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Il existe au beau milieu du camp de Satara une petite ile oû s'est installée une petite colonie de tisserins.Cet oiseau tisse un nid d'herbes muni d'un couloir d'accés.Chaque colonie peut compter de simplement quelques couples jusqu'à 400 individus.

© Daniel Trinquecostes

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Il saute du lit de bon matin, et ne part que si son esprit est net, <br>
son coeur pur, son corps léger comme un vêtement d'été. <br>
Il n'emporte point de provisions. Il boira l'air frais en route <br>
et reniflera les odeurs salubres.<br>
Il laisse ses armes à la maison et se contente d'ouvrir les yeux.<br>
Les yeux servent de filets ou les images s'emprisonneront<br>
d'elles-mêmes. La première qu'il fait captive est celle du chemin<br>
qui montre ses os, cailloux polis, et ses ornières, veines crevées,<br>
entre deux haies riches de prunelles et de mûres. <br>
Il prend ensuite l'image de la rivière. Elle blanchit aux coudes<br>
et dort sous la caresse de saules. Elle miroite quand un poisson<br>
tourne le ventre, comme si on jetait une pièce d'argent, et, <br>
dès que tombe une pluie fine, la rivière a la chair de poule.<br> 
Il lève l'image des blés mobiles, des luzernes appétissantes<br>
et des prairies ourlées de ruisseaux. Il saisit au passage le vol<br>
d'une alouette ou d'un chardonneret. Puis il entre au bois. <br>
Il ne se savait pas doué de sens si délicats. Vite imprégné<br>
de parfums, il ne perd aucune sourde rumeur, et, pour qu'il<br>
communique avec les arbres, ses nerfs se lient aux nervures<br>
des feuilles. Bientôt, vibrant jusqu'au malaise, il reçoit trop, <br>
il fermente, il a peur, quitte le bois et suit de loin les paysans<br> 
mouleurs regagnant le village. Dehors, il fixe un moment, <br>
au point que son oeil éclate, le soleil qui se couche et dévêt<br>
sur l'horizon ses lumineux habits, ses nuages répandus pêle-mêle.<br> 
Enfin, rentré chez lui, la tête pleine, il éteint la lampe et longuement,<br>
avant de s'endormir, il se plaît à compter ses images. Dociles, <br>
elles renaissent au gré du souvenir. Chacune d'elles en éveille<br>
une autre, et sans cesse leur troupe phosphorescente s'accroit<br>
de nouvelles venues,comme des perdrix poursuivies et divisées <br>
tout le jour chantent le soir, à l'abri du danger, et se rappellent<br>
 aux crues des sillons. ( Jules Renard 1896) Jules Renard écrivain français. Histoires Naturelles lithographie de Henri de Toulouse Lautrec. 1896. PRESSES UNIVERSITAIRES DE FRANCE. COLLECTION SOURCES.

© Maurice Chatelain

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Faire le tour de la place par le boulevard.<br>
Mais impossible de compter.<br>
C'est incroyable toute cette population témoignant pour la LIBERTE.

© Maurice Chatelain

Pour cette exédition avec des chars à glace, des materiaux high tech ont été utilisés mais c'est sans compter avec le froid associé au vent qui gèle les micros de transmission. IL fait - 40° celcius durant les 6 seules heures de jour du mois.

© Pierre Vernay

En été, les chiens groenlandais sont inutiles aux chasseurs et doivent souvent compter sur eux mêmes pour survivre car les Inuits les nourissent moins quand le phoque vient à manquer.

© Pierre Vernay

Observation de deux Anacondas (le mâle de couleur sombre) et (la femelle de couleur jaune) entrain de s'accoupler... La femelle qui est plus grosse que le mâle attire les partenaires en émettant des phéromones. Une sorte de ballet nuptial se déroule sous l'eau. Les femelles peuvent avoir jusqu'à 12 partenaires !!! La portée peut compter jusqu'à 50 petits. Dès la naissance, les serpenteaux sont livrés à eux-mêmes. Peu survivent, dévorés par les oiseaux, les caïmans, les piranhas...Les anacondas sont des serpents aquatiques constricteurs non venimeux. Cependant, ils ont des dents et des mâchoires puissantes qu'ils utilisent pour agripper leur proie, l'entraînant sous l'eau pour la noyer. anacondas,accouplement,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

Ce lion est le chef d'un clan de 14 membres. Un groupe peut compter jusqu'à 40 individus... lion,okavango,bostwana.

© Jean-Claude FOURNIER

Les troupeaux d'impalas peuvent compter entre 50 et 100 individus. Un mâle dominant dirige le groupe. Les jeunes mâles sont chassés du troupeau familial, dès l'âge d'un an, à charge pour eux de prendre prise sur un groupe de femelles et de créer leur propre territoire... impalas,okavango,botswana.

© Jean-Claude FOURNIER

Au début du mois d'avril, une marée rose et blanche submerge les villes et les campagnes japonaises. S'ouvre l'Hanami, la période de contemplation des cerisiers en fleurs (sakura), à laquelle aucun japonais ne saurait se soustraire. Cette tradition, influencée par la dynastie chinoise Tang, correspond au Japon de la période Nara (710 - 784). D'origine aristocratique, elle est devenue à compter du XVIème siècle, une immense fête populaire. Parcs, squares et lieux historiques sont envahis par les promeneurs, des milliers de pique-niques sont organisés sous les arbres. Le Japon tout entier rend hommage à la nature. cerisiers,osaka,japon.

© Jean-Claude FOURNIER

Tout comme le Canada, la Norvège pratique la chasse au phoque. Une honte !
Pour de mauvaises raisons, les norvégiens prétendent que les prélèvements sont nécessaires pour préserver les ressources halieutiques, car le phoque est gourmand en poissons et s'affiche comme un concurrent des pêcheurs. Cet argument selon les scientifiques n'est pas recevable. L'écosystème de l'océan est si compliqué qu'on ne peut pas dire que deux moins un égale un. La bonne nouvelle : Sous la pression de Bruxelles, à compter de 2015, la Norvège ne subventionnera plus les activités liées à la chasse aux phoques !!! sechoir,phoques,spitzberg,svalbard.

© Jean-Claude FOURNIER

(Merops albicollis) On le rencontre dans les savanes boisées pendant la migration. Il niche en colonies pouvant compter plusieurs centaines de couples. Le terrier est creusé verticalement dans le sable plat. La femelle pond 6 ou 7 oeufs... guepier,gorge,blanche,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

Le Gnou est la proie des lions, des hyènes, des lycaons et des léopards... Pour échapper à ces prédateurs, il ne peut compter que sur sa pointe de vitesse qui peut atteindre dans le meilleur des cas 90 km/heure !!! gnou,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

 

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