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Ce jacana folâtrait comme à son habitude au bord d'une piéce d'eau où j'affutais les hippopotames au nord d'Olifant's River.Quelques secondes plus tard,il avait cessé de vivre,broyé entre les machoires d'un crocodile que ni lui,ni moi n'avions repéré! photo jacana africain

© Daniel Trinquecostes

Photographie réalisée dans le port de Puerto Villamil , dans le même arbre que le héron des laves.Il y a un spectacle interessant à cet endroit.C'est le ballet des fous à pied bleu plongeant sans cesse pour pécher. photo héron strié

© Daniel Trinquecostes

Les poussins étant nidifuges, ils trottinent sans cesse auprès de leus parents.Parfois, comme sur cette image deux d'entre eux se réfugient bien au chaud dans le plumage, alors que le troisième voudrait bien qu'on lui laisse un peu de place ! AVOCETTE ELEGANTE
OISEAUX limicoles 
OISEAUX des MARAIS
PHOTOGRAPHIE FAUNE SAUVAGE 
Que-nature-vive
Daniel TRINQUECOSTES

© Daniel Trinquecostes

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Le soleil joue avec les dunes de sable.
Telles des oeuvres d'art, les images sans cesse renouvelées s'offrent au regard du photographe. dune, sossusvlei, sable, namibie, paysage dunaire

© Maurice Chatelain

<center>Formes sans cesse renouvelées, tout le mystère des dunes. <br>La vie est invisible à cette hauteur, et pourtant... Dunes de sossusvlei  namibie , jeux dombres vu d'avion.

© Maurice Chatelain

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Il saute du lit de bon matin, et ne part que si son esprit est net, <br>
son coeur pur, son corps léger comme un vêtement d'été. <br>
Il n'emporte point de provisions. Il boira l'air frais en route <br>
et reniflera les odeurs salubres.<br>
Il laisse ses armes à la maison et se contente d'ouvrir les yeux.<br>
Les yeux servent de filets ou les images s'emprisonneront<br>
d'elles-mêmes. La première qu'il fait captive est celle du chemin<br>
qui montre ses os, cailloux polis, et ses ornières, veines crevées,<br>
entre deux haies riches de prunelles et de mûres. <br>
Il prend ensuite l'image de la rivière. Elle blanchit aux coudes<br>
et dort sous la caresse de saules. Elle miroite quand un poisson<br>
tourne le ventre, comme si on jetait une pièce d'argent, et, <br>
dès que tombe une pluie fine, la rivière a la chair de poule.<br> 
Il lève l'image des blés mobiles, des luzernes appétissantes<br>
et des prairies ourlées de ruisseaux. Il saisit au passage le vol<br>
d'une alouette ou d'un chardonneret. Puis il entre au bois. <br>
Il ne se savait pas doué de sens si délicats. Vite imprégné<br>
de parfums, il ne perd aucune sourde rumeur, et, pour qu'il<br>
communique avec les arbres, ses nerfs se lient aux nervures<br>
des feuilles. Bientôt, vibrant jusqu'au malaise, il reçoit trop, <br>
il fermente, il a peur, quitte le bois et suit de loin les paysans<br> 
mouleurs regagnant le village. Dehors, il fixe un moment, <br>
au point que son oeil éclate, le soleil qui se couche et dévêt<br>
sur l'horizon ses lumineux habits, ses nuages répandus pêle-mêle.<br> 
Enfin, rentré chez lui, la tête pleine, il éteint la lampe et longuement,<br>
avant de s'endormir, il se plaît à compter ses images. Dociles, <br>
elles renaissent au gré du souvenir. Chacune d'elles en éveille<br>
une autre, et sans cesse leur troupe phosphorescente s'accroit<br>
de nouvelles venues,comme des perdrix poursuivies et divisées <br>
tout le jour chantent le soir, à l'abri du danger, et se rappellent<br>
 aux crues des sillons. ( Jules Renard 1896) Jules Renard écrivain français. Histoires Naturelles lithographie de Henri de Toulouse Lautrec. 1896. PRESSES UNIVERSITAIRES DE FRANCE. COLLECTION SOURCES.

© Maurice Chatelain

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Ce jeune lionceau est très dissipé et sa mère doit sans cesse<br>
le récupérer, le tenant ainsi fermement pendant un long moment. lionne et lionceau  couché au sol Tanzanie serengeti c

© Maurice Chatelain

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Il n'a de cesse que de chercher un indice<br>
 de présence dans cette étendue blanche. Renard couché sur la neige, regard vers l'horizon? Grand Paradis Aoste.

© Maurice Chatelain

<center>En bordure de prairie. <br> Sans cesse en déplacement, <br>le couple ne se retrouve que rarement. couple assis renards grand paradis

© Maurice Chatelain

<b>Circus cyaneus.</b> D'un vol léger, les ailes ouvertes en V caractéristique, balançant d'un côté sur l'autre, cet élégant rapace diurne arpente sans cesse les grandes étendues céréalières à la recherche de micro-mammifères. Busard Saint Martin. Circus cyaneus. Rapace diurne.

© Yves Vallier

Après avoir mué, la femelle tardigrade pond dans son exuvie, et parfois les œufs se font dévorer par une colonie de Tetrahymena pyriformis. Bouillonnant de vie, ces ciliés se percutent sans cesse et sortent, lorsque leur repas est terminé, par les orifices naturels de l'exuvie, l'anus ou la bouche. Un véritable spectacle dans l'infiniment petit (Bretagne, France). Tetrahymena pyriformis dans exuvie

© Eddie ROY

 

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