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Après le combat les bienfaits de l'eau fraiche pour le vainqueur ! Parc de DYREHAVEN .Brame 2002 Cerf au brame. Dyrehaven 2002 Mammifère. Cerf élaphe.Cervus élaphus. Photographie de faune sauvage. Daniel TRINQUECOSTES Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Et même dans l'eau. Il est très surprenant de voir les jeunes, fraichement sortis du nid, parfaitement adaptés à leur milieu et se comportant immédiatement comme les adultes.Ils n'hésitent absolument pas à se mettre à l'eau et ce, pourtant sans apprentissage ! Cincle plongeur. Oiseaux Photographie de cincle. Photographie de nature et de faune sauvage. Daniel TRINQUECOSTES Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

<center> Au beau milieu de la piste que la rivière recouvre en partie,<br> il profite, immobile et majestueux, de la fraîcheur de l'eau. tigre couché,riviere

© Maurice Chatelain

<center> Les vignes de mon ami Jean, ont un aspect inhabituel<br> en ce petit matin frileux ; c'est l'occasion d'observer<br> des traces toutes fraîches de lièvre. vignes, hiver, neige Vienne.

© Maurice Chatelain

<center>C'est ainsi que l'on salue, que l'on dit bonjour.<br> Douceur et fraîcheur de l'accueil des enfants. classe de jeunes enfants , INDE

© Maurice Chatelain

<center>Enfin un peu de fraîcheur. Ile de Ré

© Maurice Chatelain

<center> La fraîche bure de neige souligne<br> l'imminence d'un automne vert et or. mélèzes sous la neige. alpes

© Maurice Chatelain

Empreintes de lions sur le sable du Kalahari. Kgalagadi Transfrpntier Park. Namibie.

© Maurice Chatelain

Lever du jour. Chevaux du désert au point d'eau. Namibie

© Maurice Chatelain

<center> Deux épineux, l'Acacia erioloba et l'Acacia haematoxylon,<br> ainsi que l'arbre du berger, le Boscia albitrunca, avec leurs feuilles <br> persistantes, forment de minuscules oasis dans le désert.<br> A l'ombre fraîche de l'arbre du berger, <br> la chaleur tombe parfois de vingt degrés...

© Maurice Chatelain

<center>Quand la neige fraîche saupoudre les jeunes pousses du bouleau. Branches de bouleau sous la neige fraîche

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

(Aporosaura anchieta) On le rencontre dans le désert du Namib. Pour échapper aux fortes températures, le Lézard des dunes s'immerge dans le sable ou se met à l'ombre des rochers, à la recherche de fraîcheur... lezard,sable,namib,namibie,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

Entre Ihèrir et Idaren, de nombreuses gueltas offrent aux baigneurs des lieux de fraîcheur et de détente. iherir,idaren,tassili,n ajjer,algerie.

© Jean-Claude FOURNIER

(Silene acaulis) Le silène acaule, appelé parfois "mousse fleurie" est une plante vivace rampante qui se joue des sols les plus ingrats, les déserts de sable noir, les champs de lave... Elle apporte aux paysages minéraux parfois un peu sombres et lugubres, une touche de fraîcheur, une palette de couleurs, variant du blanc au pourpre en passant par le rose... silene,acaule,mousse,fleurie,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

Une tradition dans la pagode Shwedagon consiste à répandre de l'eau fraîche sur les postes planétaires correspondant au jour de la naissance, afin d'éteindre symboliquement les foyers de la souffrance et d'obtenir une vie paisible et heureuse... Sur cette image, sont concernées les personnes nées un mardi... pagode,shwedagon,rangoon,myanmar,birmanie.

© Jean-Claude FOURNIER

(Amblyrhynchus cristatus) Darwin l'appelait "le diablotin de la nuit" en raison de son aspect inquiétant. L'iguane marin se nourrit d'algues pêchées entre 3 et 10 mètres de profondeur. Il peut rester une demi-heure sous l'eau. Animal à sang froid, après de longs séjours en eau fraîche, il s'expose au soleil pour réguler sa température. Sa coloration noire accélère l'absorption de chaleur. La population de cette espèce endémique aux Galapagos est estimée à 200 000 individus. iguane,marin,galapagos,equateur.

© Jean-Claude FOURNIER

L'exceptionnelle biodiversité des Galapagos s'explique par la présence de trois grands courants marins : les masses d'eau froide apportées du sud par le courant de Humboldt, le courant de Cromwell amenant des eaux profondes et fraîches en provenance de l'ouest, et les masses d'eau chaude venant du Panama par le nord-est. Ces îles océaniques constituent un microcosme unique sur la planète. Animaux et plantes se sont développés en vase clos. Un grand nombre sont endémiques et ont inspiré un certain Charles Darwin."Les espèces qui survivent ne sont pas les plus fortes ni les plus intelligentes, mais celles qui s'adaptent le mieux aux changements" Charles Darwin. paysage,galapagos,equateur.

© Jean-Claude FOURNIER

tigre,bengale,inde.

© Jean-Claude FOURNIER

(Jabiru mycteria) Le Jabiru d'Amérique est un grand échassier qui appartient à la famille des Cigognes. Il mesure de 115 à 130 cm et son envergure est de 260 cm. Il vit en colonies dans les zones marécageuses. C'est un oiseau monogame et le couple est formé pour la vie. Son alimentation est principalement constituée de poissons, d'amphibiens et de mollusques. Il lui arrive de manger des petits mammifères et des charognes fraîches. jabiru,amerique,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

© Arnaud MARTINS DA TORRE

Oceania Océanie PNG Papouasie Nouvelle Guinée Papua New Guinea Sepik fleuve Sepik papoos papous

© Benoit FERON

Oceania Océanie PNG Papouasie Nouvelle Guinée Papua New Guinea Sepik fleuve Sepik papoos papous

© Benoit FERON

Dans la fraîcheur hivernale, ce brocard vient de se faire éjecter du territoire de son voisin ! chevreuil, brocard, velours

© Aurélie BLUSSEAU

En milieu de journée, cette chevrette a gagné la fraîcheur du sous-bois pour un petit somme chevreuil, chevrette

© Aurélie BLUSSEAU

La fraicheur du soir emporte avec elle le chant du coq

© Aurélie BLUSSEAU

La nuit, aussi courte soit-elle, a été fraîche. Le pygargue se réchauffe aux premiers rayons de soleil

© Aurélie BLUSSEAU

Dans le bocage normand, une chevrette se délecte de l'herbe fraichement repoussée après les premiers foins chevreuil, chevrette

© Aurélie BLUSSEAU

La chevrette profite de la fraicheur du soir pour sortir à découvert pour son diner chevreuil, chevrette

© Aurélie BLUSSEAU

Dans la fraicheur du soir, les chevreuils passent devant l'affût au gré de leur appétit chevreuil, chevrette

© Aurélie BLUSSEAU

Dans les foins fraichement fauchés, une flamme rousse se déplace furtivement, c'est un renard en quête de nourriture renard

© Aurélie BLUSSEAU

Par une chaude journée printanière, ce chevreuil profite de la fraîcheur et de la quiétude du sous-bois chevreuil, brocard

© Aurélie BLUSSEAU

© Pierre-Georges Despierre

© Pierre-Georges Despierre

La Scolopendre (Asplenium scolopendrium) est une fougère qui apprécie la fraîcheur et la pénombre qui règnent à l'entrée des cavités (France). asplenium fougère ptéridophyte scolopendre souterrain

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Avec la nuit, la quiétude et la fraîcheur s’invitent dans le vaste patio, et les lumières viennent souligner les reliefs de l’écrin rocheux ; Lagomar, village de Nazaret (Lanzarote, Canaries). Canaries Lagomar Lanzarote Nazaret architecture rupestre artiste maison troglodytique troglodyte volcanique

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Lové au cœur de l’une des cinq « bulles », ce salon offre fraicheur et tranquillité. Dans ces pièces troglodytiques d’un genre particulier, seule la lucarne perçant le somment de la voûte maintient le contact avec la lumière et la surface ; Fundación César Manrique, Tahíche (Lanzarote, Canaries). Art Canaries César Manrique Lanzarote architecture rupestre artiste basalte cavité bulle grotte lave maison creusée maison troglodytique pneumatogénétique troglodyte tunnel volcanique

© Jerôme et Laurent TRIOLET

<br><br>Autres noms français : Salamandre terrestre, Salamandre commune ou Salamandre de feu. <br>Nom anglais : Fire Salamander <br><br>Contrairement à ce que raconte la légende, la Salamandre ne traverse pas le feu. D'ailleurs, sa peau est si fragile qu'elle recherche plutôt la fraicheur des sous bois humides et commence à sortir le plus souvent en soirée. A cet effet, ses grands yeux noirs sont adaptés à une vision nocturne et crépusculaire. Son long corps également noir, possède des taches jaunes disposées en lignes, et propres à chaque individu. Ces taches constituent sa carte d'identité. <br>En Europe, ce joli et fascinant urodèle (amphibien avec une queue à l'état adulte) est en régression constante depuis au moins un siècle. Les principales causes sont : le recul des zones humides intra et périforestière par comblement ou drainage, la contamination de son environnement par les pesticides (elle est notamment sensible aux insecticides qui peuvent la tuer ainsi que ses larves, une faible dose étant suffitante), et la fragmentation écopaysagère en général et celle des forêts par les routes en particulier. <br><br>La Salamandre tachetée est protégée en France. Elle est classée comme "vulnérable" dans le Livre rouge des amphibiens de France. Cette espèce est protégée de portée : <br><br><li><b>Internationale</b> : <a target="_blank" href="http://conventions.coe.int/Treaty/fr/Treaties/Html/104.htm"><u>Convention de Berne : Annexe III</u></a target="_blank" href="http://conventions.coe.int/Treaty/fr/Treaties/Html/104.htm"> <li><b>Nationale</b> : <a target="_blank" href="http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000017876248"><u>Amphibiens et Reptiles protégés : Article 3</u></a target="_blank" href="http://legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000017876248"> <br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne) <br><br> Salamandre tachetée Salamandra salamandra nocturne Allier Auvergne urodèle amphibien protégée vulnérable pluie

© Monique Morin

<br><br>Autres noms français : Safran des prés; Safran batard (son apparence est proche de celle du safran); Ail des prés; Tue-chien ou encore Tue-loup; <br><br>Cette merveilleuse et très délicate fleur rose, qui hélas est toxique (elle contient de la colchicine, alcaloïde tricyclique), se raréfie toujours plus. Il existait encore il y a 2 ans à quelques kilomètres de chez moi une magnifique station de plusieurs centaines de pieds. Celle-ci a été détruite par un herbicide, volontairement sacrifiée sur l'autel du sacro-saint élevage. Pourtant, il faut savoir que pour provoquer des troubles, les animaux doivent ingérer au moins une quantité de 5 kg de feuilles fraîches, ce qui est énorme. De plus, la toxicité de cette plante disparait après la fauche et ne présenterait donc pas de danger dans les fourrages récoltés. <br><br>La Colchique d'automne se trouve sur la Liste rouge mondiale de l'UICN (2014) LC, et sur la Liste rouge européenne de l'UICN (2014) LC. <br><br> Cette fleur est protégée de portée : <br><br>Régionale : <br>- Liste des espèces végétales protégées en région Nord-Pas-de-Calais : Article 1 Liste des espèces végétales protégées en région Aquitaine : Article 1 <br><br>Départementale : <br>- Liste des espèces végétales protégées en région Limousin : Article 4 <br><br> Colchique d'automne Colchicum autumnale Safran des prés, Fleur rose toxique protégée Liste rouge UICN

© Monique Morin

<br><br>Le Sanglier ravage-t-il les cultures ? <br>En détruisant les forêts de feuillus et les haies, l'espèce humaine non seulement supprime l'habitat du Sanglier, mais aussi sa nourriture. Par ailleurs, les pratiques de nourrissage intensif ont habitué le Sanglier à manger du maïs, d'autres céréales et des betteraves. A l'époque où le maïs arrive à maturation, le Sanglier trouve dans les champs de grandes dimensions une alimentation abondante, de la fraîcheur en été et en automne, et suffisamment d'eau pour boire et de boue pour se souiller (irrigation). Rien de surprenant, par conséquent, de retrouver une harde de Sangliers au milieu d'un champ de maïs. <br><br>Depuis 2008, le Sanglier est inscrit sur la Liste rouge mondiale de l'UICN. <br>Depuis 2009, il est également inscrit sur la Liste rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine. <br><br>Sanglier qui fouille le sol <br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne) Sanglier Sus scrofa Wild Boar mammifères humain nourrissage maïs harde souiller Liste rouge France Allier Auvergne

© Monique Morin

<br><br>Autres noms français : Safran des prés; Safran batard (son apparence est proche de celle du safran); Ail des prés; Tue-chien ou encore Tue-loup; <br><br>Au cœur de la Colchique d'automne. Cette merveilleuse et très délicate fleur rose, qui hélas est toxique (elle contient de la colchicine, alcaloïde tricyclique), se raréfie toujours plus. Il existait encore il y a 2 ans à quelques kilomètres de chez moi une magnifique station de plusieurs centaines de pieds. Celle-ci a été détruite par un herbicide, volontairement sacrifiée sur l'autel du sacro-saint élevage. Pourtant, il faut savoir que pour provoquer des troubles, les animaux doivent ingérer au moins une quantité de 5 kg de feuilles fraîches, ce qui est énorme. De plus, la toxicité de cette plante disparait après la fauche et ne présenterait donc pas de danger dans les fourrages récoltés. <br><br>La Colchique d'automne se trouve sur la Liste rouge mondiale de l'UICN (2014) LC, et sur la Liste rouge européenne de l'UICN (2014) LC. <br><br> Cette fleur est protégée de portée : <br><br>Régionale : <br>- Liste des espèces végétales protégées en région Nord-Pas-de-Calais : Article 1 <br>- Liste des espèces végétales protégées en région Aquitaine : Article 1 <br><br>Départementale : <br>- Liste des espèces végétales protégées en région Limousin : Article 4 <br><br> Colchique d'automne Colchicum autumnale Safran des prés, Fleur rose toxique Coeur protégée Liste rouge UICN

© Monique Morin

 

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