <br>
Il ne se savait pas doué de sens si délicats. Vite imprégné<br>
de parfums, il ne perd aucune sourde rumeur, et, pour qu'il<br>
communique avec les arbres, ses nerfs se lient aux nervures<br>
des feuilles. Bientôt, vibrant jusqu'au malaise, il reçoit trop, <br>
il fermente, il a peur, quitte le bois et suit de loin les paysans<br> 
mouleurs regagnant le village. Dehors, il fixe un moment, <br>
au point que son oeil éclate, le soleil qui se couche et dévêt<br>
sur l'horizon ses lumineux habits, ses nuages répandus pêle-mêle.<br> 
Enfin, rentré chez lui, la tête pleine, il éteint la lampe et longuement,<br>
avant de s'endormir, il se plaît à compter ses images. Dociles, <br>
elles renaissent au gré du souvenir. Chacune d'elles en éveille<br>
une autre, et sans cesse leur troupe phosphorescente s'accroit<br>
de nouvelles venues,comme des perdrix poursuivies et divisées <br>
tout le jour chantent le soir, à l'abri du danger, et se rappellent<br>
 aux crues des sillons. ( Jules Renard 1896) Jules Renard écrivain français. Histoires Naturelles lithographie de Henri de Toulouse Lautrec. 1896. PRESSES UNIVERSITAIRES DE FRANCE. COLLECTION SOURCES.

© Maurice Chatelain

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C'est l'espèce que l'on trouve la plus tuée sur le bord des routes ;<br>
ses piquants dorsaux témoignent de son identité. Habituellement <br>
actif au crépuscule et la nuit, il peut être observé de jour en<br>
automne. Je n'ai pas eu la chance de le voir vivant ; le sang<br>
était encore frais sur le bitume. Comme pour les autres animaux,<br> je l'ai repoussé sur la partie herbeuse de la route en espérant que<br>
renard, blaireau ou autre hibou le découvre et en fasse bombance. Comme me l'a dit un ami, la mort d'un animal, c'est la vie d'un autre ;<br>
Rien n'est plus vrai ; j'aurais seulement souhaité qu'elle fut naturelle et non de la main de l'homme, elle m'aurait été moins révoltante... hérisson (Erinaceus europaeus ) mort sur la route

© Maurice Chatelain

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Avec l'aimable autorisation de David Allemand Christophe Sidamon-Pesson Photographe

© Maurice Chatelain

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Avec l'aimable autorisation de David Allemand Christophe Sidamon Pesson Photographe

© Maurice Chatelain

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Ce matin, j'ai croisé sur le bord de ma route une poule faisanne,<br>
puis une tourterelle mais... pas photographiables ; puis ce Picidé.<br>
Encore chaud, je l'ai ramassé et ai emporté ce pic chez moi.<br>
Après une longue observation, je l'ai enterré dans mon jardin. pic vert mâle, picidé, mort sur la route

© Maurice Chatelain

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Si vous avez le courage de comparer la première image et celle-ci....
<center>
Voici la fin d'une courte vie.<br>
C'était mon chat, adorable et heureux d'avoir trouvé<br> un lieu sûr
pour manger et dormir.<br>
Ils sont des centaines pour ne pas dire des milliers d'animaux<br>
à souffrir et à périr ainsi sur le bord des routes ou des chemins.<br>
Dans la plus totale indifférence, quand ce n'est pas dans la volonté <br>
délibérée de détruire, les automobilistes écrasent tant et plus ;<br>
qu'importe, ce n'est qu'un chat, bof !<br>
Je l'ai pris et enterré dans mon jardin avec l'horrible certitude<br>
que le jour qui vient se lèvera, une fois de plus, sur d'autres morts.<br>
FIN de l'histoire.

© Maurice Chatelain

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La voici, telle que je l'ai découverte.<br>
Je ne voulais pas laisser cette superbe couleuvre sur le bitume.<br>  
L'herbe sera son linceul.
 Couleuvre verte et jaune morte sur le le bitume.  Hieriphis viridiflavus

© Maurice Chatelain

<center>
J'ai cadré différemment pour montrer cette belle silhouette<br>
sans blessure apparente. Je n'imagine pas une seconde<br>
laisser les véhicules transformer en bouillie le corps intact<br>
de cet animal ; je l'ai donc, comme toujours, déplacé. Renarde morte sur la route

© Maurice Chatelain

<center>..Que de voir encore et encore un renard en bouillie sur la route. <br> Je l'ai déplacé pour le déposer dans le fossé. Renard écrasé sur la route Poitou-charente france

© Maurice Chatelain

A présen , il  marche dans le jardin et il se débrouille bien, Lydia l'aide un peu pour les virages car son Jones est tellement gros et lourds pour son gabarit qu'il est vite déséquilibré. Ces sorties lui permettent de garder sa musculature et aussi de commencer à brouter des jeunes pousses mais également de manger un peu de terre. Tout ceci est nécessaire pour sa flore intestinale, ceci sert de ferment lactique pour digérer le lait.
 Debout dans sa cage. Faon en recherche d'équilibre.

© Maurice Chatelain

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Vue de l'aile et de sa blessure, à vie. milan noir mutilé

© Maurice Chatelain

<center>Les restes de la poule : tête et cou.<br>
D'abord jouer à les lancer en l'air, les reprendre et recommencer ; puis, les croquer avec délice ! renardeau, proie cou de poule et tête.

© Maurice Chatelain

Il déguste avec gourmandise la cerise que Lydia lui offre. Ecureuil en soins. Nourrissage à l'aide de fruit

© Maurice Chatelain

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Le président Michel Petit parachève<br>
le tabeau arrière à l'aide d'un rabot cintré. rabot cintré.

© Maurice Chatelain

<center>
Finition du tableau arrière à l'aide d'un rabot à main. rabotage d'une pièce d e chêne. Tableau arrière.

© Maurice Chatelain

<center> 
C'était assez tôt le matin, le corps était encore tiède.<br>
Comme tous les autres, je l'ai déposé là où il ne risquait plus<br>
d'être transformé en bouillie. Renard mort couché sur la route portrait

© Maurice Chatelain

<center>
Très loin mon regard se porte et je distingue ce chamois <br>
totalement immobile. Il le restera, ce qui me permettra<br>
de monter le doubleur sur mon 300mm. Je l'ai ainsi observé<br>
longuement et ai réalisé quelques images... que je nomme<br>
des photos souvenirs. L'ambiance était intéressante. Chamois de face sur le sommet du versant.

© Maurice Chatelain

<center>
La plus belle envergure du Grand Paradis (2,80 m) ! 
A Champromenty<br>
(1800 m), j'ai eu la chance extraordinaire de voir apparaître<br>
ce gypaète barbu, hélas, je n'avais qu'un 24/85 pour tout objectif.<br>
Le moyen infaillible de différencier le gypaète barbu de l'aigle <br>royal est l'observation du bout de la queue : cunéiforme<br> (en V) pour le premier, elle est droite pour le second.

© Maurice Chatelain

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Enfin, la lumière inonde le paysage ! <br>
Elle me permet de saisir ce moment :<br>
il emplit ses poumons d'effluves odorantes. Renard couché dans la neige. Il hume l'air en levant le museau. Massif du Grand Paradis Aoste

© Maurice Chatelain

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Avec l'aimable autorisation de Simon Bugnon.<br>
Extrait de correspondance :<br>
"J'ai un grand tourbillon dans mon oeil, <br>
et c'est ce tourbillon que mon oeil cherche à voir dans la nature." Christophe Sidamon-Pesson photographe

© Maurice Chatelain

<center>Les félins n'ont pas le vertige. Avec toute l'aisance<br>
de ceux de son espèce, il franchissait tous les obstacles.

© Maurice Chatelain

<center>Trace de sa plaie. A l'aile coupée par l'humain volontairement. Faucon Hobereau blessée. Aile coupée. centre de soins

© Maurice Chatelain

<center>
J'ai déplacé ce pauvre Mustélidé qui, encore une fois,<br>
a eu le tort de quitter son terrier. Sa tête blanche, <br>
coupée de deux raies noires sont ici bien visibles... <br>
Puis, je l'ai déposé dans le fossé qui borde la nationale 10,<br>
 juste à la sortie de mon village. Blaireau mort sur la route.

© Maurice Chatelain

Comme beaucoup de femmes Africaines, l'enfant est maintenu sur le dos à l'aide de ce "porte bébé", harnais  en peau de chèvre,  dont les sangles sont nouées sur la poitrine.
Cette femme porte la coiffe qu'elle a mise pour son mariage et qui lui vient de sa mère. Portage d'un enfant sur le dos. Harnais en peau de chèvre. KAOKOLAND.NAMIBIE

© Maurice Chatelain

Il accepta timidement que je le photographie.
Je l'ai complimenté sur son collier. Homme HIMBA, collier. KAOKOLAND. NAMIBIE

© Maurice Chatelain

Iles Galapagos. Sous l'eau, comme à l'air libre, les règles sont identiques : voir sans être vu. Elle s'enfonce dans le fond sablonneux de l'océan afin de se protéger d'éventuels prédateurs et saisir au passage ses proies imprudentes. Homochromie, raie à aiguillon, îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Aptenodytes patagonica.</b> Chaque plume est implantée de façon à recouvrir l'autre comme les tuiles d'une toiture, garantissant ainsi une parfaite étanchéité. L'air est retenu à la base des barbules, assurant une isolation thermique efficace. Une glande uropygienne située à la base de la queue leur fournit l'huile dont ils se serviront pour lisser leur plumage, le rendant imperméable et prêt à affronter les profondeurs glacées. Manchot royal, Aptenodytes patagonica, Sphéniscidé de la zône circumpolaire.

© Yves Vallier

Nettoyage du littoral à l'aide de jets d'eau puissants. Pollution marine nettoyage des côtes.

© Yves Vallier

<b>Partage.</b> Après avoir hissé sur la grève les corps inertes, on gravera au couteau sur l'aileron un nombre qui indiquera le poids approximatif de chair, puis chacun s'affairera autour de l'animal réservé et le dépeçage pourra commencer. Chasse des globicéphales aux îles Féroé.

© Yves Vallier

Pour l'aigrette, le dos d'une femelle de Sambar représente un poste d'observation très pratique qui se déplace tout en assurant une bonne vision à la ronde. Aigrette et Sambar un échassier et un cerf dans les marais du Parc de Ranthambhore en Inde

© Yves Vallier

<b>Tyto alba.</b> Chez les rapaces, les pattes servent à se défendre, capturer, tenir, tuer parfois. La force dans les serres peut-être considérable chez certaines espèces : Gérard Ménatory relate dans un de ses livres la décapitation d'un chat par un simple coup de patte d'aigle royal. Un vétérinaire qui manipulait, pour le soigner, un grand duc blessé a eu l'avant bras transpercé par son "pouce". Pour construire son nid, l'aigle royal casse des branches en plongeant, serres en avant. Pattes de Chouette effraie rapace nocturne. Tyto alba.

© Yves Vallier

<b>Aquila chrysaetos.</b> Aiglon. L'incubation dure 40/45 jours environ et son séjour à l'aire est de onze semaines avant de prendre son envol. Aigle royal. Aquila chrysaetos. Rapace diurne.

© Yves Vallier

<b>Pernis apivorus.</b> Spécialiste des guêpes et des abeilles sauvages qu'elle déniche à l'aide de ses pattes. Elle semble ne pas être sensible aux piqûres des hyménoptères. La plupart des rapaces diurnes construisent un nid, qu'ils rafraîchissent périodiquement en le garnissant de branches feuillues. Bondrée apivore. Pernis apivorus. Rapace diurne.

© Yves Vallier

<b>Merops apiaster.</b> Mâle. Charente. Originaire d'Afrique, cet oiseau haut en couleurs est venu depuis une cinquantaine d'années peupler nos régions, du sud d'abord, puis jusqu'aux abords de Paris. Agile en vol, il alterne battements d'ailes, glissades, accélérations, vire-voltages. C'est un chasseur spécialisé dans la capture d'hyménoptères, guêpes, abeilles, frelons qu'il saisit en vol. Il les frappe ensuite à l'aide du bec contre une branche et les débarasse de leur dard avant de les avaler. Gêpier d'Europe mâle. Merops apiaster. avec libellule dans le bec.

© Yves Vallier

Fixer l'envol de ces as de la voltige; un exercice passionnant mais très difficile. Bretagne, vol, bécasse des bois

© Jacky Bernard

Les ailes battent l'air à l'envers, les pattes sont dépliées. La bécasse se prépare à atterrir. Bretagne, vol, bécasse des bois

© Jacky Bernard

Ce cerf a l'air paisible. Pourtant, ses bois me sont passés à quelques centimètres de la poitrine, et ce n'était pas le fait du hasard. Mammifère, cerf, brame, forêt,

© Jacky Bernard

(Pteronura brasiliensis) La Loutre géante fait partie des grands prédateurs d'Amérique du Sud, au même titre que le Jaguar, l'Anaconda, le Caîman, le Puma et l'Aigle féroce. L'espèce est en danger, car massacrée par l'homme depuis des années, pour sa précieuse fourrure !!! l loutres,geantes,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

Elle fait référence à un rite traditionnel, d'un grand raffinement, influencé par le bouddhisme zen. Le maître du thé, homme ou femme, vêtu d'un kimono, purifie à l'aide de linges de soie le service qui contiendra le thé, chauffe l'eau à 90° puis la verse sur la poudre de thé (matcha) et fait naître avec un fouet de bambou, une mousse délicate à la surface du breuvage. Les ustensiles, les gestes liés à la préparation et à la dégustation, relèvent de codes anciens et rigoureux. ceremonie,the,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

L'objet du combat : une proie détenue par l'aigle de droite...

© Jean-Claude FOURNIER

(Ephippiorhynchus senegalensis) Le Jabiru d'Afrique ou du Sénégal est un redoutable pêcheur. Il utilise son long bec pour fouiller la vase, afin d'attraper une grenouille ou un poisson chat. Puis il immobilise sa proie en lui brisant la colonne vertébrale avec son bec. Enfin, il la lave, la lance en l'air et l'avale... jabiru,afrique,masai,mara.

© Jean-Claude FOURNIER

(Macaca fuscata) Le Macaque du Japon est un singe grégaire et social qui vit en bande de plusieurs dizaines d'individus, dominée par les femelles. Pour lutter contre le froid, il a choisi de vivre à proximité des sources thermales d'eau chaude, dont la température peut atteindre 40 à 60 ° C !!! Il peut passer en quelques secondes de l'eau brûlante à l'air glacial sans s'en ressentir, grâce à la double épaisseur de sa fourrure... macaques,japon

© Jean-Claude FOURNIER

Il n'y a pas de saison des amours chez les lionnes. En dehors des périodes de gestation et d'allaitement, elles sont réceptives plusieurs fois par an. La période de chaleur dure en moyenne cinq jours. La femelle se déplace la queue en l'air, se frotte au mâle ou se vautre à ses pieds. Celui-ci est sensible à l'odeur secrétée par les glandes anales de la femelle. Il la suit, la caresse et s'isole avec elle...

© Jean-Claude FOURNIER

(Ardeola ralloides) C'est un petit héron, qui ressemble au Héron garde-boeufs et à l'Aigrette garzette. Il est très présent en Afrique de l'est. On le rencontre souvent perché en végétation haute, sur des papyrus ou des roseaux. Il se nourrit d'insectes, mollusques, crabes, poissons et grenouilles... Il niche dans les arbres de 2 à 20 mètres au dessus du niveau du sol ou de l'eau. La femelle pond de 3 à 6 œufs qu'elle incube pendant 3 semaines. Les jeunes quittent le nid au bout d'1 mois. crabier,chevelu,baringo,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

Le Caméléon se nourrit d'insectes qu'il attrape en déroulant sa longue langue protractile, à la vitesse de l'éclair. Sa queue préhensile l'aide dans ses déplacements. cameleon,madagascar.

© Jean-Claude FOURNIER

La coutume impose à tous les hommes du Myanmar, d'effectuer deux retraites monastiques dans leur vie : une comme novice entre 10 et 12 ans, l'autre comme moine, après 20 ans. Le religieux doit se soumettre à trois règles fondamentales : renoncer à toute possession, jurer de respecter toute forme de vie et de n'offenser personne, demeurer chaste... Lorsqu'ils prononcent leurs vœux, les moines reçoivent les "huit nécessités" : le bol à aumônes, le rasoir, l'éventail, l'ombrelle, l'aiguille à coudre et les 3 pièces de la robe safran... Même s'ils ont prononcé leurs vœux, les moines peuvent renoncer à la vie religieuse à tout moment. moine,pagode,shwedagon,rangoon,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Sur cette vue, on peut observer, au dessus des niches, quelques jatakas en mosaïque de verre. Les sujets sont faits d'éclats de verre peints sur une face, sertis dans du fil de laiton, et appliqués à l'aide d'une colle sur le mûr couleur corail... monastere,shweyanpyay,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Un plat, riche en protéines, préparé avec du beurre, de l'ail et de l'ognon, apprécié de la population locale. nyaung shwe,marche,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Gardiennes d'une tradition ancestrale, les Ama sont d'étranges pêcheurs japonais.
Depuis 2000 ans, elles plongent plusieurs fois par jour, sans appareil respiratoire pour ramener algues et crustacés. Ces sirènes de la mer interviennent surtout pour déposer au fond de l'océan les huitres perlières et les récupérer quelque temps après, à l'aide de seaux en bois. On peut les voir à l'ouvrage à Toba, dans l'île de Mikomoto. nymphe,mer,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

L'éléphant adulte peut absorber 70 à 90 litres d'eau par jour, destinés à l'aider à digérer et à se rafraîchir... elephant,okavango,botswana.

© Jean-Claude FOURNIER

(Egretta caerulea) La parade nuptiale chez cet oiseau procède d'une jolie chorégraphie. Le mâle se met en position accroupie avec le cou et le bec pointés en l'air. L'oiseau émet des vocalises. La femelle s'approche et un toilettage mutuel s'organise tandis que les cous s'entrelacent. Le mâle présente des branchettes à la femelle tout en gonflant ses plumes...
La femelle pond en avril 3 à 5 œufs qui seront couvés pendant 21 jours par les deux parents. Les petits s'envolent à l'âge de 30 jours et atteindront la maturité sexuelle 12 mois plus tard. aigrette,bleue,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

(Haliaeetus vocifer) Disposant d'une excellente acuité visuelle, l'Aigle-pêcheur peut repérer une proie potentielle de loin et fondre ensuite à grande vitesse sur celle-ci... aigle,pecheur,baringo,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

Autre tradition étonnante du mode de vie lacustre des Inthas : les jardins flottants. Là où les eaux stagnent le long des berges, les paysans découpent à la scie des bandes de terre constituées de limon et de racines entremêlés. Ces bandes sont tirées par des barques jusqu'à l'endroit désiré et pour éviter qu'elles ne dérivent, ancrées à l'aide de perches en bambou, enfoncées dans le fond du lac. Les légumes, les fleurs et le premier riz issus de ces jardins sont  réputés pour leur qualité dans tout le pays... Les Inthas réalisent 3 à 4 récoltes par an. lac,inle,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

Le prolongement du bond... serval,Kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

(Polemaetus bellicosus) L'Aigle martial est le plus grand des aigles de la savane africaine. Avec son ventre blanc tacheté de noir, son magnifique port de tête, il est tout simplement majestueux. aigle,martial,samburu,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Fratercula arctica) Pendant la période de nidification, le Macareux moine vit sur la terre ferme. A l'aide de son bec, il creuse un terrier - dont on aperçoit ici l'entrée - à même le sol herbeux ou à flanc de falaise, pour abriter sa progéniture.. macareux,moine,ile,inner,iles,farne,angleterre.

© Jean-Claude FOURNIER

(Gavia stellata) Plongeon catmarin et son petit. plongeon,catmarin,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

(Fratercula arctiva) Le vol du Macareux n'est pas très gracieux. Par contre, grâce à ses petites ailes et ses pieds palmés, il est très à l'aise dans l'eau. C'est un excellent nageur. Protégé du froid par une épaisse couche de graisse, il est parfaitement adapté à la pêche sous-marine, plongeant souvent à plus de 15 mètres sous la surface de l'eau. Il avale directement le produit de sa pêche, sauf lorsqu'il doit nourrir son poussin. Dans ce cas, il rapporte dans son bec ses proies, prenant bien soin à l'arrivée au terrier d'éviter les goélands, mouettes et autres labbes, toujours prêts à lui chiper son butin... macareux,moine,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

On aperçoit sur l'une des plus hautes branches, l'un des plus beaux rapaces d'Afrique : l'aigle Martial. samburu,aigle,martial,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

Les Bozo, qui sont installés dans le delta du Niger, sont considérés comme les "maîtres des eaux". Ce sont des pêcheurs habiles qui ont recours à des méthodes de pêche très variées : filets, nasses, barrages, plongée... Ici, le pêcheur utilise la technique dite de pêche à l'épervier, qui consiste à lancer un filet en chanvre de forme ronde, garni de plombs sur sa périphérie, qui va coiffer les poissons et les emprisonner grâce à un système de mailles sur le pourtour du filet. Ce dernier est remonté à l'aide d'une corde. C'est une pêche très physique et aussi très spectaculaire... bozo,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

L'une des activités quotidiennes des femmes consiste à broyer le mil, à l'aide d'un instrument en bois, de forme cylindrique, arrondi sur une face, appelé "pilon". Mopti,mali,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

(Fratercula arctica) Le Macareux est l'oiseau emblématique de l'Islande. Officiellement, l'espèce est protégée. Pourtant, une tradition survit, notamment dans les îles Vestmanneyjar, celle de la chasse aux Macareux, destinée à alimenter de magrets très goûteux, les meilleures tables de  Reykjavik. A l'aide de filets triangulaires, attachés au bout de longues cannes en fibre de verre, les chasseurs capturent les Macareux en vol au bord des falaises. Le prélèvement serait limité à 2 % de la population présente sur le site. Cette tradition remonte à la nuit des temps et correspondait aux périodes de famine. Aujourd'hui, elle n'a plus guère de sens... latrapjarg,macareux,moine,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

(Ephippiorhynchus senegalensis) Cette femelle Jabiru d'Afrique appelée aussi Jabiru du Sénégal, vient d'attraper une grenouille. Avec son bec elle lui écrase la colonne vertébrale pour l'immobiliser, puis elle va la laver, la jeter en l'air et l'avaler... jabiru,afrique,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Haliaeetus vocifer) L'Aigle-pêcheur tente de saisir à l'aide de ses serres le poisson qu'il a repéré et qui nage à quelques centimètres de la surface de l'eau... pygargue,vocifere,baringo,kenya,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Sur les falaises de Latrapjarg, on peut observer des Mouettes tridactyles, des Pingouins torda et de nombreux Macareux moine... Ces derniers nichent sur les pentes enherbées des falaises ou sur des îles. A l'aide de leur puissant bec et de leurs pattes, ils creusent de profonds terriers (1 à 2 mètres de long) où ils installent et protègent leur progéniture. latrapjarg,macareux,moine,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

(Haliaeetus vocifer) L'aigle-pêcheur n'a pas envie de partager son butin avec un autre rapace... aigle,pecheur,juvenile,baringo,kenya,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

La femme Himba est très coquette. Elle enduit sa peau d'un mélange d'ocre, de graisse animale, de plantes aromatiques et d'écorce. Cette pâte a deux vertus : elle offre une protection efficace contre le soleil et rend la peau douce et souple. C'est à partir de l'hématite, un minerai de fer rouge, que l'on trouve dans le Kaokoland et en Angola et que les femmes réduisent en poudre à l'aide d'un gros galet, que s'élabore ce produit de beauté... himba,namibie.

© Jean-Claude FOURNIER

Les femmes portent le "kira", une robe traditionnelle formée de trois lés cousus en une grande pièce de tissu rectangulaire qui s'attache aux épaules à l'aide de fermoirs en argent et se serre à la taille par une ceinture. kira,bhoutan.

© Jean-Claude FOURNIER

(Melanerpes de candidus) On rencontre le Pic blanc dans les marais boisés du Pantanal. Il se nourrit d'insectes, de larves, de graines, de fruits et de miel. A l'aide de son bec, il chasse les insectes, sous l'écorce des arbres. Il dévore aussi les abeilles irapua qui causent de graves dégâts dans la production d'agrumes... pic,blanc,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

L'ethnie Mursi et tout particulièrement la femme Mursi suscitent l'étonnement et l'admiration du voyageur. Certaines femmes Mursi arborent un plateau labial. Ce dernier est une marque de richesse et d'appartenance à un clan "noble", ancien ou important socialement. Le port du plateau est autant un symbole honorifique qu'un ornement esthétique. Il en est de même pour les scarifications rituelles, faites à l'aide de petits cailloux ou d'éclats de bois, incrustés sous la peau, par la fente d'une fine incision. Autres signes distinctifs : le crâne rasé et les oreilles pendantes pour servir au port de disques de terre séchée ou en bois. La femme Mursi peut-être demandée en mariage dès l'âge de 15 ans. Le prétendant doit offrir en dot à la famille de l'élue, plusieurs zébus. L'importance de la dot varie selon la taille du plateau porté par la promise !!! mursi,plateau,labial,ethiopie.

© Jean-Claude FOURNIER

A l'aide d'une épuisette, le pêcheur récupère l'oiseau et le poisson. peche,cormoran,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

© Arnaud MARTINS DA TORRE

L'aigle semble hésiter entre la marche et le vol...

© Aurélie BLUSSEAU

Le blanc du plumage est caractéristique d'un oiseau subadulte. En devenant adulte, l'aigle perdra ses plumes blanches

© Aurélie BLUSSEAU

Pattes pendantes, l'aigle s'apprête à atterrir

© Aurélie BLUSSEAU

Aérodynamique, l'aigle glisse sur l'air

© Aurélie BLUSSEAU

L'aigle est aussi équipé pour la marche sur la neige...

© Aurélie BLUSSEAU

Le soleil rasant de la fin de journée donne au nom anglais de l'aigle royal tout son sens...

© Aurélie BLUSSEAU

La neige de la nuit a dressé une table blanche pour l'aigle royal

© Aurélie BLUSSEAU

La corneille mantelée vient houspiller l'aigle - mais en gardant une distance de sécurité....

© Aurélie BLUSSEAU

Que ce soit au décollage ou à l'atterrisage, l'aigle a besoin d'un maximum de portance....

© Aurélie BLUSSEAU

Le jabot bien rempli, l'aigle peut affronter la journée

© Aurélie BLUSSEAU

L'aigle prend un peu de hauteur pour jauger les alentours

© Aurélie BLUSSEAU

Toutes plumes déployées, l'aigle prend son envol

© Aurélie BLUSSEAU

Le contraste de température entre l'eau et l'air a fait naître un voile de brume au dessus de la rivière aux cincles

© Aurélie BLUSSEAU

Petite pause pour humer l'air

© Aurélie BLUSSEAU

Le nez en l'air, l'ours prend des nouvelles du vent ours

© Aurélie BLUSSEAU

L'aigle prépare son casse-croûte en arrachant des touffes de poils du lièvre

© Aurélie BLUSSEAU

Le jeune veau a l'air aussi ahuri que celui qui est sans doute son père...

© Aurélie BLUSSEAU

Repu, l'aigle s'envole pour digérer au calme

© Aurélie BLUSSEAU

L'aigle "plume" le lièvre avant d'attaquer son repas

© Aurélie BLUSSEAU

Les évolutions de l'aigle au ras du sol créent un ballet de poudreuse

© Aurélie BLUSSEAU

 

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