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Ces falaises battues par les vents d'ouest offrent des paysages extraordinaires.C'est dans des lieux de ce type que l'on ressent la petitesse de l'être confronté aux éléments. paysage shetland

© Daniel Trinquecostes

<center> Cette scène se passe sur une pente<br> herbeuse d'où la neige a disparu. accouplement,chamois,rut alpes

© Maurice Chatelain

<center> Très beau fragment de cette roche volcanique qui, avant <br> l'âge de bronze, était utilisée pour la fabrication d'outils. obsidienne, roche volcanique,volcan de lipari,eoliennes

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

<center> L'affût est une tour dans laquelle nous pouvons observer et photographier les nids occupés par les faucons Kobez, les Rolliers.<br> Ainsi que le Choucas des tours. Sur une face de la tour 3 nids de l'autre côté 3 autres nids. 3 sièges nous offrent un certain confort à l'intérieur de cet affut, largement vitrée.<br>Le regard se porte au loin et nous fait découvrir ce magnifique environnement d'ou partent les oiseaux pour se ravitailler. Milieu ouvert ou la nourriture est abondante.

© Maurice Chatelain

<center> Il saute du lit de bon matin, et ne part que si son esprit est net, <br> son coeur pur, son corps léger comme un vêtement d'été. <br> Il n'emporte point de provisions. Il boira l'air frais en route <br> et reniflera les odeurs salubres.<br> Il laisse ses armes à la maison et se contente d'ouvrir les yeux.<br> Les yeux servent de filets ou les images s'emprisonneront<br> d'elles-mêmes. La première qu'il fait captive est celle du chemin<br> qui montre ses os, cailloux polis, et ses ornières, veines crevées,<br> entre deux haies riches de prunelles et de mûres. <br> Il prend ensuite l'image de la rivière. Elle blanchit aux coudes<br> et dort sous la caresse de saules. Elle miroite quand un poisson<br> tourne le ventre, comme si on jetait une pièce d'argent, et, <br> dès que tombe une pluie fine, la rivière a la chair de poule.<br> Il lève l'image des blés mobiles, des luzernes appétissantes<br> et des prairies ourlées de ruisseaux. Il saisit au passage le vol<br> d'une alouette ou d'un chardonneret. Puis il entre au bois. <br> Il ne se savait pas doué de sens si délicats. Vite imprégné<br> de parfums, il ne perd aucune sourde rumeur, et, pour qu'il<br> communique avec les arbres, ses nerfs se lient aux nervures<br> des feuilles. Bientôt, vibrant jusqu'au malaise, il reçoit trop, <br> il fermente, il a peur, quitte le bois et suit de loin les paysans<br> mouleurs regagnant le village. Dehors, il fixe un moment, <br> au point que son oeil éclate, le soleil qui se couche et dévêt<br> sur l'horizon ses lumineux habits, ses nuages répandus pêle-mêle.<br> Enfin, rentré chez lui, la tête pleine, il éteint la lampe et longuement,<br> avant de s'endormir, il se plaît à compter ses images. Dociles, <br> elles renaissent au gré du souvenir. Chacune d'elles en éveille<br> une autre, et sans cesse leur troupe phosphorescente s'accroit<br> de nouvelles venues,comme des perdrix poursuivies et divisées <br> tout le jour chantent le soir, à l'abri du danger, et se rappellent<br> aux crues des sillons. ( Jules Renard 1896) Jules Renard écrivain français. Histoires Naturelles lithographie de Henri de Toulouse Lautrec. 1896. PRESSES UNIVERSITAIRES DE FRANCE. COLLECTION SOURCES.

© Maurice Chatelain

<b>Ursus arctos.</b> Au mois de juillet, les saumons remontent les torrents, jusqu'aux sources de leur vie, pour frayer. Les ours les attendent pour les cueillir, depuis des générations d'ours, toujours aux mêmes places, pour se gaver de leur chair rouge et nourrissante. Ours brun et saumon, Alaska.

© Yves Vallier

<b>Buteo buteo.</b> Victime également des pièges à poteau. Son plumage varie, comme son nom l'indique, du brun foncé au brun trés clair allant jusqu'au blanc sur la poitrine. Elle se tient souvent perchée sur les piquets de clôtures le long des autoroutes, postes d'observation d'où elle scrute le sol à la recherche des campagnols, taupes et autres petits rongeurs. Buse variable. Buteo buteo. Rapace diurne.

© Yves Vallier

<b>Phalcoboenus australis.</b> Rapace rare, dont la répartition se cantonne uniquement sur quelques îlots au large du sud du Chili, du Cap Horn et aux îles Falkland. Curieux envers l'homme, il demeure un redoutable prédateur d'ouettes de Magellan, de goélands, de jeunes albatros et manchots qu'il arrache du nid lors de glissades aériennes furtives. Caracara austral. Phalcoboenus australis. rapace diurne rare habitant l'Amérique du sud et les Iles Falkland.

© Yves Vallier

Panorama exceptionnel de la côte sud de l'île Devon. Frédéric Vernay a baptisé le cap ensoleillé " cap Mastard" en raison de sa prestance vue du large. Un petit cairn a été élevé à son sommet à l'endroit où des traces d'ours polaires ont été relevées ( 350 mètres de hauteur )

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

© Pierre Vernay

(Anhinga anhinga) Appelé "oiseau du diable" ou "oiseau serpent", l'Anhinga d'Amérique ressemble à un Cormoran. C'est un oiseau aquatique, qui nage avec souvent le cou au dessus de l'eau, d'où son surnom d'oiseau serpent. Il recherche ses proies (poissons et amphibiens) sous l'eau. Comme le Cormoran, il passe de longs moments sur des branches d'arbres, ailes déployées, à se sécher... anhinga,amerique,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

L'Hippopotame passe la journée dans l'eau à digérer et à se livrer aux rites de la vie sociale. Capable d'ouvrir sa gueule à 150 degrés, il est pourvu de canines impressionnantes, véritables dagues pouvant mesurer près de 60 cm et occasionner de graves blessures, lors des combats entre mâles pour la défense du territoire. L'Hippopotame est aussi dangereux pour l'homme et responsable chaque année de nombreux accidents et décès... hippopotame,okavango,botswana.

© Jean-Claude FOURNIER

(Coracias benghalensis) Le Rollier indien se poste sur des branches d'arbres, sur les fils téléphoniques ou poteaux de clôture, d'où il plonge vers le sol pour capturer ses proies. Il se nourrit d'insectes. Il a aussi la capacité de plonger comme un Martin-pêcheur ou de happer les poissons à la surface de l'eau... rollier,indien,inde.

© Jean-Claude FOURNIER

(Basiliscus basiliscus) Ce lézard, d'une longueur de 40 à 60 cm, vit en forêt tropicale humide. Il se nourrit de fruits et d'insectes et aussi d'œufs d'iguane. Le mâle présente une petite crête sur la tête. Excellent nageur, il est capable de marcher sur l'eau (à une vitesse de 12 km/heure) d'où son surnom de Lézard Jésus-Christ ! basilic,commun,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

Au large du port de pêche de Paracas, sur la côte pacifique, à 270 km au sud de Lima, les îles Ballestas abritent une réserve naturelle, d'où l'on peut observer et admirer un grand nombre d'animaux marins. Parcourues par le courant froid Humboldt, les eaux sont riches en poissons et attirent des milliers d'oiseaux, dont les déjections favorisent depuis le XIXème siècle, l'exploitation du guano, comme fertilisant pour l'agriculture... iles,ballestas,paracas,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

Cette grande antilope porte le nom de Damalisque, mais est plus connue sous le patronyme de Topi (top = sommet) qui lui a été donné par les anglais. En effet, cet animal grégaire qui vit dans les grandes plaines herbeuses, vertes et fertiles, se tient souvent posté au sommet des termitières, d'où il monte la garde... topi,dasmalique,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

(Haliaeetus vocifer) On rencontre le Pygargue vocifère aux abords des lacs, des fleuves, des marais et des côtes. Il fréquente les grands arbres d'où il peut observer son territoire de chasse. Il se nourrit essentiellement de poissons (tilapies et poissons-chats) mais ne dédaigne pas les rongeurs et les oiseaux, tels les foulques, les canards, les ibis... Il peut poursuivre d'autres rapaces et tenter, souvent avec succès, de se saisir de leur butin... pygargue,vocifere,baringo,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

Il existe plus de 1000 espèces de fourmis au Costa Rica. Elles habitent généralement les zones ombragées et un peu humides. Certaines construisent leur nid sur des végétaux ou à l'intérieur de troncs de plantes vivantes. Les plus connues sont les fourmis "coupeuses de feuilles". On les rencontre en forêt transportant sur leur dos leur butin d'où leur surnom de "fourmis parasols". La matière végétale récoltée constitue le support organique nécessaire à la croissance d'un champignon dont elles se nourrissent. Les fourmis "atta" utilisent certains variétés d'arbres, de plantes et de fleurs pour cultiver ce champignon. La fourmi "bala" elle se rencontre au pied des arbres. Sa piqure est très douloureuse, semblable à celle provoquée par une balle de fusil... fourmis,costa,rica.

© Jean-Claude FOURNIER

Benoit Feron, photographe maroc magreb haut-atlas anergui afrique randonnée pédestre benoit feron©

© Benoit FERON

Benoit Feron, photographe maroc magreb haut-atlas anergui afrique randonnée pédestre benoit feron©

© Benoit FERON

Cet ours brun singulier porte une large bande de poils plus clairs au niveau du cou ours brun

© Aurélie BLUSSEAU

Le jeune lièvre vient finalement se faire tirer le portrait, avant de repartir d'où il était venu....

© Aurélie BLUSSEAU

Outarde de kori, parade,Tanzanie

© Thierry DUVAL

Outarde kori, portrait

© Thierry DUVAL

© Pierre-Georges Despierre

© Pierre-Georges Despierre

© Pierre-Georges Despierre

<br><br> Nom anglais : European tree frog <br>La Rainette verte est présente dans plusieurs pays d'Europe, en Afrique du nord, en Australie, au Japon et dans les archipels de Madère et des Canaries. En France, on ne la trouve que dans la moitié nord du pays et le long de la côte Atlantique. La Rainette est le seul amphibien à avoir un mode de vie arboricole d'où son nom latin Hyla arborea (genre Hylidé). Bien que scientifiquement elle ne soit pas une grenouille (genre ranidé), elle est communément classée parmi celles-ci. On rencontre la Rainette verte en dessous de 1000m d'altitude dans les milieux boisés et marécageux, près des milieux humides type mares, étangs, prairies inondées, ... où la végétation abonde, parsemés de buissons (Saules, Ronciers...) ou de zones de hautes herbes. Elle recherche des sites ensoleillés et affectionne les prairies ouvertes. <br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne) <br><br> Rainette verte Hyla arborea European tree frog Allier Auvergne amphibien arboricole vase petite grenouille milieux humides

© Monique Morin

<br><br>Autre nom français : Sérapias à languette <br><br>De la famille des orchidées, le beau Sérapias langue est classé "Espèce quasi menacée" (NT) de France métropolitaine. Il est rare en Auvergne et, dans le département de l'Allier, on ne le trouve plus qu'à l'état de relique. Comme toutes les orchidées, il est absolument interdit de le cueillir. <br><br>Cette fleur se trouve sur la Liste rouge européenne de l'UICN (2011) et sur la Liste rouge des orchidées de France métropolitaine (2009) <br><br>Le Sérapias langue est protégé de portée : <br><br>Communautaire : <br>- Application de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (CITES) (Convention de Washington) au sein de l'Union européenne : Annexe B <br><br>Départementale : <br>- Liste des espèces végétales protégées en région Rhône-Alpes : Article 4 <br><br>Préfectorale : <br>- Liste des espèces végétales sauvages pouvant faire l'objet d'une réglementation préfectorale dans les départements d'outre-mer : Article 1 <br><br>Régionale : <br>- Liste des espèces végétales protégées en région Limousin : Article 1 <br>- Liste des espèces végétales protégées en région Centre : Article 1 <br>- Liste des espèces végétales protégées en Bretagne : Article 1 <br><br> Orchidée Sérapias Sérapias langue Sérapias à languette Serapias lingua Fleur Protégé Liste rouge UICN Rare

© Monique Morin

 

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