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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : Guyane

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Créée le 13 mars 1998, cette réserve d'une superficie de 94700 hectares figure parmi les 6 réserves naturelles de Guyane.

© Yves Vallier

Créée le 13 mars 1998, cette réserve inscrite parmi les 6 réserves de Guyane couvre une superficie de 94700 hectares.

© Yves Vallier

Donacobius atricapilla. Troglodyte à miroir. Donacobius atricapilla. Guyane française.

© Yves Vallier

Leucopternis albicollis. Buse à tête blanche. Leucopternis albicollis. Marais de Kaw. Guyane française.

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Podocnemis expansa. Enorme tortue d'eau qui peut mesurer jusqu'à 1 mètre de longueur pour un poids qui avoisine les 90 kg. Podocnemis expansa. Enorme tortue d'eau. Guyane française.

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 Marais de kaw. Guyane française.

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Ardea alba. Grande aigrette. Ardea alba. Marais de Kaw. Guyane française.

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 Marais de Kaw. Guyane française.

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Ardea cocoi. Héron cocoï. Ardea cocoi. Marais de Kaw. Guyane française.

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Superficie de l’île du Diable : 14 ha. D’abord réservée pour les lépreux puis les déportés politiques et anarchistes.
Au début, un câble est tendu entre l’île Royale et l’île du Diable pour le ravitaillement.
 Ile du Diable. Guyane française.

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Superficie de l’île Royale : 28 ha Ile Royale. Guyane française.

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30 mai 1854 : les bagnes coloniaux en Guyane et Nouvelle Calédonie sont créés par une « Loi impériale ». Ile Royale. Guyane française.

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Sapajou apelle. Capucin à houppe noire. Cebus apella. Sapajou apelle. Capucin à houppe noire. Cebus apella. Guyane française.

© Yves Vallier

L'hôpital. Les Iles du Salut se situent à une quinzaine de km de Kourou, environ 30 de Cayenne. Les forts courants marins, la fréquentation régulière des eaux environnantes par les requins, font que les tentatives d’évasion sont souvent vouées à l’échec. Ile Royale. Bagne de Cayenne. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Si beaucoup sont des assassins et de sinistres individus, certains ne seront emprisonnés que pour des causes beaucoup plus « légères » : vagabondage, manque de respect à un juge, détérioration d’effets militaires et parfois par délation à caractère raciste.
Ainsi, le Capitaine Alfred Dreyfus est déporté sur l’île du Diable en 1896. Il sera gracié en 1899, puis enfin, réhabilité en 1906. 
 Ile Royale. Guyane française.

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Singe écureuil. Saimiri sciureus. Saïmiri commun. Singe écureuil. Saimiri sciureus. Iles du Salut. Ile Royale. Guyane française.

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Le taux de mortalité des bagnards en Guyane atteint  certaines années 80%.
L’espérance de vie ne dépasse pas 5 ans.
 Ile Royale. Guyane française.

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Dasyprocta agouti. Agouti. Dasyprocta agouti. Guyane française.

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Les 3 îles du Salut totalisent une superficie de 62 ha. Depuis la fermeture des bagnes, la nature a lentement repris sa place. Ile Royale. Guyane française. Iles du Salut.

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Cebus apella. Apelle. Cebus apella. Iles du Salut. Guyane française.

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Le personnel pénitentiaire et les membres de la famille sont enterrés dans un cimetière sur l’île Saint Joseph. 
Quant aux bagnards décédés, ils sont jetés à la mer d’une embarcation et servent de festins pour les requins.
 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Cebus apella. Apelle. Cebus apella. Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

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Cebus apella. Apelle. Cebus apella. Iles du Salut. Guyane française.

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Dans les cellules collectives, les forçats enchaînés aux rails dorment cote à cote, sur des planches de bois. Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

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 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

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 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

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 Crabe violoniste. Guyane française.

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 Mangrove. Guyane française.

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 Crapaud. Iles du Salut. Guyane française

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Egretta tricolor. Guyane française. Aigrette tricolore. Egretta tricolor. Guyane française

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 Mangrove. Guyane française.

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 Gros yeux. Guyane française.

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Ramphocelus carbo. Femelle. Tangara à bec d'argent. Ramphocelus carbo. Femelle. Guyane française.

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ou Tégu à taches noires. Tupinambis  teguixin Tégu commun. ou Tégu à taches noires. Tupinambis  teguixin. Guyane française.

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Trichoglossus haematodus. Loriquet à tête bleue. Trichoglossus haematodus. Guyane française.

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ou Fourmilier géant. Myrmecophaga tridactyla. Grand Tamanoir. ou Fourmilier géant. Myrmecophaga tridactyla. Guyane française.

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Thraupis palmarum. Tangara des palmiers. Thraupis palmarum. Guyane française.

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Egretta tricolor. Aigrette tricolore. Egretta tricolor. Guyane française.

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Bothrops brazili. Ce petit serpent terrestre est agressif. De la famille des Vipéridés, il peut infliger des morsures invalidantes voire mortelles. Grage petits carreaux. Bothrops brazili. Guyane française.

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 Paysage Cacao. Guyane française.

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Tupinambis teguixin. Téju commun. Tupinambis teguixin. Guyane française

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Les bagnards constituent pour l’Administration coloniale une main d’œuvre docile et bon marché pour les défrichements et abattages d’arbres, les constructions et les routes. Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Du large, les îles du Salut apparaissent comme des « paniers de verdure » où l’existence doit y être agréable et tranquille. La réalité est toute autre. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

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Iles du Salut. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

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Iles du Salut. Une belle nature exubérante a pris place  dans ces lieux où la souffrance vécue dépasse l'imagination. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Selon les écrits de certains forçats, le personnel pénitentiaire aurait largement profité du système : trafics, royalties sur des ventes d’objets fabriqués par les incarcérés et corruptions en tous genres. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Les bagnards sont « condamnés socialement » cela veut dire que même ceux qui sont volontaires ne peuvent être incorporés pour rejoindre les fronts de la guerre entre  1914 et 1918. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

C’est en 1923 que, suite à sa visite dans les bagnes, Albert Londres publiera dans la presse ses reportages qui donneront le premier coup au système pénitentiaire. Puis d’autres journalistes prendront la suite. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Le 17 juin 1938, le Président Albert Lebrun met fin à la transportation par un décret.
Mais à cette date il reste encore 4430 forçats. Les derniers rapatriements auront lieu en 1954.
 Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

De 1873 à 1938, 49300 détenus seront envoyés aux bagnes de Guyane. Après leur libération, 300 hommes seulement resteront sur le continent pour refaire leur vie, avec plus ou moins de réussite… Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Le jour se lève pour certains. Pour d'autres, la nuit s'achève au terme de l'accomplissement d'un dur labeur égal à la profondeur du sillon laissé sur le sable humide. Traces de Tortue Luth sur la plage. Guyane française.

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Ocypode. Ce petit crabe timide sera l'un des plus redoutables prédateurs pour les futures petites tortues qui tenteront à leur naissance de gagner la mer. Crabe fantôme. Ocypode. Guyane française.

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Dermochelys coriacea. Le travail pour la ponte dure 2 à 3 heures marquées de nombreux temps d'arrêt pour récupérer. Enorme effort dans un élément qui n'est pas le sien. Tortue Luth. Dermochelys coriacea. Guyane française.

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Myiozetetes cayensis. Tyran de Cayenne. Myiozetetes cayensis. Guyane française.

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Dermochelys coracea. Au terme d'efforts considérables, elle pond de 60 à 100 œufs Tortue Luth. Dermochelys coracea. Guyane française.

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Egretta thula. Aigrette neigeuse. Egretta thula. Guyane française.

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Iguane vert ou commun. Iguana iguana. Iguane vert ou commun. Iguana iguana. Guyane française.

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Dermochelys coriacea. L'incubation dure de 53 à 74 jours. Elle peut pondre plusieurs fois dans une année. Tortue Luth. Dermochelys coriacea. Guyane française.

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Arenaria interpres. Tournepierre à collier. Arenaria interpres. Guyane française.

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Dermochelys coriacea. Après avoir pondu et bien enterré ses œufs, elle regagne la haute mer. Tortue Luth. Dermochelys coriacea. Guyane française.

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Melanosuchus niger. Caïman noir. Melanosuchus niger. Guyane française.

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Tyto alba. Effraie des clochers. Tyto alba. Guyane française.

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Rhynchonycteris naso. Chauve souris à long nez. Rhynchonycteris naso. Guyane française.

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 Cigale. Guyane française.

© Yves Vallier

Entre 1852 et 1862 : 12570 condamnés  transitent sur l’île Royale.
Parmi eux se distinguent trois catégories. Les déportés : espions, anarchistes, activistes politiques, traitres (Dreyfus était considéré comme tel). Les transportés : peines assorties du doublage du temps et soumis aux travaux forcés. Les relégués : ceux qui ont été condamnés plusieurs fois.
 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Si la durée de la peine infligée était inférieure à 8 ans : à la fin du temps passé dans le bagne, le reclus devait rester en Guyane le même nombre d’années. Dépourvu d’argent, réduit à l’état de mendiant, il ne pouvait pas réunir la somme nécessaire pour un transport, qui restait à sa charge, vers la France ou  d’autres pays voisins en Amérique du sud. Bien souvent il récidivait afin de retourner au bagne pour vivre.
Au delà de huit années, la résidence obligatoire en Guyane à la fin du temps devenait alors perpétuelle.
 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Cebus apella. Apelle. Cebus apella. Guyane française. Iles du Salut.

© Yves Vallier

L’absence totale d’hygiène, les piqûres d’insectes et les blessures non soignées, les maladies comme : fièvre jaune, Typhus, grippe infectieuse, malaria, dysenterie, l’ensemble accompagné d’une nourriture infecte et insuffisante, constituent un large éventail de causes qui contribuent à  l’élimination « naturelle » d’une grande partie des bagnards. Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Sapajou apelle. Capucin à houppe noire. Cebus apella. Apelle. Sapajou apelle. Capucin à houppe noire. Cebus apella. Guyane française. Ile Royale.

© Yves Vallier

Couloir desservant les cellules. Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Malgré l’ajout de 1500 déportés chaque année, l’effectif reste constant.
Les nouveaux arrivés remplacent ceux qui meurent…de sorte qu’il reste en permanence, de 5 à 6000 détenus.
 Ile Royale. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

 Plante épiphyte. Guyane française.

© Yves Vallier

L’anémie, le Scorbut et souvent la folie, l’aboutissement de tant d’années de privations et d’isolement, viennent à bout des plus réfractaires. Ceux qui en sortiront resteront marqués pour le peu d'années qu'il leur restera à vivre. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Quatre murs, un étau d'environ 3 mètres de long sur un peu plus d'1 en largeur. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

L’enfer est tellement brûlant que les évasions ou seulement les tentatives sont nombreuses. Au total : 9000 évasions sont enregistrées, avec 16% de réussite. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

La nature est née et s'est installée entre ces murs où des hommes mouraient, soit par ignorance de leur souffrance, soit pour la dissimuler à jamais. Ile Saint Joseph. Iles du Salut. Guyane française.

© Yves Vallier

Le Saki est un petit singe étonnant, qui vit au Brésil, au Surinam et en Guyane. Seul le mâle exhibe un masque blanc. La femelle est entièrement grise. Le Saki se nourrit de fruits, graines, insectes, feuilles et fleurs. saki,singe,masque,blanc.

© Jean-Claude FOURNIER

Les Miao représentent le 5ème groupe ethnique résidant en Chine. Au nombre de 9 millions, les Miao vivent dans les régions montagneuses de la Chine du sud. On les rencontre aussi au nord du Vietnam, au Laos et aussi en Guyane où ils portent le nom de Hmong. Ils vivent de la terre et sont animistes. miao,ethnie,chine.

© Jean-Claude FOURNIER

 

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