Phototem

Portail de photographie multi-galeries, multi-photographes

Phototem : qu'est-ce que c'est ?

Votre galerie sur Phototem

Contactez-nous @

 

Résultat de recherche
 

Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : del

Résultat de la recherche : 4 page(s) 383 photo(s)

 

 

 

La littérature précise que cet oiseau se rencontre du Sahel à l'Ethiopie et de la ,jusqu'au delta de l'Okavango et à la partie nord du parc Kruger.L'observation que j'en ai fait se situe donc à l'extéme limite sud de son aire de répartition puisque ce cliché fut réalisé dans le camp de Satara.Ce camp est vraiment magique! photo tourterellepleureuse

© Daniel Trinquecostes

<center> L'Inde : pays ô combien attirant ! A peine rentré de ce pays extraordinaire, je cherche déjà une date pour y retourner.<br> "L'Inde n'est pas un pays que l'on peut simplement visiter.<br> C'est une contrée qui exige un engagement total <br> et que l'on n'oublie jamais." (LONELY PLANET).<br> Quelques images toutes simples, glanées au cours de<br> mes nombreux séjours ; des rencontres au hasard des villages<br> traversés ; toutes au Rajasthan, depuis Delhi jusqu'au désert <br> de Thar. Viendront plus tard, des images faites dans le Madhya<br> Pradesh et l'Uttar Pradesh. Et toujours le sourire, la beauté<br> des regards et les merveilleuses couleurs des saris des femmes. fleurs,couleur,plante

© Maurice Chatelain

<center> Emblème de l'île de Salina, la câpre en est le produit phare.<br> Elle accompagne avec délice tous les plats de la cuisine<br> éolienne, des hors-d'oeuvre à la viande en passant par<br> les succulents plats de pâtes ! La câpre en étant le bouton,<br> chaque fleur est une câpre non cueillie. Le fruit, ressemblant<br> à un cornichon, a un goût moins prononcé et surtout, moins raffiné. câpre, ile de salina,eoliennes

© Maurice Chatelain

<center> Depuis la Fossa dell Felci, je constate les différences<br> entre ces deux monts. La culture de la vigne sur le <br> Porri et la luxuriante végétation dell Felci. salina, mont porri

© Maurice Chatelain

<center>Gris, vert et ocre : délicat contraste ! automne alpes arbresgrand paradis

© Maurice Chatelain

<center>Le portage n'est pas toujours aisé mais les longues focales et le lourd trépied sont des plus utiles pour surprendre les animaux en évitant de trop les approcher au risque de les effrayer. photographe alpes grand paradis

© Maurice Chatelain

<center> Je ne suis pas habitué à les observer ainsi posées, tels des fruits. hirondelles tanzanie

© Maurice Chatelain

<center> La mère vient d'apparaître à la surface de la banquise ;<br> son blanchon est là, il l'attend. Ils se touchent le museau,<br> s'identifiant l'un l'autre, puis elle se hisse sur la glace. mère et jeune son bébé phoque du groënland canada îles de la madeleine

© Maurice Chatelain

<center>Il pousse de petits cris pour appeler sa mère. bébé phoque banquise canada île de la madeleine

© Maurice Chatelain

<center> Grâce à ses griffes, cette femelle se hisse hors de l'eau. femelle phoque du groënland canada îles de la madeleine

© Maurice Chatelain

<center>Noble, délicate et charmante : elle semble parfaite.<br> Fleur sacrée, s'il en est ! rose la fleur,

© Maurice Chatelain

<center>Les restes de la poule : tête et cou.<br> D'abord jouer à les lancer en l'air, les reprendre et recommencer ; puis, les croquer avec délice ! renardeau, proie cou de poule et tête.

© Maurice Chatelain

<center>C'est le temps de l'abondance !<br> Les chamois se délectent des pousses nouvelles! chamois, nourriture, pousses épicéa, alpes, grand paradis,

© Maurice Chatelain

<center>J'observe discrètement ce chamois qui descend vers les parties herbeuses situées en contrebas. Attention de ne pas troubler ces moments délicats où l'animal évalue la difficulté, se concentre, à la recherche de son équilibre sur cette partie rocheuse instable! chamois pente rocheuse massif du grand paradis

© Maurice Chatelain

<center>Ce matin, tandis que je déjeunais, un oiseau a violemment heurté<br> le carreau de la fenêtre, juste en face de moi ; c'est un rouge-queue,<br> mort sur le coup. L'idée, bien sûr, s'impose à moi : offrir ce repas providentiel. Arrivé à mon affût, je le place donc sur un rocher,<br> à l'écart du terrier pour ne pas déranger sa quiétude. Elle le découvre, le prend délicatement et va le porter à ses jeunes. renarde et un oiseau dans la gueule

© Maurice Chatelain

<center>Maître Ecureuil se délecte, entre autres, de cones de mélèze... écureuil nourriture.

© Maurice Chatelain

<center> Que de tendresse dans le regard de ce délicieux prédateur!<br> Comment ne pas être sensible à tant de beauté?<br> Comment peut-on vouloir l'éliminer?... Portrait profil renard assis

© Maurice Chatelain

<center>Le décor hivernal jette son manteau blanc ;<br> l'automne disparaît... en toute délicatesse !<center> massifs enneigés,alpes.

© Maurice Chatelain

<center> Lappée en été dans le torrent, elle est croquée en hiver...<br> Décidément, l'eau offre bien des délices ! Renard croc la neige

© Maurice Chatelain

Le poser délicatement au sol, pour lui permettre de reprendre son équilibre. Faire travailler sa musculature. Soins à un faon de chevreuil. Le poser au sol pour son équilibre.

© Maurice Chatelain

<center> La soldanelle des Alpes est de la famille des primevères, Soldanelle des Alpes. Famille des primevères (primulacées) Vallée d'Aoste. Grand Paradis.

© Maurice Chatelain

Garde du Parc et son chien Grand Paradis aoste

© Maurice Chatelain

<center>...avant d'avaler ce modeste butin.

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

<center>Les derniers rayons du soleil répandaient une clarté joyeuse, sur cet immense chandelier( gide)

© Maurice Chatelain

<center> Ce matin 12 avril 2014, ce sont les chants des hirondelles qui m'annonçaient qu'elles étaient de retour.<br> Dans l'après midi comme tous les jours je suis allé faire ma ballade pour me mettre en jambe avec mon vélo.<br> J'ai remarqué cette pauvre hirondelle sur le sol et c'est avec une grande tristesse que je me suis arrêté pour la récupérer.<br> Vous dire combien je suis écoeuré surtout qu'à cette endroit la vitesse est 50 kms. Mais personne ne respecte la vitesse. Venir de si loin pour mourir le 1er jour de son retour chez nous. Hirondelle rustique morte sur la route france

© Maurice Chatelain

<center> Il saute du lit de bon matin, et ne part que si son esprit est net, <br> son coeur pur, son corps léger comme un vêtement d'été. <br> Il n'emporte point de provisions. Il boira l'air frais en route <br> et reniflera les odeurs salubres.<br> Il laisse ses armes à la maison et se contente d'ouvrir les yeux.<br> Les yeux servent de filets ou les images s'emprisonneront<br> d'elles-mêmes. La première qu'il fait captive est celle du chemin<br> qui montre ses os, cailloux polis, et ses ornières, veines crevées,<br> entre deux haies riches de prunelles et de mûres. <br> Il prend ensuite l'image de la rivière. Elle blanchit aux coudes<br> et dort sous la caresse de saules. Elle miroite quand un poisson<br> tourne le ventre, comme si on jetait une pièce d'argent, et, <br> dès que tombe une pluie fine, la rivière a la chair de poule.<br> Il lève l'image des blés mobiles, des luzernes appétissantes<br> et des prairies ourlées de ruisseaux. Il saisit au passage le vol<br> d'une alouette ou d'un chardonneret. Puis il entre au bois. <br> Il ne se savait pas doué de sens si délicats. Vite imprégné<br> de parfums, il ne perd aucune sourde rumeur, et, pour qu'il<br> communique avec les arbres, ses nerfs se lient aux nervures<br> des feuilles. Bientôt, vibrant jusqu'au malaise, il reçoit trop, <br> il fermente, il a peur, quitte le bois et suit de loin les paysans<br> mouleurs regagnant le village. Dehors, il fixe un moment, <br> au point que son oeil éclate, le soleil qui se couche et dévêt<br> sur l'horizon ses lumineux habits, ses nuages répandus pêle-mêle.<br> Enfin, rentré chez lui, la tête pleine, il éteint la lampe et longuement,<br> avant de s'endormir, il se plaît à compter ses images. Dociles, <br> elles renaissent au gré du souvenir. Chacune d'elles en éveille<br> une autre, et sans cesse leur troupe phosphorescente s'accroit<br> de nouvelles venues,comme des perdrix poursuivies et divisées <br> tout le jour chantent le soir, à l'abri du danger, et se rappellent<br> aux crues des sillons. ( Jules Renard 1896) Jules Renard écrivain français. Histoires Naturelles lithographie de Henri de Toulouse Lautrec. 1896. PRESSES UNIVERSITAIRES DE FRANCE. COLLECTION SOURCES.

© Maurice Chatelain

<center> C'est le danger et l'effroi. <br> Chassé en enclos par des dogues argentins, <br> des molosses à la mâchoire puissante. <br> Blessé, le chien agonise dans d'horribles souffrances<br> Piégé, le sanglier n'a aucune issue et se fait dévorer. <br> (Inspiré de l'article de l'ASPAS "Ils chassent des sangliers <br> en enclos avec des chiens de combat : <br> l’administration n’y trouve rien à redire !").<br> Dans les deux cas, la barbarie est à son comble, et ce <br> pour le plus grand plaisir de ceux qui organisent <br> et qui regardent, se délectant de leur abjecte cruauté. ASSOCIATION POUR LA PROTECTION DES ESPECES SAUVAGES. ASPAS. Sanglier. Dogue argentin.

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

<center>La Vallée d’Aoste…Territoire autonome et francophone ô combien riche d’histoire, de culture, de nature sauvage qu’un livre seul ne pouvait suffire à tout décrire. <br>Telle fut la gageure relevée afin d’offrir une approche des différentes facettes de cet univers montagnard par excellence.<br>7 zones ont été délimitées. Chacune comporte une description générale, allant de l’histoire aux traditions populaires en passant par la découverte de paysages grandioses. <br>Toutes se composent de sentiers de randonnées –33 au total—dont les niveaux variés de difficultés permettront à chacun de choisir les plus adaptés. Ils peuvent être abordés à la belle saison mais quelques-uns révèleront leur attrait s’ils sont effectués en hiver. Photos et cartographie illustrent cet ouvrage pour mieux inviter à la magie du voyage pédestre, voguant de villages singuliers en <br>"Via francigena", de châteaux séculaires en sentiers royaux, de folklore typiques en gastronomie traditionnelle, de flore luxuriante en faune préservée, de glaciers éternels en torrents impétueux.<br> Autant de charmes valdôtains qui concourent à l’émerveillement, à la flânerie, à l’observation, au bonheur. <br>En somme, à vivre l’instant présent en cette terre au grand cœur. Paradis sauvages en Vallée d'Aoste. maurice chatelain ouvrage. Editions Rossolis Suisse

© Maurice Chatelain

<center> Le plus connu des groseilliers à fleurs, c'est le rose :<br> R. sanguineum dont les grappes de clochettes, de<br> février à avril, embaument délicieusement le cassis. cassis-fleur, arbuste, groseilliers à fleurs. printemps

© Maurice Chatelain

<center> L'image est tout aussi saisissante... <br> Monsieur le conducteur immatriculé 74 qui, en cette matinée<br> du 31 juillet 2006 avez, délibérément et sans état d'âme,<br> éclaté (le mot est si juste) cette tortue, comme je voudrais<br> que vous veniez sur mon site afin de contempler le résultat<br> de votre indifférence ou pis, de votre mépris d'une vie animale !<br> J'ai, bien sûr, voulu vous trouver des circonstances atténuantes,<br> telle votre volonté de mettre une distance entre votre voiture et<br> le piéton que j'étais mais étant suffisamment en retrait de la route<br> pour vous éviter tout écart... NON ! Décidément, il n'y a aucune<br> excuse à votre abject, honteux et criminel comportement. <br> Bien que le geste soit dérisoire, je n'ai pu me résoudre<br> à laisser la dépouille : le fossé l'a recueillie. cistude..morte sur la route tortue

© Maurice Chatelain

<center> Toutes les planches sont ainsi mises<br> aux dimensions pour être assemblées.

© Maurice Chatelain

<center>Ici, les spécialistes apprécient la force du torrent...<br> Là, je guette le cincle plongeur ! torrent . Alpes.

© Maurice Chatelain

Avec grâce et délicatesse les femmes himbas se laissent photographier. Leur visage est emplit de douceur. Au plus profond de leurs regards, l'on peut voir beaucoup de sérénité. Femme Himba, regard souriant. Kaokoland, Namibie

© Maurice Chatelain

<center>Il ne reste que quelques dizaines de mètres pour accéder au sommet qui se trouve derrière la statue de la vierge. <br<Le passage est délicat et le nombre de personnes obligent de faire très attention.

© Maurice Chatelain

<center>Ce passage au moyen d'une chaîne

© Maurice Chatelain

Loïc VAISSIERE plantes endemiques thouarsii verts epines ciels orages iles archipels galapagos equateur amerique sud oceans pacifique

© A&L Vaissiere & JJ Poirault

Loïc VAISSIERE faune forets arbres feuilles feuillages surveillances poses branches profils adultes seul solitaires oiseaux terrestres passereaux hirundinides keoladeo park bharatpur rajasthan inde asie

© A&L Vaissiere & JJ Poirault

Helichrysum roseo niveum, south west Edelweiss, famille Asteraceae, Twyfelfontein, Damaraland, Namibie

© Yves Vallier

<b>Delphinus delphis.</b> Mammifère marin, compagnon des navigateurs qui fréquente les eaux des îles Galapagos. Dauphin commun, Delpinus delphis, îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Hirundo rustica.</b> France. Espèce commune en Europe. Nourriture essentiellement constituée d'insectes capturés en vol : mouches, taons... Retour dans nos régions en avril, ponte fin du mois, 5 oeufs. Les hirondelles commencent leur migration fin août vers l'Afrique tropicale. Elles peuvent couvrir entre 2 et 3000 km par jour et accomplissent des voyages de plus de 10.000 km. L'hirondelle peut vivre une douzaine d'années. Hirondelle de cheminée. Hirundo rustica.

© Yves Vallier

Baignée par l'Océan Glacial Arctique, elle délie ses 2650 km de côtes échancrées, dans lesquelles s'enfoncent profondément des fjords taillés à l'époque glaciaire. Fjord de Norvège.

© Yves Vallier

<b>Delta de l'Okavango.</b> Delta de l'Okavango. Botswana.

© Yves Vallier

<B>Delta de l'Okavango.</b> Botswana. Delta de l'okavango. Botswana.

© Yves Vallier

Tripterygion delaisi. Parc National des Calanques. Tripterygion à bec jaune. Tripterygion delaisi. PACA.

© Yves Vallier

Pointe des Châteaux. Grande Terre. Guadeloupe. Pointe des Châteaux. Grande Terre. Guadeloupe. Antilles Françaises.

© Yves Vallier

Priacanthus hamrur. Gros yeux commun. Priacanthus hamrur. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Lycopode. Plante cryptogame qui se reproduit sur les flancs de la Soufrière. Lycopode. Plante cryptogame. Flanc de la Soufrière. Basse Terre. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Bothus lunatus Carrelet paon. Bothus lunatus. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Grande Terre. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Scorpaena plumieri Poisson pierre. Scorpaena plumieri. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

La Soufrière. Guadeloupe. Grande Terre. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Lutjanus apodus Sarde jaune. Lutjanus apodus. mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Aulostomus maculatus Poisson trompette des Caraïbes. Aulostomus maculatus. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Basse Terre. Mangrove établie en mer, à quelques centaines de mètres de la côte. Mangrove en mer. Grand Cul de Sac marin. Basse Terre. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Grande Terre. Grande falaise. Grande Terre. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Sabellastarte magnifica Sabelle magnifique. Sabellastarte magnifica. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Acropora palmata. Corail corne d'élan. Acropora palmata. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Grande Terre. Site envahi par les algues brunes. Grande Terre. Lagon de la Porte d'enfer. Site envahi par les algues brunes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Panulirus argus Langouste des Caraïbes. Panulirus argus. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Basse Terre. Formation de bosquets de mangrove à plusieurs centaines de mètres du rivage. Basse Terre. Grand Cul de Sac Marin. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Sparisoma viride Perroquet feu tricolore. Sparisoma viride. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Cephalopholis fulva Coné ouatalibi. Cephalopholis fulva. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Basse Terre. Flanc de la Soufrière. Basse Terre. Guadeloupe.

© Yves Vallier

Synaceira verrucosa Poisson pierre. Synaceira verrucosa. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Grande Terre. Grande Terre. Pointe des Châteaux. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Orthoryncus cristatus. Colibri huppé. Orthorynchus cristatus. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Diodon holocanthus. Porc épic ballon. Diodon holocanthus. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Grande Terre. Grande falaise. Grande Terre. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Haemulon sciurus Gorette bleue. Haemulon sciurus. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Anolis marmoratus setosus. Lézard anoli. Anolis marmoratus setosus. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Orchidée de Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Eponge tubulaire jaune. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Réserve Cousteau.

© Yves Vallier

Quiscalus lugubris Quiscale merle. Quiscalus lugubris. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Cephalopholis argus. Mérou céleste. Cephalopholis argus. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises

© Yves Vallier

Synaceia verrucosa Poisson pierre. Synacera verrucosa. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Sabellastarte magnifica. Sabelle magnifique. Sabellastarte magnifica. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Loxigilla noctis Sporophile rougegorge. Loxigilla noctis. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Synodus intermedius. Poisson lézard. Synodus intermedius. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Cephalopholis argus Mérou céleste. Cephalopholis argus. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Isostichopus badionotus Holothurie à points. Isostichopus badionotus. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Anolis marmoratus setosus Anoli. Anolis marmoratus setosus. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Sphyraena barracuda dans les eaux troubles de la mangrove. Grand barracuda immature. Sphyraena barracuda. Mer des Caraïbes. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Svalbard. Glacier de la Madeline Svalbard. Glacier de la Madeleine. Spitzberg.

© Yves Vallier

Svalbard. Glacier de la Madeleine. Svalbard. Glacier de la Madeleine. Spitzberg

© Yves Vallier

Svalbard. Svalbard. Glacier de la Madeleine.

© Yves Vallier

Svalbard. Glacier de la Madeleine. Svalbard. Glacier de la Madeleine.

© Yves Vallier

Tripterigyon delaisi. Tripterygion à bec jaune. Tripterigyon delaisi. Parc National des Calanques.

© Yves Vallier

Si beaucoup sont des assassins et de sinistres individus, certains ne seront emprisonnés que pour des causes beaucoup plus « légères » : vagabondage, manque de respect à un juge, détérioration d’effets militaires et parfois par délation à caractère raciste. Ainsi, le Capitaine Alfred Dreyfus est déporté sur l’île du Diable en 1896. Il sera gracié en 1899, puis enfin, réhabilité en 1906. Ile Royale. Guyane française.

© Yves Vallier

Guadeloupe. Arbre. Banian. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Arbre du voyageur. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Fleur de bananier. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Iguana iguana. Espèce introduite en 1960. Aujourd'hui largement répandue au dépend de l'Iguane des petites Antilles qui accuse une baisse alarmante dans ses effectifs. Iguane commun. Iguana iguana. Guadeloupe. Antilles françaises.

© Yves Vallier

Si la durée de la peine infligée était inférieure à 8 ans : à la fin du temps passé dans le bagne, le reclus devait rester en Guyane le même nombre d’années. Dépourvu d’argent, réduit à l’état de mendiant, il ne pouvait pas réunir la somme nécessaire pour un transport, qui restait à sa charge, vers la France ou d’autres pays voisins en Amérique du sud. Bien souvent il récidivait afin de retourner au bagne pour vivre. Au delà de huit années, la résidence obligatoire en Guyane à la fin du temps devenait alors perpétuelle. Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

 

Page N° 1         1 2 3 4

 

Phototem - Toute reproduction interdite

Réalisation et hébergement :