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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : Homochromie

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© Christophe Courteau

<b>Furcifer balteatus.</b> Madagascar. Un des champions de l'"homochromie mobile" puisqu'il change de couleur. Il prend la couleur d'un feuillage et de plus, il affine son camouflage jusqu'à dessiner sur son abdomen la nervure de cette feuille. Homochromie mobile, caméléon.

© Yves Vallier

<b>Caprimulgus climacurus.</b> Sénégal. Il se tient à terre durant la journée. Oiseau nocturne, il possède des vibrisses raides, implantées aux coins des mandibules, qui constituent des organes tactiles lui servant à capturer les insectes au vol dans la nuit. Homochromie, Engoulevent à longue queue, Caprimulgus climacurus.

© Yves Vallier

Iles Galapagos. Sous l'eau, comme à l'air libre, les règles sont identiques : voir sans être vu. Elle s'enfonce dans le fond sablonneux de l'océan afin de se protéger d'éventuels prédateurs et saisir au passage ses proies imprudentes. Homochromie, raie à aiguillon, îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Numenius phaeopus.</b> Iles Shetland. Méfiant de nature, principalement à l'égard des corvidés, labbes ou goélands et, à l'occasion envers l'homme, cet échassier, pour protéger sa ponte se confond avec la lande environnante. Homochromie, Courlis corlieu, Numenius phaeopus. Iles Shetland.

© Yves Vallier

<b>Pterocles senegallus.</b>Sénégal. A fin de s'abreuver, il doit effectuer quotidiennement à l'aube et au crépuscule des voyages d'une soixantaine de km parfois. Dépourvu de moyens de défense, mais paré d'une livrée de couleur sable, il se confond avec le milieu désertique qui l'environne. Homochromie, Ganga tacheté, Pterocles senegallus, Sénégal.

© Yves Vallier

<b>Panthera tigris.</b> Inde. Son pelage d'or et d'ébène s'intègre parfaitement dans les taches d'ombre et de lumière filtrant à travers les forêts de bambous. Homochromie, Tigre de l'Inde, Panthera tigris, Inde.

© Yves Vallier

<b>Basilicus vittatus.</b> Costa Rica. Afin d'échapper aux serpents et rapaces, ses principaux prédateurs, ce lézard n'a d'autre solution que de se perdre dans le feuillage des buissons de la forêt tropicale. Homochromie, Lézard peureux, Basilicus vittatus. Costa Rica.

© Yves Vallier

Certains affichent des couleurs vives ou chatoyantes, d'autres choisissent plutôt la discrétion et s'habillent de dessins et couleurs cryptiques. Homochromie, papillon.

© Yves Vallier

<b>Uroplatus sikorae.</b> Madagascar. Dans les forêts tropicales de l'est de la Grande île, la palme du camouflage revient à ce reptile nocturne qui se mêle aux mousses et lichens des troncs d'arbres. Il utilise une double technique de camouflage : chromatique et géométrique. Homochromie, Gecko à queue plate, Uroplatus sikorae. Reptile de Madagascar.

© Yves Vallier

<b>Otus bakkamoena.</b> Inde. A l'aube, ce petit rapace nocturne se réchauffe à l'entrée du trou protecteur. Immobile, entre l'ombre et la lumière, morceau d'écorce parmi l'écorce. Homochromie, Petit duc à collier, Otus bakkamoena, rapace nocturne de l'Inde.

© Yves Vallier

<b>Gygis alba.</b> Hawaii. Appelée également Sterne blanche ou Sterne fée. L'espèce ne construit pas de nid. La femelle dépose son unique oeuf sur une branche. Le poussin naît au même endroit, sans aucune protection. Son immobilité et son plumage de couleur ambiante le tiennent à l'écart des attaques des prédateurs. Homochromie, Sterne fée, Gygis alba, Sterne blanche, Oiseau de l'océan Pacifique

© Yves Vallier

<b>Charadrius dubius.</b> Europe. Cela pourrait être un jeu : trouver la ponte incomplète du gravelot, composée de deux oeufs parmi tous ces cailloux de même couleur. Des oeufs parmi les graviers ou...l'inverse ? Homochromie, Petit Gravelot, Charadrius dunius, limicole .

© Yves Vallier

<b>Eupodotis melanogaster.</b> Tanzanie. Tous la cherchent dans la savane : chacal, serval, caracal, léopard et pourtant, elle est bien là, dans les hautes herbes ondulantes, toujours sur le qui-vive. Cette fois-ci, seul l'oeil du photographe l'a repérée. Homochromie, Outarde à ventre noir, Eupodotis melanogaster, savane de Tanzanie.

© Yves Vallier

<b>Pluvialis apricaria.</b> Europe. De la tourbe, de la bruyère, de la lande, et de petites boules de duvet tacheté, blotties l'une contre l'autre, qui attendent le retour des parents nouriciers et protecteurs. Homochromie, Pluviers dorés, Pluvialis apricaria, échassiers de la lande. Shetland, Europe.

© Yves Vallier

<b>Burhinus oedicnemus.</b> Europe. Oeil fixe et cou tendu, immobile comme une pierre, selon son nom anglais, "Stone curlew", le courlis de pierre. Homochromie. Oedicnème criard, Burhinus oedicnemus. Echassier d'Europe.

© Yves Vallier

<b>Bufo bufo.</b> Europe. Aucune défense pour cet batracien, excepté, peut-être, son aspect repoussant. Sa couleur de terre ou de feuille d'automne et ses moeurs nocturnes sont ses principales armes de défense. Homochromie. Crapaud commun, Bufo bufo, batracien d'Europe.

© Yves Vallier

<b>Asio flammeus galapagoensis.</b> Ou hibou des marais. Iles Galapagos. Dans l'archipel dont Charles Darwin en a gravé la renommée, ce rapace nocturne n'a pas de prédateur et pourtant, il a conservé l'habitude de se confondre durant la journée avec les lychens et les mousses de la forêt tropicale. Homochromie. Hibou brachyote ou hibou des marais, Asio flammeus galapagoensis, des Iles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Ardea cinerea.</b> Europe. Haut perché sur ses pattes, cela pourrait être un handicap, en fait, il se déplace avec grande discrétion parmi les joncs, marquant de fréquents temps d'arrêt, toujours en alerte. Homochromie. Héron cendré, Ardea cinerea Echassier d' Europe

© Yves Vallier

Poisson immature, rascasse ou poisson coffre.

© Yves Vallier

 

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