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Il s'agit d'un buffle observé prés de Shingwesi.Les cornes sont portées par les deux sexes.Le buffle du cap est le plus gros et son poids peut atteindre 700 kgs. mammiferes afrique buffle

© Daniel Trinquecostes

Durant notre séjour de trois semaines,nous n'avons fait qu'une seule observation de cette très grande antilope.Son poids peut atteindre 950 kgs.Les cornes sont presque droites et portent une ou deux spires.Elles sont généralement plus longues et plus minces chez les femelles. mammiferes antilope afrique eland

© Daniel Trinquecostes

sur le plateau de praslin ,existe ce paysage ou l'on pourrait imaginer voir surgir king-kong.

© Daniel Trinquecostes

le par(c kruger est situé sur le tropique du capricorne

© Daniel Trinquecostes

Proche parent du coucal du Sénégal,il supplante celui-ci dans l'aire de répartition allant de l'est de la Tanzanie jusqu'au Cap.On peut fréquemment l'observer en plein soleil queue et ailes déployées. photo coucal de burchell

© Daniel Trinquecostes

Vivant dans les forêts claires et les savanes herbeuses,ce calao est un grand marcheur qui parcourt jusqu'à dix lilométres par jour.Il se nourrit en capturant ses proies au sol.Son menu est constitué de rongeurs,serpents,reptiles,batraciens et gros insectes.Une de ses caract"ristiques est de se déplacer en volant vers les feux de brousse pour capturer les animaux fuyant l'incendie. photo calao

© Daniel Trinquecostes

Cette île qui se situe à proximité de la capitale LERWICK est un paradis pour les ornithologues. Shetlands Ile

© Daniel Trinquecostes

A l' extréme nord de Unst, il existe cette petite poste où chacun prend plaisir à poster et à faire oblitérer par le maître des lieux la carte postale pour sesamis. Il faut préciser que nous nous trouvons à 62 ° de latitude nord. Ce qui veut dire qu' à cet endroit , nous sommes plus au nord dans cet hémisphére que l' on est au sud quand on se trouve au cap Horn dans l' hémisphére sud. Shetlands Ile

© Daniel Trinquecostes

Demi tonneau renversé avec capture dans le mouvement TICHODROME ECHELETTE TICHODROMADIDES OISEAUX PHOTOGRAPHIE DE FAUNE SAUVAGE ET DE NATURE que-nature-vive Daniel TRINQUECOSTES

© Daniel Trinquecostes

En haut de la chute,l'oiseau résiste au courant.Ses longs doigts lui donne une grande capacité ppour s'accrocher solidement sur le fond de l'eau. CINCLE PLONGEUR Oiseaux PHOTOGRAPHIE DE CINCLE PLONGEUR PHOTOGRAPHIE de NATURE et de FAUNE SAUVAGE Daniel TRINQUECOSTES Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Pour compléter ce fil, fin février j'ai tenté une sortie pour voir les hiboux des marais et essayer de les saisir au vol comme l'avait fait mon ami photographe Ô-live ( c'est son surnom )! J'arrive donc sur les lieux une bonne heure avant celle présumée de leur envol et roule doucement sur la petite départementale. Je sais que le coin est bien fréquenté par les lièvres et suis donc attentif . Je fais bien car j'en apperçois un en train de brouter à une quinzaine de métres de la route. Je m'arrête un peu tardivement mais il ne bouge pas. Je décide donc de faire tranquillement une boucle pour pouvoir mieux me positionner, sans trop d'espoir car ils n'apprécient guère que l'on s'arrête pour leur tirer le portrait ! Me voilà donc de retour et calcule mieux cette fois la position adéquate pour essayer de faire quelques clichés. Le 7 d et le 500 mm sont prêts et la glace baissée..... Je stoppe tout doucement et ne coupe pas le moteur..... Il ne s'occupe pas de moi.... Clic clac quelques photos ..... N'étant pas satisfait de ma position je bouge le véhicule, coupe le moteur et suis extrèmement surpris de voir que mon capucin est toujours aussi tranquille ! La séance durera 30 mns sans qu'il ne change quoi que ce soit à son activité de nourrissage ! L' herbe devait êre bonne ! LIEVRE PHOTOGRAPHIE de LIEVRE Mammifères PHOTOGRAPHIE de NATURE et de FAUNE SAUVAGE Daniel TRINQUECOSTES Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Après la capture d'un poisson. GREBE HUPPE OISEAUX Photographe naturaliste Photographie de nature et de faune sauvage Daniel TRINQUECOSTES Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

Cet oiseau a une capacité extraordinaire pour résister au courant. Il est sur cette image sur le déversoir du bief. CINCLE PLONGEUR Oiseaux PHOTOGRAPHIE DE CINCLE PLONGEUR PHOTOGRAPHIE de NATURE et de FAUNE SAUVAGE Photographe naturaliste Daniel TRINQUECOSTES Que nature vive

© Daniel Trinquecostes

<center> Dans ce thème "ambiance et nature de France",<br> quelques petites cartes postales de ma collection. <br> chevreuil,cervidés,mammifères

© Maurice Chatelain

<center>Délicate, élégante et gracieuse. câpre, fleur du câprier.eoliennes, île de salinavolcan

© Maurice Chatelain

<center> Emblème de l'île de Salina, la câpre en est le produit phare.<br> Elle accompagne avec délice tous les plats de la cuisine<br> éolienne, des hors-d'oeuvre à la viande en passant par<br> les succulents plats de pâtes ! La câpre en étant le bouton,<br> chaque fleur est une câpre non cueillie. Le fruit, ressemblant<br> à un cornichon, a un goût moins prononcé et surtout, moins raffiné. câpre, ile de salina,eoliennes

© Maurice Chatelain

<center> On gambade... C'est le printemps ! Forêt d'Orléans

© Maurice Chatelain

<center> J'écoute ! Seine-et-Marne

© Maurice Chatelain

<center> Encore inséparables. Forêt d'Orléans

© Maurice Chatelain

<center>Fière allure. Forêt d'Orléans

© Maurice Chatelain

<center> La brume capuchonne le village.<br> La neige tombera peut-être cette nuit... Village NEX vallée de Valsavarenche AOSTE

© Maurice Chatelain

campanule raiponce

© Maurice Chatelain

<center> Voici ce magnifique voilier au sortir de sa volière pour les soins.<br> J'en ai profité pour réaliser quelques clichés et vous montrer ainsi<br> ce qu'un humain est capable de faire sur des animaux sans défense,<br> sachant que s'il s'était agi d'un ours, il l'aurait abattu.<br> (En légitime défense, bien sûr...) Milan mutilé sur la main ganté de son soigneur.

© Maurice Chatelain

<center> <I>La fumée de trois fusils s'éleva dans la nuit.<br> Boggis, Bunce et Bear s'approchèrent du terrier.<br> Et là sur le sol, dans le rond de la lumière de la torche<br> gisaient les pauvres restes déchiquetés<br> et ensanglantés... d'une queue de Renard...</i><br> Tiré de l'ouvrage de Roald Dalh 'Fantastique Maître Renard'<br> En fait, je n'avais pas remarqué que la queue manquait <br> à ce pauvre Goupil. C'est bel et bien un acte odieux<br> dont seul un être humain est capable. Arrière train d'un Renard mort. Lui manque la queue. Acte de sauvagerie.

© Maurice Chatelain

Renard du cape femelle et ses deux jeunes. La femelle est assise. Face à ses jeunes. Lumière du soir. Kgalagadi Transfrontier Park. Namibie

© Maurice Chatelain

Elan du Cap et jeune, désert du Kalahari. Namibie.

© Maurice Chatelain

<center>La sécheresse est-elle cause de sa maigreur ? La maladie ?

© Maurice Chatelain

Panneau Tropic of Capricorn. Namibie

© Maurice Chatelain

<center>Nous mettons le cap sur la ville de Luderitz, situé sur la côte Atlantique entre mer et dunes.<br>Nous retrouvons la civilisation... Route en direction de Luderitz. Namibie.

© Maurice Chatelain

<center>Il est toujours agréable d'observer ces manchots sur leur territoire.<br> Ces oiseaux de mer sont les plus rapide sous l'eau. Manchots du cap. Ocean atlantique. Namibie

© Maurice Chatelain

<center>Rencontre avec un groupe de manchots. manchots du cap petit groupe en mer Namibie

© Maurice Chatelain

<center> Il saute du lit de bon matin, et ne part que si son esprit est net, <br> son coeur pur, son corps léger comme un vêtement d'été. <br> Il n'emporte point de provisions. Il boira l'air frais en route <br> et reniflera les odeurs salubres.<br> Il laisse ses armes à la maison et se contente d'ouvrir les yeux.<br> Les yeux servent de filets ou les images s'emprisonneront<br> d'elles-mêmes. La première qu'il fait captive est celle du chemin<br> qui montre ses os, cailloux polis, et ses ornières, veines crevées,<br> entre deux haies riches de prunelles et de mûres. <br> Il prend ensuite l'image de la rivière. Elle blanchit aux coudes<br> et dort sous la caresse de saules. Elle miroite quand un poisson<br> tourne le ventre, comme si on jetait une pièce d'argent, et, <br> dès que tombe une pluie fine, la rivière a la chair de poule.<br> Il lève l'image des blés mobiles, des luzernes appétissantes<br> et des prairies ourlées de ruisseaux. Il saisit au passage le vol<br> d'une alouette ou d'un chardonneret. Puis il entre au bois. <br> Il ne se savait pas doué de sens si délicats. Vite imprégné<br> de parfums, il ne perd aucune sourde rumeur, et, pour qu'il<br> communique avec les arbres, ses nerfs se lient aux nervures<br> des feuilles. Bientôt, vibrant jusqu'au malaise, il reçoit trop, <br> il fermente, il a peur, quitte le bois et suit de loin les paysans<br> mouleurs regagnant le village. Dehors, il fixe un moment, <br> au point que son oeil éclate, le soleil qui se couche et dévêt<br> sur l'horizon ses lumineux habits, ses nuages répandus pêle-mêle.<br> Enfin, rentré chez lui, la tête pleine, il éteint la lampe et longuement,<br> avant de s'endormir, il se plaît à compter ses images. Dociles, <br> elles renaissent au gré du souvenir. Chacune d'elles en éveille<br> une autre, et sans cesse leur troupe phosphorescente s'accroit<br> de nouvelles venues,comme des perdrix poursuivies et divisées <br> tout le jour chantent le soir, à l'abri du danger, et se rappellent<br> aux crues des sillons. ( Jules Renard 1896) Jules Renard écrivain français. Histoires Naturelles lithographie de Henri de Toulouse Lautrec. 1896. PRESSES UNIVERSITAIRES DE FRANCE. COLLECTION SOURCES.

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

© Maurice Chatelain

<center> Résident commun.<br> Solitaire ou par paire en période de reproduction.

© Maurice Chatelain

Loïc VAISSIERE faune oiseaux passereaux muscicapidés adultes males profils poses lichens habitat portraits iles archipels mousa shetland ecosse royaume unis

© A&L Vaissiere & JJ Poirault

Loïc VAISSIERE faune forets feuilles feuillages repos portraits couches sols dos adultes seul solitaires mimetismes oiseaux terrestres caprimulgides marais keoladeo park bharatpur rajasthan inde asie

© A&L Vaissiere & JJ Poirault

Loïc VAISSIERE faune arbres surveillances poses troncs profils adultes portraits seul solitaires oiseaux passereaux muscicapides keoladeo park bharatpur rajasthan inde asie

© A&L Vaissiere & JJ Poirault

Loïc VAISSIERE faune arbres surveillances poses branches profils adultes portraits seul solitaires oiseaux passereaux muscicapides keoladeo park bharatpur rajasthan inde asie

© A&L Vaissiere & JJ Poirault

Loïc VAISSIERE faune arbres surveillances poses branches profils adultes portraits seul solitaires oiseaux terrestres passereaux muscicapidés keoladeo park bharatpur rajasthan inde asie

© A&L Vaissiere & JJ Poirault

Loïc VAISSIERE faune oiseaux passereaux muscicapides poses sols endemiques profils adultes seul solitaires portraits forets oceans indien iles archipels cousin afrique

© A&L Vaissiere & JJ Poirault

<b>Mycteria leucocephala.</b> Grand échassier du continent indien. Perché sur ses longues jambes, il arpente les marais ou prés humides à la recherche de sa nourriture. Rapide et précis, il capture d'un coup de bec grenouilles, serpents ou poissons passant à sa portée. Tantale indien ou cigogne peinte grand échassier de l'Inde marais de Ranthambore

© Yves Vallier

<b>Coracias benghalensis.</b> Perché sur un poste d'observation élevé, il attend le passage d'une proie. Aussitôt qu'un insecte passe à sa portée, il quitte son poste, capture promptement en plein vol l'imprudent et regagne un autre poste d'attente. Il complète son régime de batraciens ou lézards. Rollier indien passereau de l'Inde

© Yves Vallier

<b>Ceryle rudis.</b> Vol sur place ou en "Saint esprit" afin de repérer sa proie au-dessus des rivières, étangs ou de mares stagnantes. Après la capture, il gagne un poste d'observation, assomme sa prise en la battant au sol, puis l'avale dans le sens des écailles. Martin pêcheur pie de l'Inde vol en Saint Esprit

© Yves Vallier

<b>Phalcoboenus australis.</b> Rapace que l'on trouve uniquement aux îles Falkland et sur quelques îles au large du Cap Horn ou de la pointe sud du Chili. Caracara australis, Pholcoboenus australis, rapace des îles Falkland et du Cap Horn.

© Yves Vallier

<b>Larus dominicanus.</b> Grand goéland qui habite dans toutes les mers du sud, sur tous les continents, au dessous du tropique du Capricorne. Goéland Dominicain, Larus dominicanus. Grand laridé habitant l'hémisphère sud et les îles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Mirounga leonina.</b> Véritable géant parmi les pinnipèdes, ce phoque mâle peut dépasser les 5 m. de longueur pour un poids approchant les 4 tonnes. Il peut descendre jusqu'à 600 m. de profondeur réalisant des apnées d'une vingtaine de minutes pour capturer les seiches et calmars. Eléphant de mer, Mirounga leonina, pinnipède géant de l'hémisphère sud.

© Yves Vallier

<b>Aptenodytes patagonica.</b> Mue après la période de reproduction. Il peut descendre jusqu'à 300 m. de profondeur pour capturer poissons et céphalopodes au cours d'apnées de plus de 6 minutes. Manchot royal, aptenodytes patagonica, manchot des îles Falkland et subantarctiques.

© Yves Vallier

<b>Phalcoboenus australis.</b> Agile, curieux et audacieux, il arrache les jeunes manchots ou albatros de leurs nids au cours de piqués soudains et rapides. Caracara austral, Phalcoboenus australis, rapace se trouvant uniquement aux Iles Falkland et sur quelques îlots au large du Cap Horne.

© Yves Vallier

<b>Fregata minor ridwayi.</b< Durant la saison des amours, le mâle développe une poche de chair rouge sous sa gorge afin d'attirer la femelle. Avec une envergure dépassant les 2,45 m, la frégate est particulièrement adaptée à la vie aérienne. Son plumage n'étant pas imperméable, l'oiseau ne se pose donc pas sur l'eau, mais dispose d'une grande habileté pour capturer ses proies en effleurant du bec la surface de l'onde lors de piqués accrobatiques. Grande frégate, fregata minor, oiseau de mers tropicales et des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Pyrocephalus rubinus.</b> Appelé aussi Tyran rouge, ce gobe-mouche se nourrit d'insectes capturés au vol. El Niño lui est plutôt favorable et l'incite à nicher plus souvent. Moucherolle vermillon, Tyran rouge, passereau des îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Conolophus pallidus.</b> Les iguanes terrestres se nourrissent exclusivement des fruits et des raquettes des cactus Opuntia dont ils grattent les piquants avec leurs pattes. Les jeunes capturent également des insectes. Iguane terrestre, Conolophus pallidus , espèce endémique sur l'île de Santa Fé aux îles Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Alsophis biseralis.</b> Espèce endémique. Celle-ci vient de capturer un jeune iguane marin et tente de l'avaler. L'espèce consomme des lézards des laves, des geckos, des souris et de jeunes oiseaux. Couleuvre des Galapagos, Alsophis biseralis, espèce de serpent endémique des Galapagos.

© Yves Vallier

<b>Sula nebouxii excisa.</b> Les fous sont d'excellents plongeurs équipés de coussins d'air sous les plumes du front afin d'amortir les chocs lors du contact avec la surface. Le plongeon se fait d'une quinzaine de mètres de hauteur. Avec un corps taillé en fuseau, les ailes tendues vers l'arrière, il fend le liquide comme la pointe d'une lance pour capturer les poissons dont il se nourrit. Fou à pieds bleus, Sula nebouxii excisa, oiseau de mer palmipède des mers tropicales.

© Yves Vallier

<b>Caprimulgus macrurus.</b> Il est orfèvre dans l'art du mimétisme. Discret et immobile au point qu'un être humain peut passer à quelques cm de lui sans le lever. Oiseau nocturne, il capture principalement des insectes en vol. Engoulevent de Horsfield, roi du mimétisme.

© Yves Vallier

<b>Cyclorrhynchus psittacula.</b> Appelé aussi Starique perroquet. Oiseau de mer qui mesure 25 cm environ. Il se nourrit de petits poissons qu'il capture exclusivement au large. Alque ou Starique perroquet, oiseau de mer, mers de Béring, d'Okhostk de l'océan Pacifique nord.

© Yves Vallier

<b>Capture.</b> Iles Féroé, Atlantique nord, juillet. Au passage du macareux, le chasseur tend une perche longue de 3,50 m, terminée par un filet. L'oiseau se prend dans les mailles. Aussitôt, le chasseur s'en saisit et lui tord le cou promptement. Capture des Macareux aux îles Féroé.

© Yves Vallier

<b>Le piège.</b> Les premiers oiseaux capturés vont servir d'"appelants". Empalés sur des pics en bois, ils sont ensuite disposés autour du chasseur, afin de rassurer les autres. Chasse des Macareux aux îles Féroé.

© Yves Vallier

<b>La récolte.</b> Une cinquantaine d'oiseaux capturés par jour et par chasseur. Cela fait un commerce. Chasse des macareux aux îles Féroé.

© Yves Vallier

<b>Le butin.</b> Combien sur une saison? Difficile d'évaluer, car cette chasse est tout de même très discrète. Quelques dizaines de chasseurs, cela peut faire quelques milliers d'oiseaux capturés par jour, soit entre 150 et 200.000 par saison. Chasse des macareux aux îles Féroé.

© Yves Vallier

<b>La victime.</b> Le macareux moine (ou arctique) Fratercula arctica, mesure 30 cm environ, pour un poids de 400 g et une envergure de 60 cm. Il ne pond qu'un seul oeuf ; l'incubation dure 43 jours. Il se nourrit de poissons qu'il capture en plongeant de la surface de l'eau. Famille des Alcidés, les premières victimes des marées noires. L'espèce avait été pratiquement décimée en Bretagne lors des marées noires de 1967 et 1978, et il a fallu importer des individus de l'île de Mykines aux Féroé pour repeupler la réserve des 7 îles au large de Perros Guirrec. Chasse des macareux aux îles Féroé.

© Yves Vallier

<b>Partage.</b> Cette capture est profondément encrée dans les moeurs des insulaires et ainsi, des troupes de 50 à 300 individus sont décimées, jusqu'au dernier. Chasse des Globicéphales aux îles Féroé.

© Yves Vallier

<b>Mycteria ibis.</b> Tanzanie. Une fois le poisson capturé, le Tantale le fait sauter entre ses mandibules de façon à l'avaler la tête la première, soit dans le sens des écailles. Tantale ibis, échassier de l'Afrique, Tanzanie.

© Yves Vallier

<b>Arctocephalus pusillus.</b> Namibie. Otarie à fourrure du Cap, Namibie et Afrique du sud.

© Yves Vallier

<b>Caprimulgus climacurus.</b> Sénégal. Il se tient à terre durant la journée. Oiseau nocturne, il possède des vibrisses raides, implantées aux coins des mandibules, qui constituent des organes tactiles lui servant à capturer les insectes au vol dans la nuit. Homochromie, Engoulevent à longue queue, Caprimulgus climacurus.

© Yves Vallier

<b>Rupricapra rupricapra.</b> Automne au Grand Paradis. On le trouve en montagne de 400 à 4000 m d'altitude. Les femelles se regroupent avec les jeunes en troupes parfois importantes alors que les mâles ont tendance à vivre en solitaire ou en petits groupes. Chamois en automne. Rupricapra rupricapra. Mammifère de montagnes

© Yves Vallier

<b>Falco peregrinus.</b> Jura. Rapace de corpulence moyenne : masse 550-650 g pour le mâle, 800-1100g pour la femelle. Longueur 35-40 cm pour le mâle, 40-50 cm pour la femelle. Envergure 70-85 cm pour le mâle, 95-110 cm pour la femelle. En Europe, ses effectifs sont estimés entre 7 et 8000 couples. Il se nourrit essentiellement d'oiseaux. Les proies sont capturées en plein vol à la suite d'une attaque à grande vitesse en piqué, ailes fermées. La réussite est d'une prise pour 4 à 6 attaques au dessus de l'eau et 15 à 20 attaques au dessus de forêts. Espèce répandue sur tous les continents à l'exception de l'Antarctique et de quelques îles des océans Indien et Pacifique. L'espèce est protégée en France et dans tous les pays industrialisés. (sources : René-Jean Monneret) Faucon pèlerin, Falco peregrinus, Jura et vallée du Rhône, sources René-Jean Monneret.

© Yves Vallier

<b>Hirundo rustica.</b> France. Espèce commune en Europe. Nourriture essentiellement constituée d'insectes capturés en vol : mouches, taons... Retour dans nos régions en avril, ponte fin du mois, 5 oeufs. Les hirondelles commencent leur migration fin août vers l'Afrique tropicale. Elles peuvent couvrir entre 2 et 3000 km par jour et accomplissent des voyages de plus de 10.000 km. L'hirondelle peut vivre une douzaine d'années. Hirondelle de cheminée. Hirundo rustica.

© Yves Vallier

<b>Circaetus gallicus.</b> France. Rapace de 1,70 m d'envergure. Doté d'une vue très performante il s'est spécialisé dans la capture des serpents, vipères ou couleuvres, qu'il repère en planant à une hauteur assez importante. L'oeuf unique et énorme est incubé durant 47 jours et le poussin sera nourri au nid environ 2 mois et demi avant de prendre son envol. Circaète Jean le Blanc. Circaetus gallicus. Rapace européen spécialisé dans la capture de serpents.

© Yves Vallier

<b>Merops apiaster.</b> Mâle. Charente. Originaire d'Afrique, cet oiseau haut en couleurs est venu depuis une cinquantaine d'années peupler nos régions, du sud d'abord, puis jusqu'aux abords de Paris. Agile en vol, il alterne battements d'ailes, glissades, accélérations, vire-voltages. C'est un chasseur spécialisé dans la capture d'hyménoptères, guêpes, abeilles, frelons qu'il saisit en vol. Il les frappe ensuite à l'aide du bec contre une branche et les débarasse de leur dard avant de les avaler. Gêpier d'Europe mâle. Merops apiaster. avec libellule dans le bec.

© Yves Vallier

<b>Bubo bubo.</b> Cévennes. Le plus gros des rapaces nocturnes. Taille 65 cm pour une envergure de 1,80 m et un poids de 2,5 kg environ. Le régime alimentaire est adapté au site dans lequel il niche : rats, hérissons, poissons dont on retrouve les restes dans les pelotes mesurant une dizaine de cm. Il capture également des canards, gallinacés. Redoutable prédateur de rapaces nocturnes ou diurnes qu'il arrache des branches dans ses serres extrêments puissantes lors de vols de nuit . Hibou grand duc poussin. Le plus gros rapace nocturne.

© Yves Vallier

<b>Capra ibex.</b> Grand Paradis. C'est un animal trapu et puissant qui peut peser jusqu'à une centaine de kg. Les sabots sont larges, avec des soles élastiques et spongieuses qui lui procurent une grande adhérence sur les roches. D'une agilité diabolique, le bouquetin franchit des passages sur des vires n'offrant des prises que de quelques cm seulement de largeur."Le bouquetin est un honneur, pour notre siècle, dans l'histoire de la nature" (Robert Hainard). Bouquetin des Alpes mâle adulte, Capra ibex.

© Yves Vallier

<b>Ciconia ciconia.</b> Charente. Cet échassier populaire arpente les prairies humides, les marécages où il capture les grenouilles, petits rongeurs, taupes et reptiles qui composent son menu. Le couple est uni pour la vie et réoccupe chaque année le même nid qu'il restaure dès son arrivée en mars. Il peut atteindre ainsi jusqu'à 2 m de hauteur. Les 4 oeufs sont couvés durant 1 mois. Les jeunes s'envolent 2 mois plus tard. Les cigognes se rassemblent dès août et gagnent l'Afrique pour hiverner. L'espèce avait presque disparu de l'exagone, mais peuple à nouveau plusieurs régions de France. Cigognes blanches couple. Ciconia ciconia . Echassier de Charente

© Yves Vallier

<b>Tyto alba.</b> Première victime des voitures qui la percutent en pleine nuit, car l'effraie est le seul nocturne a être ébloui par la lumière vive. Son aspect "fantomatique" et son cri plaintif faisait dire qu'il portait malheur. Ainsi, dans les campagnes, les gens capturaient cette chouette au piège à poteau, fortes mâchoires de fer disposées au sommet d'un poteau et qui se refermaient lorsque l'oiseau s'y posait. Cela lui brisait les pattes et la maintenait, suspendue, tête en bas l'entraînant dans une lente agonie. C'est alors qu'on la clouait sur les portes des granges pour "conjurer le mauvais sort". Chouette effraie, rapace nocturne

© Yves Vallier

<b>Tyto alba.</b> Chez les rapaces, les pattes servent à se défendre, capturer, tenir, tuer parfois. La force dans les serres peut-être considérable chez certaines espèces : Gérard Ménatory relate dans un de ses livres la décapitation d'un chat par un simple coup de patte d'aigle royal. Un vétérinaire qui manipulait, pour le soigner, un grand duc blessé a eu l'avant bras transpercé par son "pouce". Pour construire son nid, l'aigle royal casse des branches en plongeant, serres en avant. Pattes de Chouette effraie rapace nocturne. Tyto alba.

© Yves Vallier

<b>Bubo bubo.</b> Les sucs digestifs des nocturnes ne contenant pas d'acide chlorhydrique, les poils, os et plumes sont rejetés régulièrement dans les pelotes. Ce grand rapace nocturne adapte son régime alimentaire selon les lieux de nidification. Il capture la nuit les oiseaux branchés, des rats dans les décharges, des hérissons, des batraciens et des poissons parfois. Grand duc. Bubo bubo. Rapace nocturne.

© Yves Vallier

<b>Falco peregrinus.</b> Restes d'un lardoir. Ornithophage, le faucon pèlerin est donc un spécialiste de la capture des oiseaux. Les proies sont capturées en plein vol à la suite d'une attaque à grande vitesse. Le taux de réussite des attaques varie selon l'expérience de l'oiseau, la période de l'année et l'environnement. La taille des proies s'échelonne de celle de la mésange, à celle du pigeon ramier. Rarement plus grosse. Le mâle 1/3 plus petit que la femelle chasse les petites proies, la femelle les plus corpulentes. (sources : René-Jean Monneret) Faucon pèlerin. Falco peregrinus. Rapace spécialisé dans la chasse de haut vol.

© Yves Vallier

<b>Phalcoboenus australis.</b> Rapace rare, dont la répartition se cantonne uniquement sur quelques îlots au large du sud du Chili, du Cap Horn et aux îles Falkland. Curieux envers l'homme, il demeure un redoutable prédateur d'ouettes de Magellan, de goélands, de jeunes albatros et manchots qu'il arrache du nid lors de glissades aériennes furtives. Caracara austral. Phalcoboenus australis. rapace diurne rare habitant l'Amérique du sud et les Iles Falkland.

© Yves Vallier

<b>Rupicapra rupicapra.</b> Femelle. Chamois femelle. Rupicapra rupicapra. Mammifère de montagne. Alpes. Mercantour. Vanoise. France.

© Yves Vallier

<b>Rupicapra rupicapra.</b> Chamois femelle, Rupicapra rupicapra, Mammifère de montagne, Parc du Mercantour, Alpes française, Grand paradis, Parc de la Vanoise.

© Yves Vallier

<b>Rupricapra rupricapra.</b> Chamois, Rupricapra rupricapra, mammifère d'Europe, Parc du Mercantour, Parc de la Vanoise.

© Yves Vallier

<b>Rupicapra rupicapra.</b> Femelle en alerte. Chamois, Rupicapra rupicapra, mammifère d'Europe.

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Bouquetin mâle portrait. Capra ibex. Parc National du Mercantour. Alpes Maritimes. France.

© Yves Vallier

Sérow du japon Capricornis crispus île de Honshu au Japon.

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Cebus apella. Capucin apelle. Cebus apella. Pantanal. Brésil.

© Yves Vallier

Hydrochaeris hydrochaeris. Capybara. Hydrchaeris hydrochaeris. Le plus gros rongeur du monde. Pantanal. Brésil.

© Yves Vallier

Cebus apella. Capucin apelle. Cebus apella. Mammifère du Pantanal. Brésil.

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Paroaria capitata. Paroare à bec jaune. Paroaria capitata. Passereau du Pantanal. Brésil.

© Yves Vallier

Hydrochaeris hydrochaeris. Capybara. Hydrochaeris hydrochaeris. Le plus gros rongeur du monde. Pantanal. brésil.

© Yves Vallier

Hydrochaeris hydrochaeris. Capybara. Hydrochaeris hydrochaeris. Le plus gros rongeur du monde. Pantanal. Brésil.

© Yves Vallier

Hydrochaeris hydrochaeris. Capybara. Hydrochaeris hydrochaeris. Le plus gros rongeur du monde. Pantanal. Brésil.

© Yves Vallier

Hydrochaeris hydrochaeris. Capybara. Hydrochaeris hydrochaeris. Le plus gros rongeur du monde. Pantanal. Brésil.

© Yves Vallier

Cap Cable. Parc National des Calanques. PACA.

© Yves Vallier

Cap Cable. Parc National des Calanques. PACA

© Yves Vallier

Parc National des Calanques. Cap Canaille. La falaise Soubeyranne. PACA.

© Yves Vallier

Zonotrichia capensis. Bruant chingolo. Zonotrichia capensis. Costa Rica. Amérique centrale.

© Yves Vallier

Cebus capucinus. Sapajou capucin. Costa Rica. Amérique centrale.

© Yves Vallier

La Digue. Grand Cap. La Digue. Iles Seychelles. Océan Indien.

© Yves Vallier

La Digue. Grand Cap. La Digue. Iles Seychelles. Océan Indien.

© Yves Vallier

Chamois. Rupicapra rupicapra. Automne. Chamois. Rupicapra rupicapra. Automne.

© Yves Vallier

 

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