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Au premier plan Lou Tsantelet ; au fond, l'hôtel HERBETET<br>
(le plus imposant), équipé pour accueillir les personnes handicapées. Hôtel Herbetet à Valnontey. Vallée de Cogne. Aoste.

© Maurice Chatelain

<b>Sula nebouxii excisa.</b> Les fous sont d'excellents plongeurs équipés de coussins d'air sous les plumes du front afin d'amortir les chocs lors du contact avec la surface. Le plongeon se fait d'une quinzaine de mètres de hauteur. Avec un corps taillé en fuseau, les ailes tendues vers l'arrière, il fend le liquide comme la pointe d'une lance pour capturer les poissons dont il se nourrit. Fou à pieds bleus, Sula nebouxii excisa, oiseau de mer palmipède des mers tropicales.

© Yves Vallier

<b>Callorhinus ursinus.</b> Le mâle porte avec ostentation de longues moustaches.  L'otarie se différencie des phoques par ses oreilles externes. Elle est équipée, pour affronter les plus basses températures, d'un pelage composé d'environ 300.000 poils et duvets pour 6 cm2. Essentiellement pélagique, elle ne revient à terre que pour se reproduire. La population totale est de 2 millions d'individus, dont 1,4 aux îles Pribilof. Le reste est réparti en mer d'Okhotsk, aux îles Kouriles, le long des côtes ouest de la mer de Béring et du Pacifique nord. Otarie à fourrure, Callorhinus ursinus, espèce nordique des îles Pribilof, Kouriles et de l'océan  Pacifique nord.

© Yves Vallier

<b>Falco cherrug.</b> Utilisé par l'homme pour la "chasse au vol". La vue des rapaces est leur atout principal. Dans certaines zones rétiniennes appelées aréas, la densité des cônes est trés élevée, jusqu'à 1 million au mm². En comparaison, on en compte 200.000 pour l'homme. Chez les faucons, la mandibule supérieure est équipée d'une "dent" qui leur sert à casser le cou de leur proie. Faucon sacre. Falco cherrug. Rapace diurne.

© Yves Vallier

Ce camp situé sur la côte eest du Spitzberg restera l'un des plus durs des expéditions Polar Lys. Par - 31 °celcius et franchement sous équipés, nous ne fermerons pas l'oeil de la nuit.

© Pierre Vernay

C'est le monument le plus étonnant et le plus intéressant de la ville d'Arequipa. 
Fondé en 1580, il occupe une superficie de 20 000 m2 et abritait 500 religieuses (aujourd'hui une vingtaine). Santa Catalina est une citadelle au milieu de la ville. En y pénétrant , on se retrouve en plein XVIème siècle : un dédale de patios, de cloîtres ornés de fresques, de maisons particulières, de bâtiments monastiques, de petites ruelles, l'ensemble coloré de couleurs gaies, ocre, jaune et bleu... couvent,santa,catalina,arequipa,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

Les novices devaient être d'origine espagnole et apporter une dot de 1000 pesos d'or pour être acceptées au sein de l'ordre. Malgré le double vœux de  silence et de pauvreté, les couventines étaient douées pour la conversation et dépensières. Elles avaient leur domestique et mangeaient dans de la vaisselle de porcelaine, sur des nappes en damas, avec des couverts en argent... Sur cette vue, la rue Grenade. couvent,santa,catalina,arequipa,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

La place Zocodover, avec sa fontaine. monastere,santa,catalina,arequipa,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

 Arequipa,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

Ancien sanctuaire de la Compagnie de Jésus, construit en 1698, la Compania est la plus belle église d'Arequipa. Sa façade baroque est ornée de colonnades, de spirales, d'oiseaux, de couronnes de lauriers, de fleurs et de sarments de vigne au milieu desquels apparait le blason de la ville (avec en son centre le volcan Misti). Même en bastion colonial, les artistes métis ont su imposer leur art : les anges ont des visages indiens et l'un d'eux est même coiffé de plumes !!! Arequipa,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

Ce monument a connu de nombreux séismes depuis sa création et son architecture a été souvent remaniée. C'est un labyrinthe aux allures andalouses et le visiter est un véritable enchantement. Sur cette vue, le cloître des orangers. couvent,santa,catalina,arequipa,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

La rue Cordoba, où se détachent sur les murs blancs, des pots de géraniums rouges... monastere,santa,catalina,arequipa,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

Fortement endommagée lors du tremblement de terre de 2001, la cathédrale d'Arequipa domine toujours fièrement la place centrale. cathedrale,arequipa,perou.

© Jean-Claude FOURNIER

© Sandrine MARBACH

© Sandrine MARBACH

© Sandrine MARBACH

© Sandrine MARBACH

© Sandrine MARBACH

L'aigle est aussi équipé pour la marche sur la neige...

© Aurélie BLUSSEAU

Grâce à de puissantes griffes, le glouton est bien équipé pour grimper aux arbres !

© Aurélie BLUSSEAU

A la fin du XIXe ou au tout début du XXe siècle, à l’occasion du père cent, une équipe de sapeurs-mineurs français à l’exercice pose avec tout son matériel devant l’entrée de la mine qu’elle est en train de creuser. mine 
 mines 
 soldats français 
 souterrain 
 tunnel 
sapeur

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Retour dans ce souterrain-refuge exceptionnel creusé au bord de l’Indre ; pour parcourir le couloir inondé qui mène vers la salle terminale, Laurent s’était équipé à la manière des plongeurs-spéléologues, avec deux lampes étanches fixées sur le casque ; Touraine (France), mai 1986. Indre 
 Touraine 
 cavité 
 exploration 
 souterrain 
 souterrain-refuge

© Jerôme et Laurent TRIOLET

L’année précédente, lors de l’exploration de ce puits s’ouvrant dans les environs de Sainte-Maure, nous avions eu la mauvaise surprise, une fois arrivés à 14 m de profondeur, de découvrir que les galeries qui partaient de chaque côté étaient envahies d’eau. Equipés d’un éclairage étanche et protégés du froid par des combinaisons de plongée, nous sommes redescendus pour une exploration complète ; Touraine (France), juin 1986. Touraine 
 aqueduc 
 cavité 
 coulisses 
 exploration 
 puits 
 souterrain

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Mineur équipé d'un appareil Galibert progressant dans une galerie de mine envahie par les  gaz délétères issus des explosions. L' outre de Galibert était un réservoir en peau de mouton, rempli initialement d'air sain, dans lequel le mineur respirait en circuit fermé, au moyen de deux tuyaux en caoutchouc reliés à un embout buccal en corne ; un pince-nez et des lunettes complétaient sa protection. Exercice de guerre souterraine du 3e Régiment du Génie à Arras (France, 1876). Lithographie : sapeur Arnaud. 1876 
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 explosion 
 guerre 
 mines 
 sapeur

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Mineur équipé de l'Aérophore portatif inventé par Louis Denayrouze en février 1875 et progressant dans une galerie de mine envahie par les gaz nocifs issus des explosions. Ultramoderne, véritable précurseur des appareils autonomes actuels, l'Aérophore portatif était constitué de 3 bouteilles d'air comprimé qui fournissaient l'air à l'utilisateur par l'intermédiaire d'un régulateur et d'un embout buccal ; un pince-nez et des lunettes complétaient la protection du mineur. Exercice de guerre souterraine du 3e Régiment du Génie à Arras (France, 1876). Lithographie : sapeur Arnaud. 1876 
 Arras 
 Génie 
 guerre 
 mines 
 sapeur 
 souterrain

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Il faisait -4°C ce matin-là, nous étions en train de nous équiper pour descendre dans le puits de Balâtre et explorer un souterrain-refuge inédit. Grâce à la dotation reçue en soutien à notre expédition en Cappadoce, nous étions désormais équipés de casques Edelrid bleus, beaucoup plus confortables que les casques de chantier et parfaitement adaptés à la spéléologie ; Blésois (France), décembre 1989 (photo : Stéphane Lebreton). Touraine 
 cavité 
 exploration 
 puits 
 souterrain 
 souterrain-refuge 
 spéléologie

© Jerôme et Laurent TRIOLET

 

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