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Photo prise depuis la piste près de Shingwezi.C'est dans le nord du parc que nous avons fait à cette période les meilleures observations de ce mammifére. mammiferes afrique elephant

© Daniel Trinquecostes

Trés prés de satara.C'est dans cette zone ,et là exclusivement,que nous avons observés ce grand fauve. Ce qui ne veut pas dire bien sur qu'il s'agit du seul endoit où on peut le rencontrer. mammiferes afrique lion

© Daniel Trinquecostes

Proche cousin du phacochére ,le potamochére vit en groupe .Nous n'en avons fait que trois observations.Le potamochére sort de préférence de nuit pour fouiller le sol à la recherche des racines,des bulbes et des fruits.Dans la journée il se repose au plus profond des fourrés,ce qui rend difficile son observation. mammiferes afrique potamochere

© Daniel Trinquecostes

c'est à proximité de cet ilot situé prés de curieuse que nous avons la chance d'observer un requin baleine.

© Daniel Trinquecostes

cette anse peu fréquentée mérite que l'on fasse le détour.nous y avons observé un couple de pluvier crabe avec un juvénile.

© Daniel Trinquecostes

Ce rapace a été photographié sur l'ile de Santa Fé.Durant notre voyage nous n' avons fait que peu d'observation de buse des galapagos.Une à Santa Fé ,une à Punta Espanola et deux à James Bay.Comme quoi rien n'est jamais acquis ! photo buse des galapagos

© Daniel Trinquecostes

Photo faite à Rabida.Normalement ce site permet d'observer une importante colonie d'otarie ,ainsi que des flamands roses.Malheureusement le phénoméne EL NINO de 97/98 a fait de considérables dégats dans la population des otaries et en 2002, nous n'en avons vu que cinq sur ce site.Ce fut une grande décepton car l'endroit est splendide avec sa plage de sable rouge. photo otarie

© Daniel Trinquecostes

Cette photo fut prise pendant la promenade en zodiac à Punta Moreno.C'est au cours de cette balade que nous avons observé une des deux colonies de manchots des galapagos rencontrée au cours du voyage. photo pélican

© Daniel Trinquecostes

à certains moments nous avons eu la chance de voir des ciels d' une trés grande pureté

© Daniel Trinquecostes

Il s'agit d'un petit héron de coloris gris foncé.Ses pattes présentent une belle couleur jaune orangé.Celui-ci était particuliérement peu farouche et nous avons pu le photographier à notre guise. photo héron des laves

© Daniel Trinquecostes

L'observation faite au pied de Pinnacle Rock s'est limité à une petite dizaine de sujets.Pendant les 13 jours de voyage, nous n'en avons observé qu'une vingtaine pour deux sites. photo manchot

© Daniel Trinquecostes

Ce spécimen a été rencontré sur le site de James bay.Cet endroit est assez riche,et nous y avons fait d'interressantes observations. photo tourterelle galapagos

© Daniel Trinquecostes

" THOR " un des plus beaux cerfs que nous avons eus la chance de voir à Dyrehaven. Parc de DYREHAVEN .Brame 2001. Cerf au brame. Dyrehaven 2001 Mammifère. Cerf élaphe.Cervus élaphus. Photographie de faune sauvage. Daniel TRINQUECOSTES Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Scène très étonnante à laquelle nous avons assisté par 2 fois : un jeune qui piaille de manière incessante au point qu'il attire votre attention tellement il fait de raffut. Et puis un ou deux adultes qui s'approchent ensuite et lui flanque une raclée qui vous cloue sur place de stupéfaction ! Les coups pleuvent, le petit se fait tordre le coup au sens propre du terme, l'adulte va jusqu'à lui monter dessus et le piétiner sans vergogne tout en continuant à lui asséner des coups de bec. Et ce, jusqu'à ce que le petit se taise. Si il se redresse un peu et ré émet un son, les coups retombent. Très impressionnant ! Nous nous sommes demandés si les adultes n'allaient pas finir par le tuer, au rythme où ils s'acharnaient dessus. Finalement, le petit a fini par se relever et par s'éloigner en silence... Dix minutes plus tard, il se remettait à brailler...

© Diane CASTANET & Olivier HERVIEU

Christophe est encore au Brésil, et c'est par satellite qu'il poste cette première image d'un jaguar dans la lumière du soir, pris sur les rives de la rivière Cuiaba dans le Pantanal... Après un voyage au mois de juillet qui n'a pas été récompensé par la chance, septembre s'est avéré bien meilleur en terme d'opportunités. Par contre les lumières étaient différentes. D'autres images suivront, notamment des photos nocturnes. MAIS, le jaguar reste un félin difficile. La chance joue un grand rôle ainsi que les conditions météo. Sur une semaine passée au camp, nous avons observés 7 jaguars différents, dont 4 les deux premiers jours... Pour venir photographier avec moi le jaguar l'an prochain, réservez dès maintenant, j'ai déjà des clients et cette année, mes deux séjours ont été complets très rapidement. Contactez moi via le bouton "contact" en haut à droite de la page active. Jaguar, cat, félin, Brazil, Brésil, Pantanal, Panthera, onca, onça, palustris, Cuiaba, river, rivière, rio, trip, photo, photographic, voyage, Mato Grosso, riverbank, rives, plages, sable, sand, ridge, bank, Jaguar Research Center,

© Christophe Courteau

<center> Nous devons permettre à la biodiversité de se rétablir dans les Océans.<br> Le plastique Divers déchets tels que les emballages, bouteilles en plastiques ou autre sont souvent pris pour nourriture par les gros poissons, <br>tortues de mer ou même par les mammifères comme les phoques ou les dauphins, cela prennent les sacs en plastiques pour des méduses<br> dont ils se nourrissent, ils les avalent et s’étranglent. <br>Cent mille mammifères marins, un million d’oiseaux de mers meurent ainsi chaque année.<br> Il y a aujourd’hui 100 fois plus de déchets sur les plages que voila seulement 10 ans et une bouteille ou un sac en plastique jeté à la mer vont mettre des siècles pour se dégrader alors penser bien à jeter ou ne pas laisser d’ordures sur les plages et faites l’effort de ramasser celles qui s’y trouve et qui vont venir polluer cette mer que nous aimons et dont nous avons tant besoin <br>. 17 milliards de sacs en plastiques sont fabriqués chaque année en France mais sont de plus en plus prohibés <br>il y a tellement d'autres solutions avec les sacs auto dégradables, les sacs solides les sacs réutilisables et payant les sacs thermoplastique, sacs en papier recyclé en tissu et tant d'autres. (Source: http://www.bien-etre-et-ecologie.com) Solution des mers...Déchets plastiques...

© Maurice Chatelain

<center> Nous avons longuement parlé d'images mais j'ai aussi<br> commenté son dernier ouvrage. Il y mentionne, entre autres,<br> le génocide arménien, sujet qui me tient particulièrement à coeur. yves Paccalet maurice chatelain

© Maurice Chatelain

<center>Nous avons quitté Korkerboom forest et traversons le Gondwana Nature Parc, une réserve naturelle. <br> Avec la chance de rencontrer les zèbres des montagnes.<br> Puis nous nous installerons à proximité de la fish River Canyon. Fish River Canyon. Namibie

© Maurice Chatelain

Les grèbes esclavons ont déjà construit leur nid. . esclavon grèbe eau couple Suède accouplement

© Jacky Bernard

Siena a retrouvé ses bébés et très vite ses forces, n'hésitant pas à subtiliser au nez et à la barbe d'autres lions un morceau de viande pour se rassasier... Siena mériterait bien le surnom de "mère courage" ! Hèlas nous avons appris depuis que Siena était décédée fin 2015, empoisonnée par un éleveur Masaï qui aurait abandonné sur le territoire de la lionne, un cadavre de vache contaminé ! lionne,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

Initialement une longue sieste des rhinos a précédé cette photo , en plus ils se trouvaient à l'ombre . Fallait-il attendre ou saisir une autre opportunité ailleurs . Nous avons choisi d'attendre malgré le fait que la lumière déclinait et que nos rhinos dormaient toujours ; enfin la chance fût de notre côté ! afrique du sud ndumo rhinoceros blanc

© Thierry DUVAL

Nous avons suivi un mère et ses deux jeunes pendant plusieurs jours ; très farouches les jeunes âgés d'environ trois mois restaient à couvert empêchant toute photo sauf lorsque l'un deux me regarda un instant en descendant d'un arbre.

© Thierry DUVAL

Les léopards du Luangwa sont assez nombreux mais visibles essentiellement la nuit au moment où ils chassent. De jour , le léopard est généralement caché dans un fourré ou perché dans un arbre . Nous avons consacré de nombreuses heures à le rechercher et la chance nous a sourit ! léopard, Zambie, souh luangwa, safari, photographie animalière,

© Thierry DUVAL

Cette rencontre était inattendue comme d'habitude avec le léopard ; nous avons passé un long moment à l'observer lorqu'il se déplaçait dans les hautes herbes en nous ignorant totalement . Au cours de ce séjour nous avons observé cette espèce à cinq reprises, pas toujours dans des conditions idéales pour la photo, mais à chaque fois nous étions fascinés par l'élégance de ce félin si discret . afrique kenya léopard masai mara photographe animalier animaux d'afrique photographie animalière

© Thierry DUVAL

"Mon vieux André, Je t'envoie une petite carte pour te donner une idée de la vie sous terre. Cela n'a rien de bien agréable car nous avons toujours comme voisins messieurs les rats qui nous dévalisent ce que nous avons à manger. Enfin mon vieux André j'espère bientôt aller te voir. Ton oncle." Année 1917, à Vingré, près de Vic-sur-Aisne dans l'Aisne, entrée d'un poste de secours souterrain (France, Première Guerre mondiale). 14-18 Aisne archives creutes infirmerie première guerre mondiale secours souterrain vingré tunnels

© Jerôme et Laurent TRIOLET

« Soldatenleben in den Klaksteinhölen Nordfrankreichs - Haben in diesem Raum 20 Tage gewohnt 80 meter von den Franzosen ab » (La vie des soldats dans les carrières de calcaire du nord de la France - Nous avons vécu 20 jours dans cette pièce, à 80 mètres des Français). Assemblée de soldats allemands dans une carrière souterraine, peut-être aux Cinq Piliers aux environs de Noyon dans l’Oise. Photographie envoyée le 19 avril 1916 ; (France, Première Guerre mondiale). 14-18 carrière souterraine creutes première guerre mondiale soldats allemands souterrain

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Durant l’année 1985, nous avons parcouru la Touraine pour finalement visiter ou explorer une dizaine de cavités différentes. Dans la campagne du Chinonais, juste à côté d’un carrefour, cette descente au milieu de la végétation nous a conduit dans un vaste souterrain-refuge ; Touraine (France), mai 1985. Chinon Touraine cavité exploration souterrain souterrain-refuge

© Jerôme et Laurent TRIOLET

La ville souterraine de Sivasa reste l’un de nos meilleurs souvenirs souterrains et certainement l’une de nos plus belles explorations. Lors de cette expédition, nous avons exploré et topographié ce gigantesque réseau composé de 25 salles reliées par de longs couloirs. Ici, Laurent franchit une meule encore en position fermée et obturant un des nombreux couloirs d’accès ; Cappadoce (Turquie), août 1988. Cappadoce Sivasa Turquie exploration meule souterrain souterrain-refuge ville souterraine

© Jerôme et Laurent TRIOLET

En revenant de notre expédition en Cappadoce, nous avons fait halte en Yougoslavie pour découvrir les stèles des cimetières attribués aux Bogomiles, et plus particulièrement ces personnages caractéristiques rappelant l’énigmatique orant gravé dans le souterrain de La Roche-Clermault en Touraine ; nécropole de Radimlja (Bosnie-Herzégovine), août 1988. Bosnie-Herzégovine Radimlja bogomile coulisses nécropole

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Toujours en Bosnie-Herzégovine, nous avons également visité la nécropole de Boljuni, et un jeune homme nous a montré d’autres stèles dissimulées par la végétation ; (Bosnie-Herzégovine), août 1988. Boljuni Bosnie-Herzégovine bogomile coulisses nécropole

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Alors que nous préparions notre livre « La guerre souterraine », nous avons décidé d’aller découvrir les tunnels de guerre du Vietnam. Comme tous les visiteurs, Jérôme s’est contorsionné pour essayer de refermer au-dessus de lui la petite trappe d’accès soigneusement camouflée, l’ouverture ne fait que 30 x 22 centimètres ; Cu-Chi (Vietnam), octobre 2004. Cu-Chi Vietnam Viêt-cong coulisses souterrain trappe tunnel de guerre

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Nous avons dérangé plusieurs chauves-souris en entrant dans cette salle. L’une d’elles est sortie alors que Jérôme se trouvait encore dans le goulot. Passant derrière sa tête, elle a frôlé son casque, puis s’est posée sur son dos pour faire quelques pas, avant de reprendre son envol vers une zone plus tranquille ; Vendée (France), novembre 2007. Vendée coulisses souterrain souterrain aménagé souterrain-refuge

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Commencé durant les jours précédents et repris le matin même, le pompage avait permis d’abaisser suffisamment le niveau de l’eau pour que nous puissions tenter l’exploration de ce souterrain creusé sous une église des Deux-Sèvres. Pour des raisons de sécurité, nous avons été contraints d’arrêter la pompe durant la visite, et la remontée inexorable de l’eau a limité le temps passé dans le boyau au-delà de la zone inondée ; Poitou (France), septembre 2014. Deux-Sèvres coulisses exploration souterrain souterrain aménagé souterrain-refuge spéléologie

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Cela faisait une trentaine d’années que les eaux usées du fournil de la boulangerie voisine se déversaient dans le souterrain et, lors de notre première tentative d’exploration, nous avions dû renoncer face à une odeur pestilentielle et à un épais dépôt pâteux nous faisant craindre l’enlisement. Deux ans plus tard, après un raccordement au tout-à-l'égout et une ventilation prolongée, nous avons pu explorer ce souterrain annulaire non sans nous enfoncer dans cette masse organique noire qui encombrait les galeries et abritait une quantité incroyable de lombrics roses ; Blésois (France), mars 1997. coulisses exploration souterrain souterrain annulaire spéléologie

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Regagner la surface après plusieurs heures passées à travailler sous terre représente toujours un moment privilégié. Profitant des derniers rayons du soleil, nous avons pris le temps d’une photo souvenir ; Berry (France), octobre 2001. Berry coulisses exploration souterrain spéléologie

© Jerôme et Laurent TRIOLET

A Ben Duoc, après avoir convaincu notre guide, nous avons pu quitter le réseau touristique classique pour emprunter des tunnels peu fréquentés et proches de leur état d’origine, bien qu’un peu agrandis pour faciliter la visite. L’atmosphère chaude et humide rendait notre progression à quatre pattes particulièrement oppressante. Une visite éprouvante qui nous laissait imaginer les difficultés de ceux qui s’abritaient et combattaient dans les tunnels; Cu-Chi (Vietnam), octobre 2004. Ben Duoc Cu-Chi Vietnam Viêt-cong coulisses souterrain tunnel du guerre

© Jerôme et Laurent TRIOLET

A Ben Duoc, après avoir convaincu notre guide, nous avons pu quitter le réseau touristique classique pour emprunter des tunnels peu fréquentés et proches de leur état d’origine, bien qu’un peu agrandis pour faciliter la visite. L’atmosphère chaude et humide rendait notre progression à quatre pattes particulièrement oppressante. Une visite éprouvante qui nous laissait imaginer les difficultés de ceux qui s’abritaient et combattaient dans les tunnels; Cu-Chi (Vietnam), octobre 2004. Cu-Chi Vietnam Viêt-cong coulisses souterrain tunnel du guerre

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Une boue argileuse aussi fine que collante envahissait certaines salles de ce souterrain-refuge des environs de Valençay. A tel point que nous avions beaucoup de mal à nous déplacer et, une fois assis, nous nous « décollions » très difficilement du sol. En nettoyant le matériel, nous avons même découvert que notre boussole était devenue inutilisable, dépolie par le frottement des fines particules d’argile ; Berry (France), mai 1990. Berry Loir-et-Cher Valençay exploration souterrain souterrain-refuge spéléologie

© Jerôme et Laurent TRIOLET

<br>Vous trouverez ci-dessous le texte de soutien de Pierre <b>à l'intention des opposants au barrage de Sivens, et particulièrement ceux en grève de la faim.</b> <br><br><b><font color="#F5D257"> "Chers amis, <br><br>J'aurai souhaité venir vous remercier au nom de tous ceux qui partagent nos valeurs de protestation que vous manifestez contre le saccage d'un biotope exceptionnel par les aberrations du monde actuel. Celui-ci, par un aveuglement, souvent incompréhensible, donne plus d'importance au lucre et au profit sans âme ni véritable raison, qu'à la vie. Ce mitage permanent et en tous lieux aura à terme des conséquences d'une extrême gravité et mettra en grand péril les générations à venir. La question que devrait se poser l'humanité devrait être éclairée par le fait que nous avons un besoin absolu de la nature mais que la nature n'a pas besoin de nous. On pourrait ajouter, à bon entendeur... salut!</b> <br><br>Cette vérité irrévocable devrait inspirer nos comportements et nos actes mais, hélas, nous sommes bien obligés de constater que le genre humain confond ses aptitudes avec son intelligence. Il poursuit, comme en état d'ébriété, l'insatiabilité, dont le monde a fait le moteur et la raison d'être de la vie sur terre. Votre témoignage qui va jusqu'au détriment de votre propre santé ne peut que nous rallier avec toute l'énergie de notre indignation pacifique mais déterminée. <br><br>Avec l'espoir que votre message soit entendu au plus profond de la conscience et du coeur, <br><br>Avec ma solidarité inconditionnelle, <br><br>Pierre Rabhi "</font color="#F5D257"> <br><br><i>Ce texte a été lu le samedi 25 octobre lors du grand rassemblement contre le barrage de Sivens qui réunissait plus de 5000 manifestants venus de toute la France en soutien aux zadistes dire haut et fort NON au projet.</i> <br><br>

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais du Hérisson d'Europe : European Hedgehog <br>Autres noms français : Hérisson commun ou « hérisson » tout court <br>Bébé hérisson paisiblement endormi avec ses frères <br><br>Après avoir mis à l'abri les bébés Hérissons d'Europe que je venais de trouver au bord de la route, j'ai contacté le Centre de soin pour la Faune Sauvage de ma région. Bien renseignée, j'ai acheté du lait maternisé chez mon vétérinaire. J'ai débarrassé les petits hérissons de leurs parasites, et j'ai commencé avec beaucoup de patience et de douceur à les nourrir au biberon. Puis, je leur ai installé un petit nid douillet pour qu'ils restent bien au chaud. <br>Deux jours plus tard, les petits hérissons étaient, comme prévu, transférés au Centre de soin. <br>Cinq semaines après, toujours en contact avec le centre, j'ai récupéré les hérissons devenus plus grands et plus forts ainsi que quatre autres orphelins du même âge maintenant capables de se débrouiller seul. Avec Hervé, mon mari, nous les avons transportés dans une zone suffisamment grande et sauvage du Massif Central, hors nous semble-t-il des plus grands dangers. Nous avons attendu la tombée de la nuit pour relâcher les hérissons et n'avons quitté les lieux que le lendemain après nous être assurés que chacun d'entre eux avait repris sa liberté. <br><br>Depuis 2008, le Hérisson d'Europe est inscrit sur la Liste Rouge mondiale de l'UICN. <br>Depuis 2009, il est également inscrit sur la Liste Rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine. <br>Il est protégé : <br>- Au niveau international par la Convention de Berne : Annexe III <br>- Au niveau national par le Code de l'environnement : Arrêté du 23 avril 2007 - Mammifères protégés - Article 2 <br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne) <br><br> Hérisson d'Europe Erinaceus europaeus European Hedgehog mammifères France Auvergne Allier Bébé Liste rouge protégé

© Monique Morin

<br><br>Autre nom français du Ragondin : Castor des marais <br><br>Le Ragondin étant devenu indésirable, afin de réguler sa population, le tir mais surtout le piégeage par des particuliers ou certains organismes habilités sont pratiqués. Le poison qui devait officiellement être interdit en 2009 est toujours utilisé. Pourtant, il ne sélectionne pas l'espèce animale qu'il tue et cause des préjudices insupportables à la faune sauvage : rapaces (en Auvergne, de nombreux Milans royaux et Buses sont déjà victimes d'empoisonnements), renards, chevreuils, lièvres, loutres, visons d’Europe et campagnols amphibies, aux chats domestiques et bien d'autres. Tous ces animaux font dramatiquement les frais de ces comportements irresponsables depuis des années. L'humain aussi en fait les frais, mais de manière indirecte... et tout cela pour quoi ? <br>Les cages-pièges, souvent utilisées, ne sont pas plus sélectives et restent tout aussi dangereuses pour les autres espèces comme la Loutre d'Europe et tant d'autres dès lors qu'elles ne sont pas relevées tous les jours, ce qui est hélas fréquemment le cas. Restent le tir au fusil et à l'arc qui sont tout aussi cruel. <br>Alors que des solutions existent pour éviter ce gâchis, la lutte contre le Ragondin coûte chaque année une fortune que chaque contribuable finance au travers de ses impôts. Nous avons tout intérêt à apprendre à vivre avec lui, le Ragondin. Et si on essayait ? <br><br>Depuis 2009, le Ragondin est inscrit sur la Liste rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine parmi les espèces préoccupantes mineures. <br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne) Myocastor coypus Coypu Castor des marais mammifère poison piégeage Liste rouge France Allier Auvergne

© Monique Morin

 

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