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Recherche sur le(s) mot(s) clé(s) : Capture

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Vivant dans les forêts claires et les savanes herbeuses,ce calao est un grand marcheur qui parcourt jusqu'à dix lilométres par jour.Il se nourrit en capturant ses proies au sol.Son menu est constitué de rongeurs,serpents,reptiles,batraciens et gros insectes.Une de ses caract"ristiques est de se déplacer en volant vers les feux de brousse pour capturer les animaux fuyant l'incendie. photo calao

© Daniel Trinquecostes

Demi tonneau renversé avec capture dans le mouvement TICHODROME ECHELETTE
TICHODROMADIDES
OISEAUX
PHOTOGRAPHIE DE FAUNE SAUVAGE ET DE NATURE

que-nature-vive

Daniel TRINQUECOSTES

© Daniel Trinquecostes

Après la capture d'un poisson. GREBE HUPPE
OISEAUX
Photographe naturaliste
Photographie de nature et de faune sauvage

Daniel TRINQUECOSTES
Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

<b>Mycteria leucocephala.</b> Grand échassier du continent indien. Perché sur ses longues jambes, il arpente les marais ou prés humides à la recherche de sa nourriture. Rapide et précis, il capture d'un coup de bec grenouilles, serpents ou poissons passant à sa portée. Tantale indien ou cigogne peinte grand échassier de l'Inde marais de Ranthambore

© Yves Vallier

<b>Coracias benghalensis.</b> Perché sur un poste d'observation élevé, il attend le passage d'une proie. Aussitôt qu'un insecte passe à sa portée, il quitte son poste, capture promptement en plein vol l'imprudent et regagne un autre poste d'attente. Il complète son régime de batraciens ou lézards. Rollier indien passereau de l'Inde

© Yves Vallier

<b>Ceryle rudis.</b> Vol sur place ou en "Saint esprit" afin de repérer sa proie au-dessus des rivières, étangs ou de mares stagnantes. Après la capture, il gagne un poste d'observation, assomme sa prise en la battant au sol, puis l'avale dans le sens des écailles. Martin pêcheur pie de l'Inde vol en Saint Esprit

© Yves Vallier

<b>Mirounga leonina.</b> Véritable géant parmi les pinnipèdes, ce phoque mâle peut dépasser les 5 m. de longueur pour un poids approchant les 4 tonnes. Il peut descendre jusqu'à 600 m. de profondeur réalisant des apnées d'une vingtaine de minutes pour capturer les seiches et calmars. Eléphant de mer, Mirounga leonina, pinnipède géant  de l'hémisphère sud.

© Yves Vallier

<b>Aptenodytes patagonica.</b> Mue après la période de reproduction. Il peut descendre jusqu'à 300 m. de profondeur pour capturer poissons et céphalopodes au cours d'apnées de plus de 6 minutes. Manchot royal, aptenodytes patagonica, manchot des îles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Fregata minor ridwayi.</b< Durant la saison des amours, le mâle développe une poche  de chair rouge sous sa gorge afin d'attirer la femelle. Avec une envergure dépassant les 2,45 m, la frégate est particulièrement adaptée à la vie aérienne. Son plumage n'étant pas imperméable, l'oiseau ne se pose donc pas sur l'eau, mais dispose d'une grande habileté pour capturer ses proies en effleurant du bec la surface de l'onde lors de piqués accrobatiques. Grande frégate, fregata minor, oiseau de mers tropicales et des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Pyrocephalus rubinus.</b> Appelé aussi Tyran rouge, ce gobe-mouche se nourrit d'insectes capturés au vol. El Niño lui est plutôt favorable et l'incite à nicher plus souvent. Moucherolle vermillon, Tyran rouge, passereau des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Conolophus pallidus.</b> Les iguanes terrestres se nourrissent exclusivement des fruits et des raquettes des cactus Opuntia dont ils grattent les piquants avec leurs pattes. Les jeunes capturent également des insectes. Iguane terrestre, Conolophus pallidus , espèce endémique sur l'île de Santa Fé aux îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Alsophis biseralis.</b> Espèce endémique. Celle-ci vient de capturer un jeune iguane marin et tente de l'avaler. L'espèce consomme des lézards des laves, des geckos, des souris et de jeunes oiseaux. Couleuvre des Galapagos, Alsophis biseralis, espèce de serpent endémique des Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Sula nebouxii excisa.</b> Les fous sont d'excellents plongeurs équipés de coussins d'air sous les plumes du front afin d'amortir les chocs lors du contact avec la surface. Le plongeon se fait d'une quinzaine de mètres de hauteur. Avec un corps taillé en fuseau, les ailes tendues vers l'arrière, il fend le liquide comme la pointe d'une lance pour capturer les poissons dont il se nourrit. Fou à pieds bleus, Sula nebouxii excisa, oiseau de mer palmipède des mers tropicales.

© Yves Vallier

<b>Caprimulgus macrurus.</b> Il est orfèvre dans l'art du mimétisme. Discret et immobile au point qu'un être humain peut passer à quelques cm de lui sans le lever. Oiseau nocturne, il capture principalement des insectes en vol. Engoulevent de Horsfield, roi du mimétisme.

© Yves Vallier

<b>Cyclorrhynchus psittacula.</b> Appelé aussi Starique perroquet. Oiseau de mer qui mesure 25 cm environ. Il se nourrit de petits poissons qu'il capture exclusivement au large. Alque ou Starique perroquet, oiseau de mer, mers de Béring, d'Okhostk de l'océan Pacifique nord.

© Yves Vallier

<b>Capture.</b> Iles Féroé, Atlantique nord, juillet. Au passage du macareux, le chasseur tend une perche longue de 3,50 m, terminée par un filet. L'oiseau se prend dans les mailles. Aussitôt, le chasseur s'en saisit et lui tord le cou promptement. Capture des Macareux aux îles Féroé.

© Yves Vallier

<b>Le piège.</b> Les premiers oiseaux capturés vont servir d'"appelants". Empalés sur des pics en bois, ils sont ensuite disposés autour du chasseur, afin de rassurer les autres. Chasse des Macareux aux îles Féroé.

© Yves Vallier

<b>La récolte.</b> Une cinquantaine d'oiseaux capturés par jour et par chasseur. Cela fait un commerce. Chasse des macareux aux îles Féroé.

© Yves Vallier

<b>Le butin.</b> Combien sur une saison? Difficile d'évaluer, car cette chasse est tout de même très discrète. Quelques dizaines de chasseurs, cela peut faire quelques milliers d'oiseaux capturés par jour, soit entre 150 et 200.000 par saison. Chasse des macareux aux îles Féroé.

© Yves Vallier

<b>La victime.</b> Le macareux moine (ou arctique) Fratercula arctica, mesure 30 cm environ, pour un poids de 400 g et une envergure de 60 cm. Il ne pond qu'un seul oeuf ; l'incubation dure 43 jours. Il se nourrit de poissons qu'il capture en plongeant de la surface de l'eau. Famille des Alcidés, les premières victimes des marées noires. L'espèce avait été pratiquement décimée en Bretagne lors des marées noires de 1967 et 1978, et il a fallu importer des individus de l'île de Mykines aux Féroé pour repeupler la réserve des 7 îles au large de Perros Guirrec. Chasse des macareux aux îles Féroé.

© Yves Vallier

<b>Partage.</b> Cette capture est profondément encrée dans les moeurs des insulaires et ainsi, des troupes de 50 à 300 individus sont décimées, jusqu'au dernier. Chasse des Globicéphales aux îles Féroé.

© Yves Vallier

<b>Mycteria ibis.</b> Tanzanie. Une fois le poisson capturé, le Tantale le fait sauter entre ses mandibules de façon à l'avaler la tête la première, soit dans le sens des écailles. Tantale ibis, échassier de l'Afrique, Tanzanie.

© Yves Vallier

<b>Caprimulgus climacurus.</b> Sénégal. Il se tient à terre durant la journée. Oiseau nocturne, il possède des vibrisses raides, implantées aux coins des mandibules, qui constituent des organes tactiles lui servant à capturer les insectes au vol dans la nuit. Homochromie, Engoulevent à longue queue, Caprimulgus climacurus.

© Yves Vallier

<b>Falco peregrinus.</b> Jura. Rapace de corpulence moyenne : masse 550-650 g pour le mâle, 800-1100g pour la femelle. Longueur 35-40 cm pour le mâle, 40-50 cm pour la femelle. Envergure 70-85 cm pour le mâle, 95-110 cm pour la femelle. En Europe, ses effectifs sont estimés entre 7 et 8000 couples. Il se nourrit essentiellement d'oiseaux. Les proies sont capturées en plein vol à la suite d'une attaque à grande vitesse en piqué, ailes fermées. La réussite est d'une prise pour 4 à 6 attaques au dessus de l'eau et 15 à 20 attaques au dessus de forêts. Espèce répandue sur tous les continents à l'exception de l'Antarctique et de quelques îles des océans Indien et Pacifique. L'espèce est protégée en France et dans tous les pays industrialisés. (sources : René-Jean Monneret) Faucon pèlerin, Falco peregrinus, Jura et vallée du Rhône, sources René-Jean Monneret.

© Yves Vallier

<b>Hirundo rustica.</b> France. Espèce commune en Europe. Nourriture essentiellement constituée d'insectes capturés en vol : mouches, taons... Retour dans nos régions en avril, ponte fin du mois, 5 oeufs. Les hirondelles commencent leur migration fin août vers l'Afrique tropicale. Elles peuvent couvrir entre 2 et 3000 km par jour et accomplissent des voyages de plus de 10.000 km. L'hirondelle peut vivre une douzaine d'années. Hirondelle de cheminée. Hirundo rustica.

© Yves Vallier

<b>Circaetus gallicus.</b> France. Rapace de 1,70 m d'envergure. Doté d'une vue très performante il s'est spécialisé dans la capture des serpents, vipères ou couleuvres, qu'il repère en planant à une hauteur assez importante. L'oeuf unique et énorme est incubé durant 47 jours et le poussin sera nourri au nid environ 2 mois et demi avant de prendre son envol. Circaète Jean le Blanc. Circaetus gallicus. Rapace européen spécialisé dans la capture de serpents.

© Yves Vallier

<b>Merops apiaster.</b> Mâle. Charente. Originaire d'Afrique, cet oiseau haut en couleurs est venu depuis une cinquantaine d'années peupler nos régions, du sud d'abord, puis jusqu'aux abords de Paris. Agile en vol, il alterne battements d'ailes, glissades, accélérations, vire-voltages. C'est un chasseur spécialisé dans la capture d'hyménoptères, guêpes, abeilles, frelons qu'il saisit en vol. Il les frappe ensuite à l'aide du bec contre une branche et les débarasse de leur dard avant de les avaler. Gêpier d'Europe mâle. Merops apiaster. avec libellule dans le bec.

© Yves Vallier

<b>Bubo bubo.</b>  Cévennes. Le plus gros des rapaces nocturnes. Taille 65 cm pour une envergure de 1,80 m et un poids de 2,5 kg environ. Le régime alimentaire est adapté au site dans lequel il niche : rats, hérissons, poissons dont on retrouve les restes dans les pelotes mesurant une dizaine de cm. Il capture également des canards, gallinacés. Redoutable prédateur de rapaces nocturnes ou diurnes qu'il arrache des branches dans ses serres extrêments puissantes lors de vols de nuit . Hibou grand duc poussin. Le plus gros rapace nocturne.

© Yves Vallier

<b>Ciconia ciconia.</b> Charente. Cet échassier populaire arpente les prairies humides, les marécages où il capture les grenouilles, petits rongeurs, taupes et reptiles qui composent son menu. Le couple est uni pour la vie et réoccupe chaque année le même nid qu'il restaure dès son arrivée en mars. Il peut atteindre ainsi jusqu'à 2 m de hauteur. Les 4 oeufs sont couvés durant 1 mois. Les jeunes s'envolent 2 mois plus tard. Les cigognes se rassemblent dès août et gagnent l'Afrique pour hiverner. L'espèce avait presque disparu de l'exagone, mais peuple à nouveau plusieurs régions de France. Cigognes blanches couple. Ciconia ciconia . Echassier de Charente

© Yves Vallier

<b>Tyto alba.</b> Chez les rapaces, les pattes servent à se défendre, capturer, tenir, tuer parfois. La force dans les serres peut-être considérable chez certaines espèces : Gérard Ménatory relate dans un de ses livres la décapitation d'un chat par un simple coup de patte d'aigle royal. Un vétérinaire qui manipulait, pour le soigner, un grand duc blessé a eu l'avant bras transpercé par son "pouce". Pour construire son nid, l'aigle royal casse des branches en plongeant, serres en avant. Pattes de Chouette effraie rapace nocturne. Tyto alba.

© Yves Vallier

<b>Bubo bubo.</b> Les sucs digestifs des nocturnes ne contenant pas d'acide chlorhydrique, les poils, os et plumes sont rejetés régulièrement dans les pelotes. Ce grand rapace nocturne adapte son régime alimentaire selon les lieux de nidification. Il capture la nuit les oiseaux branchés, des rats dans les décharges, des hérissons, des batraciens et des poissons parfois. Grand duc. Bubo bubo. Rapace nocturne.

© Yves Vallier

<b>Falco peregrinus.</b> Restes d'un lardoir. Ornithophage, le faucon pèlerin est donc un spécialiste de la capture des oiseaux. Les proies sont capturées en plein vol à la suite d'une attaque à grande vitesse. Le taux de réussite des attaques varie selon l'expérience de l'oiseau, la période de l'année et l'environnement. La taille des proies s'échelonne de celle de la mésange, à celle du pigeon ramier. Rarement plus grosse. Le mâle 1/3 plus petit que la femelle chasse les petites proies, la femelle les plus corpulentes. (sources : René-Jean Monneret) Faucon pèlerin. Falco peregrinus. Rapace spécialisé dans la chasse de haut vol.

© Yves Vallier

Le campagnol a été capturé.  
 
 Bretagne ,mammifère, renard

© Jacky Bernard

Différentes attitudes, photographiées lors du réveil de la bécasse. L'un des clichés dévoile l'incroyable élasticité de la partie supérieure du bec, ce qui en fait un excellent instrument de préhension pour la capture des lombrics. Forêt, bécasse des bois, Bretagne, mimétisme

© Jacky Bernard

Le Fennec est aussi appelé Renard des sables. Il peuple les déserts du nord de l'Afrique. Il vit dans un terrier, creusé dans le sable jusqu'à 2 mètres de profondeur, pour ramener la température de 70 à 30° C. Ses longues oreilles lui permettent de repérer les plus petits bruits émis par ses proies préférées : les rongeurs, petits oiseaux et insectes. Sa capture est interdite. La différence de température entre le Sahara et l'Europe peut provoquer chez l'animal un trouble de la thyroïde. fennec,renard,sables.

© Jean-Claude FOURNIER

On peut rencontrer ce félin au sud-est des Etats-Unis, en Amérique centrale et du sud. Il vit solitaire dans la jungle épaisse, près de l'eau.
Il chasse ses proies sur le sol, mais capture aussi poissons et tortues dans les rivières. La population des Jaguars est estimée à 15 000 individus.
 jaguar.

© Jean-Claude FOURNIER

(Alcedo cristata) Cet oiseau se rencontre aux points d'eau, souvent perché sur des roseaux. Son vol est rapide, au ras de l'eau. Il plonge pour capturer ses proies, revient se percher, tue le poisson et l'avale.
Sur cette vue, le Martin-pêcheur huppé tient en son bec une larve... martin,pecheur,huppe,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Podiceps auritus) Le Grèbe esclavon - ici avec son plumage nuptial - niche sur le bord des lacs et des étangs. Il se nourrit d'insectes qu'il capture à la surface de l'eau. Il construit un nid flottant avec des plantes aquatiques. Une nichée par an (entre mai et septembre) : 3 à 6 œufs. grebe,esclavon,myvatn,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

(Gavia immer) Le Plongeon imbrin capture ses proies sous l'eau, à une profondeur de 10 à 12 mètres. Il se nourrit d'espèces marines (morue, hareng, églefin, merlan, grondin...) mais aussi d'espèces d'eau douce (gardon, poisson-chat, truite, saumon...). La population européenne de cet oiseau est estimée à 300 couples et fait l'objet d'une protection par la Convention de Berne depuis 2002... plongeon,imbrin,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

(Phalacrocorax africanus) Il est deux fois plus petit que le Grand Cormoran. C'est plutôt un oiseau solitaire qui se nourrit de poissons capturés au cours de plongées plus ou moins profondes. Il pêche environ trois heures par jour et passe le reste du temps à se prélasser au soleil et à sécher ses plumes. Il niche en fin de saison des pluies, sur le sol, dans la végétation dense et les roseaux. Les deux parents couvent deux ou trois œufs pendant un mois. Les petits commencent à voler à cinq ou six semaines... cormoran,africain,baringo,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

L'Iguane vert, appelé aussi Iguane commun, est un gros lézard arboricole et herbivore qui peut atteindre 2 mètres de longueur à l'âge adulte. Les iguanes femelles sont plus gros que les mâles. Les iguanes passent la plupart de leur temps à paresser sur une branche d'arbre. Ils consomment des insectes et des araignées lorsqu'ils sont jeunes puis en grandissant des feuilles et des plantes... Les femelles pondent entre 20 et 70 œufs par an... Cette espèce n'est pas menacée au Brésil, mais dans certains pays comme le Mexique, l'Iguane vert est capturé pour devenir animal de compagnie !!! iguane,vert,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Busarellus nigricollis) Présent dans les zones humides, ce rapace chasse à l'affût, guettant ses proies à partir d'un perchoir bas. Il se nourrit de poissons, d'escargots et d'insectes aquatiques. Il capture aussi des lézards et des rongeurs. C'est un oiseau sédentaire. Son mode de reproduction est peu connu. On sait que la femelle dépose un ou deux œufs... buse,tete,blanche,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Luscinia svecica) La Gorge-bleue à miroir vient de capturer une sauterelle. gorge,bleue,miroir,france.

© Jean-Claude FOURNIER

(Coracias benghalensis) Le Rollier indien se poste sur des branches d'arbres, sur les fils téléphoniques ou poteaux de clôture, d'où il plonge vers le sol pour capturer ses proies. Il se nourrit d'insectes. Il a aussi la capacité de plonger comme un Martin-pêcheur ou de happer les poissons à la surface de l'eau... rollier,indien,inde.

© Jean-Claude FOURNIER

(Coracias caudata) Rollier à longs brins. rollier,longs,brins,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Bucorvus cafer) Le Calao terrestre capture ses proies au sol, se nourrissant de rongeurs, lièvres, serpents, lézards, crapauds, escargots... Il vole vers les feux de brousse pour chasser les animaux en fuite.l calao,terrestre,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

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© Jean-Claude FOURNIER

Le Caracal est considéré comme le plus féroce des petits félins d'Afrique. Il peut tuer des antilopes bébés ou adolescentes par étouffement, en les prenant à la gorge ou au museau. Il saute aussi très haut et peut capturer des damans des rochers et des oiseaux en vol tels des pigeons et des gangas.... caracal,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

(Lanius isabellinus) Cet oiseau fréquente les zones buissonneuses des régions désertiques ou semi-désertiques. Il capture des petits mammifères qu'il empale sur une épine ou un fil de fer barbelé avant de les consommer... pie,grieche,isabelle,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

(Ceryle rudis) C'est un martin pêcheur en livrée noire et blanche, que l'on rencontre au bord de l'eau, perché sur une branche ou un poteau. Il se nourrit de poisson qu'il capture dans la rivière, rapporte sur son perchoir, le frappant jusqu'à l'assommer avant de l'avaler. Il se délecte aussi d'insectes. alcyon,pie,Kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

Il est spécialisé dans la capture des serpents qu'il tue en les frappant du pied, doigts repliés pour former un poing. Mais il se nourrit aussi de sauterelles, lézards, rongeurs et poussins et son jabot lui sert à rapporter la nourriture au nid.

© Jean-Claude FOURNIER

(Alcedo cristata) Il s'agit d'un adulte. Le juvénile a le bec noir. Il se nourrit de crevettes, crabes et de larves d'insectes. Posté en bordure du lac, le Martin-pêcheur est en éveil. Sa technique de pêche : une fois la proie repérée, il plonge, la capture, la raméne à son perchoir et l'achéve en la frappant... martin,pecheur,huppe,baringo,kenya,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

(Polemaetus bellieosus) C'est un chasseur redoutable. Du haut de cet arbre mort, il observe la nature environnante prêt à fondre sur sa proie. Il capture des mangoustes, diks-diks, lièvres, jeunes gazelles, rongeurs, oies d'égypte... Sur cette vue, on peut remarquer sa capacité à tourner la tête à 180 degrés pour regarder derrière lui.. aigle,martial,samburu,kenya,afrique.

© Jean-Claude FOURNIER

(Fratercula arctica) Le Macareux est l'oiseau emblématique de l'Islande. Officiellement, l'espèce est protégée. Pourtant, une tradition survit, notamment dans les îles Vestmanneyjar, celle de la chasse aux Macareux, destinée à alimenter de magrets très goûteux, les meilleures tables de  Reykjavik. A l'aide de filets triangulaires, attachés au bout de longues cannes en fibre de verre, les chasseurs capturent les Macareux en vol au bord des falaises. Le prélèvement serait limité à 2 % de la population présente sur le site. Cette tradition remonte à la nuit des temps et correspondait aux périodes de famine. Aujourd'hui, elle n'a plus guère de sens... latrapjarg,macareux,moine,islande.

© Jean-Claude FOURNIER

(Uria aalge) Hors période de reproduction, où il s'occupe de son petit, (comme sur cette image) le Guillemot de Troïl passe sa vie en haute mer, se nourrissant de poissons (harengs, morues, merlans, maquereaux...) qu'il capture en plongeant, parfois jusqu'à 150 mètres !!! farne,archipel,guillemot,troil,angleterre.

© Jean-Claude FOURNIER

(Bucorvus cafer). Le Calao terrestre, comme son nom l'indique vole peu et marche beaucoup. Il capture ses proies au sol : rongeurs, lièvres, serpents, lézards, crapauds, escargots et gros insectes... calao,terrestre,masai,mara,kenya.

© Jean-Claude FOURNIER

(Anodorhynchus hyacinthinus) Ce magnifique oiseau, au plumage bleu-cobalt, est menacé de disparition. En quelques années, la population mondiale est passée de 100 000 à 3000 individus. Les causes de ce déclin : la dégradation de son habitat, la capture et la commercialisation de cet oiseau considéré comme un très agréable animal de compagnie... ara,hyacinthe,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Galbula ruficauda) De la famille des Guêpiers, le Jacamar à queue rousse est un magnifique oiseau, très coloré, qui se nourrit d'insectes capturés en vol... jacamar,queue,rousse,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Monasa nigrifons) Habitant des zones humides, cet oiseau se distingue par sa façon de chasse. Il capture ses proies dans les airs : papillons et termites ailés... Mais il se nourrit aussi d'arthropodes et petits lézards. La femelle pond 3 œufs. L'espèce n'est pas menacée. barbacou,unicolore,pantanal,bresil.

© Jean-Claude FOURNIER

(Sula granti) C'est dans l'île de Genovesa que l'on peut le mieux observer le Fou à pattes rouges. On dénombre 140 000 couples sur les 200 000 recensés dans l'archipel.
Cet oiseau est paré d'un long bec bleu et rose qui lui confére beaucoup d'allure.
Excellent pêcheur, il part au large, souvent pour la journée, pour trouver du poisson et il n'a pas son pareil pour capturer des poissons volants... Il est capable de plonger en piqué jusqu'à 20 mètres. fou,pattes,rouges,galapagos,equateur.

© Jean-Claude FOURNIER

(Alcedo cristata) Cet oiseau très coloré vit au bord du lac. Il plonge pour capturer ses proies, pénétrant dans l'eau sans rider la surface, revient se percher sur les roseaux, tue le poisson et l'avale par la tête. martin,pêcheur,huppe,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

(Sagittarius serpentarius) Etrange rapace de la faune africaine. Cet oiseau vit dans la savane herbeuse et arborée. Il capture les serpents qu'il tue en les frappant du pied. Il se nourrit également de sauterelles, rongeurs, lézards, poussins... Cet oiseau doit son nom de secrétaire aux plumes de la nuque, qui rappellent la silhouette d'un secrétaire d'autrefois, plume à l'oreille. Il est aussi appelé le "messager"... Sur cette photo on peut assister à la marche d'un même pas de deux secrétaires... secretaires,serpentaires,kenya,afrique

© Jean-Claude FOURNIER

la protection de jeunes guépards est un souci permanent pour la mère; elle ne peut lutter contre les grands prédateurs ; il arrive fréquemment qu'un jeune soit capturé par une hyène en maraude guepard 
 Tanzanie

© Thierry DUVAL

Les Amblypyges sont des prédateurs ; leurs pédipalpes épineux repliés à l’avant fonctionnent comme de puissantes pattes ravisseuses destinées à capturer et maintenir les proies. Longueur des 2 pédipalpes repliés : 7 cm (Bénin). Afrique de l'Ouest 
 Amblypyge 
 Amblypygi 
 Arachnida 
 Arachnides 
 Arthropoda 
 Bénin 
 Chelicerata 
 Chélicérates 
 Phrynes 
 arthropode 
 cavernicole 
 grotte 
 souterrain 
 troglophile

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Les pédipalpes épineux repliés à l’avant du corps fonctionnent comme de puissantes pattes ravisseuses destinées à capturer et maintenir les proies. Chez cet Amblypyge (Damon medius) qui vient de muer, elles ne sont pas encore pigmentées. Longueur des 2 pédipalpes repliés : 7 cm (Bénin). Afrique de l'Ouest 
 Amblypyge 
 Amblypygi 
 Arachnida 
 Arachnides 
 Arthropoda 
 Bénin 
 Chelicerata 
 Chélicérates 
 Phrynes 
 arthropode 
 cavernicole 
 grotte 
 souterrain 
 troglophile
Damon medius

© Jerôme et Laurent TRIOLET

Cet Aigle des steppes vient de capturer une pintade et la plume vivante Aigle des steppes ; oiseau ; capturer ; pintade ; plumer ; manger ; savane ; Etosha ; Namibie

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

Calao terrestre tenant dans son bec un oisillon Calao terrestre ; oiseau ; capturer ; proie ; savane ; bucorve ; Kruger ; Afrique du Sud ; manger

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

Capture d'un insecte Jacana africain ; capture ; manger ; insecte ; savane ; eau ; Kruger ; Afrique du Sud

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

Jabiru du Sénégal capturant un poisson Jabiru ; capturer ; manger ; piscivore ; poisson ; eau ; savane ; Kruger ; Afrique du Sud

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

 Aningha ; oiseau ; poisson ; capture ; pêche ; manger ; piscivore: eau ; savane ; Kruger ; Afrique du Sud

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

guêpier à front blanc capturant un papillon guêpier ; papillon ; capturer ; vol ; manger ; savane ; Kruger ; Afrique du Sud

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

Crocodile ayant capturé un poisson chat. Kruger N.P. Afrique du Sud

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

Rollier à longs brins venant de capturer une sauterelle
PN de Kruger (avril)
RSA rollier, coracias caudata, insecte, capturer, bec, afrique,

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

PN de KRUGER - AFRIQUE DU SUD pygargue, afrique, capturer, poisson, voler, serres, eau, pêcher

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

PN de KRUGER - AFRIQUE DU SUD pygargue, poisson, voler, capturer, pêcher, serre, afrique

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

Capture d'un insecte. Kruger N.P.   R.S.A. calao, insecte, libellule, bec, capturer, nourriture, afrique

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

Héron cendré venant de capturer un insecte ailé
PN de Kruger RSA héron cendré, insecte, capturer, attraper, bec, afrique

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

Crécerelle aux yeux blancs ramenant une proie au nid crécerelle ; oiseau ; rapace ; proie ; capturer ; manger ; savane ; Etosha ; Namibie ; Afrique

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

Guêpier ayant capuré un papillon Guêpier ; papillon ; capturer ; manger ; insectivore ; oiseau ; désert ; Kalahari ; Kgalagadi ; Afrique du Sud

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

Martin-pêcheur ayant capturé un insecte Martin-pêcheur ; capturer ; insctivore ; manger ; oiseau ; eau ; savane ; Kruger ; Afrique du Sud

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

Vanneau à tête blanche ayant capturé un insecte Vanneau ; oiseau ; insectivore ; capturer ; manger ; savane ; eau ; Kruger ; Afrique du Sud

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

Alcyon géant ayant capturé un poisson Alcyon ; martin-pêcheur ; poisson ; capturer ; manger ; pêcher ; eau ; savane ; Kruger ; Afrique du Sud

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

Pêche d'un Aningha Aningha ; oiseau ; piscivore ; pêcher ; manger ; capturer ; eau ; savane ; Kruger ; Afrique du Sud

© Brigitte MARCON Jean-Jacques ALCALAY

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Nom anglais : European tree frog
<br>Bien qu'ayant des mœurs principalement nocturnes et crépusculaires, la Rainette verte aime prendre des bains de soleil de plusieurs heures, exposée sur des branches ou sur la végétation basse, mais toujours à proximité d'un point d'eau. Cependant, en période caniculaire, elle préfèrera un trou sous terre. Il n'est pas rare de trouver une petite Rainette au jardin, près d'une petite mare, voire dans la gamelle du chien. 
<br>La Rainette verte hiberne d'octobre à mars, soit dans la vase, soit dans une cachette comme une cavité de pierres ou sous un tas de feuilles mortes.

<br>Son régime alimentaire est essentiellement constitué d'insectes volants, mais aussi de vers, de larves, d'araignées et de petits vertébrés. La Rainette capture ses proies à l'aide de sa langue qu'elle projette en avant.
<br><br>Photo réalisée en France, dans l'Allier (Auvergne)
<br><br> Rainette verte
Hyla arborea 
European tree frog
Allier
Auvergne
nocturne
crépusculaire
eau

© Monique Morin

<br><br>Contrairement à certaines idées reçues, le Loup italien (Canis lupus italicus) n'a pas été réintroduit en France. C'est par l'Italie qu'il est revenu tout naturellement il y a une vingtaine d'année.
<br>Il se trouve sur la Liste Rouge des mammifères continentaux de France métropolitaine  dans la catégorie "Espèces menacées de disparition". De ce fait, il est bon de rappeler les engagements pris par la France pour la protection de celui-ci :
<br><br>Le Loup est protégé : 
<br>- De portée Internationale. Il est inscrit dans la Convention de Washington (CITES)
<br>- De portée Communautaire. 
<br>          - 1) Il fait partie des espèces prioritaires de la Directive Habitats-Faune-Flore : Annexes II et IV 
<br>          - 2) Par l'Annexe II de la Convention de Berne (relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l'Europe)
<br>                signée par l’État français en 1993.
<br>- De portée nationale. Il se trouve à l'Article 2 de la Liste des mammifères terrestres protégés sur l'ensemble du territoire français.
<br><br>Que nous dit entre autre cet article ?
<br>Il stipule que :
<br><br>I. - Sont interdits sur tout le territoire métropolitain et en tout temps la destruction, la mutilation, la capture ou l'enlèvement, la perturbation intentionnelle des animaux dans le milieu naturel.
<br><br>Aujourd'hui, la France se rend une fois de plus hors-la-loi. 

<br><br> Loup gris
Canis lupus
Louve "alpha"
tuée
tir de prélèvement
couple "alpha"
meute
5 louveteaux
l'état

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais du Grèbe huppé : Great Crested Grebe
<br><br>Le plus grand de tous les grèbes, le Grèbe huppé ne présente pas de dimorphisme sexuel et il est difficile de distinguer le mâle de la femelle.
<br><br>Cet oiseau élégant a longtemps été chassé pour ses plumes, surtout celles de la poitrine et de la tête, qui étaient utilisées entre autres comme ornement de chapeau. L'arrêt de sa chasse à permit à l'espèce de se rétablir.
<br><br>Bien que ne figurant pas dans la liste des espèces menacées en Europe, le Grèbe huppé est classé dans l'annexe III de la Convention de Berne depuis le 01/03/2002.
<br>Il bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, et de détruire, altérer ou dégrader son milieu. Qu'il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l'utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l'acheter.
<br><br>En conséquence, le Grèbe huppé est protégé de portée :
<br><br>Internationale :
<br>- Convention relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l'Europe (Convention de Berne) : Annexe III
<br>- Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (CMS - Convention de Bonn) : Accord AEWA [1999]
<br><br>Nationale :
<br>- Liste des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire et les modalités de leur protection : Article 3
<br><br>Le Grèbe huppé se trouve sur :
<br>- La Liste rouge mondiale de l'UICN (évaluation 2016)  : LC
<br>- La Liste rouge des oiseaux nicheurs de France métropolitaine (2016) : LC
<br>- La Liste rouge européenne de l'UICN (évaluation 2015)  : LC
<br><br>
 Grèbe huppé
Podiceps cristatus
Geat Crested Grebe
oiseau
plumes
chasse
protégé
territoire français
Liste rouge
UICN

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais du Grèbe huppé : Great Crested Grebe
<br><br>Le plus grand de tous les grèbes, le Grèbe huppé ne présente pas de dimorphisme sexuel et il est difficile de distinguer le mâle de la femelle.
<br><br>Cet oiseau élégant a longtemps été chassé pour ses plumes, surtout celles de la poitrine et de la tête, qui étaient utilisées entre autres comme ornement de chapeau. L'arrêt de sa chasse à permit à l'espèce de se rétablir.
<br><br>Bien que ne figurant pas dans la liste des espèces menacées en Europe, le Grèbe huppé est classé dans l'annexe III de la Convention de Berne depuis le 01/03/2002.
<br>Il bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, et de détruire, altérer ou dégrader son milieu. Qu'il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l'utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l'acheter.
<br><br>En conséquence, le Grèbe huppé est protégé de portée :
<br><br>Internationale :
<br>- Convention relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l'Europe (Convention de Berne) : Annexe III
<br>- Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (CMS - Convention de Bonn) : Accord AEWA [1999]
<br><br>Nationale :
<br>- Liste des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire et les modalités de leur protection : Article 3
<br><br>Le Grèbe huppé se trouve sur :
<br>- La Liste rouge mondiale de l'UICN (évaluation 2016)  : LC
<br>- La Liste rouge des oiseaux nicheurs de France métropolitaine (2016) : LC
<br>- La Liste rouge européenne de l'UICN (évaluation 2015)  : LC
<br><br>
 Grèbe huppé
Podiceps cristatus
Geat Crested Grebe
oiseau
plumes
chasse
protégé
territoire français
Liste rouge
UICN

© Monique Morin

<br><br>Nom anglais du Grèbe huppé : Great Crested Grebe
<br><br>Les juvéniles de Grèbe huppé sont reconnaissables grâce à des bandes noires sur la tête, les joues et le cou. Ils ne possèdent pas encore de huppe. Leur corps est grisâtre.
<br><br>Le Grèbe huppé adulte, qu'il soit mâle ou femelle (il ne présente pas de dimorphisme sexuel), a longtemps été chassé pour ses plumes, surtout celles de la poitrine et de la tête, qui étaient utilisées entre autres comme ornement de chapeau. L'arrêt de sa chasse à permit à l'espèce de se rétablir.
<br><br>Bien que ne figurant pas dans la liste des espèces menacées en Europe, le Grèbe huppé est classé dans l'annexe III de la Convention de Berne depuis le 01/03/2002.
<br>Il bénéficie d'une protection totale sur le territoire français depuis l'arrêté ministériel du 17 avril 1981 relatif aux oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire. Il est donc interdit de le détruire, le mutiler, le capturer ou l'enlever, de le perturber intentionnellement ou de le naturaliser, ainsi que de détruire ou enlever les œufs et les nids, et de détruire, altérer ou dégrader son milieu. Qu'il soit vivant ou mort, il est aussi interdit de le transporter, colporter, de l'utiliser, de le détenir, de le vendre ou de l'acheter.
<br><br>En conséquence, le Grèbe huppé est protégé de portée :
<br><br>Internationale :
<br>- Convention relative à la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel de l'Europe (Convention de Berne) : Annexe III
<br>- Convention sur la conservation des espèces migratrices appartenant à la faune sauvage (CMS - Convention de Bonn) : Accord AEWA [1999]
<br><br>Nationale :
<br>- Liste des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire et les modalités de leur protection : Article 3
<br><br>Le Grèbe huppé se trouve sur :
<br>- La Liste rouge mondiale de l'UICN (évaluation 2016)  : LC
<br>- La Liste rouge des oiseaux nicheurs de France métropolitaine (2016) : LC
<br>- La Liste rouge européenne de l'UICN (évaluation 2015)  : LC
<br><br>
 Grèbe huppé
Podiceps cristatus
Geat Crested Grebe
juvéniles
oiseau
plumes
chasse
protégé
territoire français
Liste rouge
UICN

© Monique Morin

Pêche à la crevette sterne pierregarin, sterna hirundo, laridae, oiseau, France

© Daniel MAILLARD

 sterne hansel, Gelochelidon nilotica, laridae, oiseau, Camargue, France

© Daniel MAILLARD

mouette ayant capturé un coléoptère pour nourrir son oisillon Mouette mélanocéphale, Larus melanocephalus, laridae, oiseau, Camargue, adultes

© Daniel MAILLARD

 sterne hansel, Gelochelidon nilotica, laridae, oiseau, Camargue, France

© Daniel MAILLARD

 sterne hansel, Gelochelidon nilotica, laridae, oiseau, Camargue, France

© Daniel MAILLARD

 sterne hansel, Gelochelidon nilotica, laridae, oiseau, Camargue, France

© Daniel MAILLARD

 sterne hansel, Gelochelidon nilotica, laridae, oiseau, Camargue, France

© Daniel MAILLARD

Scène de prédation : Larve de dytique bordé (Dytiscus marginalis) ayant capturé une aselle d'eau douce (Asellus aquaticus, Bretagne, France) prédation larve de dytique bordé

© Eddie ROY

Echasse blanche mâle (Himantopus himantopus) ayant capturé une courtilière (Gryllotalpa gryllotalpa) pour en faire son repas (Gironde, France). Échasse blanche et sa proie

© Eddie ROY

Une famille de chacals à chabraque au petit matin dans le désert du Kalahari...
Pour moi l'animal et son environnement sont profondément liés à la lumière, une intimité qui crée des moments magiques à en oublier le temps. Le désert du Kalahari offre des ambiances et des lumières qui permettent de capturer une autre image du chacal que celle du charognard nuisible. Je porte une fascination particulière pour ce prédateur hors norme et j'espère pouvoir changer la mauvaise réputation qui le poursuit à tort grâce à mes photographies. Animal 
 Mammifère 
 Chacal à chabraque 
 Canis mesomelas 
 Carnivore 
 Prédateur 
 Charognard 
 Désert du Kalahari 
 Parc Transfrontalier de Kgalagadi 
 Afrique du Sud 
 Animaux d'Afrique 
 Faune d'Afrique 
 Afrique

© Tina Malfilatre

Martin-pêcheur pie en vol stationnaire avant de plonger brusquement pour capturer sa proie. Animal 
 Oiseau 
 Martin-pêcheur pie 
 Ceryle rudis 
 Alcyon pie 
 Vol stationnaire 
 Chasse 
 Parc national Kruger 
 Animaux d'Afrique 
 Afrique du Sud 
 Afrique 
 Faune d'Afrique

© Tina Malfilatre

 

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